Jade, fille de l'eau

J'ai découvert cette auteur avec La Nuit des Panthéras dont l'univers urbain était très original. J'avais ensuite acheté celui-là et enterré dans ma PAL, comme beaucoup de ceux que j'achète malgré mon intérêt pour eux… Il n'a été ressorti qu'à l'occasion du mois de l'Imaginaire pour sa belle couverture bleue, un item à valider. J'avais envie de présenter un bouquin différent des autres choisis même si j'ai un choix assez vaste pour cet item. Il me permettait également de valider l'auteur féminine. Il s'avère que je n'ai pas pu le terminer dans les temps.

L'histoire semble se lancer dès les premières pages pour ralentir assez rapidement. Elle est finalement assez longue à se lancer réellement, c'est tout de même un petit roman de moins de 350p. le personnage de Jade m'intrigue, elle est intrépide, courageuse et a du caractère. L'auteur semble avoir créé un monde assez original dont on ne voir qu'une seule ville où apparaît deux moitiés, la ville morte et l'autre. L'une est peuplée d'Échos et de chasseurs, et l'autre de gens survivant comme ils le peuvent gouvernés par une Lady. Ce monde m'intrigue également même si je ne discerne pas encore le vrai but de cette histoire. Ce roman a été long à lire dû au stress engendré par le boulot, je n'arrivais plus à m'y concentrer dessus alors que l'histoire m'intéressait. Celle-ci se ralentit par moments à cause de Jade qui découvre avec des yeux nouveaux la ville et ses habitants. Ce roman a même été abandonné temporairement à cause d'une panne de lecture et repris sans problème en Juillet après en bref séjour à l'hôpital (mon livre en cours n'était pas avec moi). L'auteur a vraiment créé un univers très intéressant mais la fin manque de peps pour moi, je la trouve bien trop courte par rapport au reste. L'histoire d'amour prend beaucoup de place et on ne découvre pas suffisamment à mon goût les Échos et leur environnement. le roman se finit trop brutalement même si la partie concernant Jade et son amoureux se termine en douceur.

Comme vous l'aurez compris, ce roman a été une excellente découverte malgré la fin un peu raccourcie, d'autant plus que l'univers donne vraiment envie qu'il y ait une suite. Sinon quelques pages de plus ne m'auraient pas dérangées pour avoir une fin un peu plus étoffée. Si vous êtes amateurs d'univers vraiment différents (on se croirait dans une Venise apocalyptique peuplé d'êtres étranges), je vous conseille très fortement de découvrir ce roman et son auteur à l'imagination débordante. La Nuit des Panthéras était totalement différente et elle ne semble écrire que des one-shot. Pour ma part, je pisterais ces prochaines publications et j'achèterais bientôt le dernier roman disponible.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

Après un début un peu laborieux en raison de la complexité de l'histoire, je me suis laissée happer par ce récit à la roméo et juliette.
Il y a des humains, une Lady tyrannique, des chasseurs et des chasseurs de sang, le peuple de la mer, le peuple de l'eau, un vieux pas tout à fait fou et une héroïne attachante.
Mais Jade s'éprend de Faune alors que tout les oppose. Il va falloir survivre dans ce temps particulièrement incertain. Jade refuse de prendre partie car c'est aux gens en eux même qu'elle est attachée, quelque soit son "clan". Et c'est ce qui rend ce livre intéressant. Mon ados espère une suite !



Lien : http://0z.fr/V-Vfq

Dans une ville en ruines sous la coupe d'un tyran, la Lady, vit Jade. Elle survit tant bien que mal avec son père, dans l'hôtel qu'ils tiennent et fréquente les bateliers, dont Martyn, son meilleur ami. La révolte gronde dans les murs de la cité. Mais un jour, débarquent Tam et surtout le beau Faune, venus pour aider la Lady à éradiquer les Echos, des créatures aquatiques mystérieuses. Dans cette guerre imminente, tout les oppose et pourtant...
Un roman pour ados à l'ambiance vraiment très spéciale : on entre tout de suite dans l'action et il m'a fallu un certain temps pour connaitre les personnages (aucune présentation n'étant faite au départ). Et puis, ensuite, je me suis laissée porter par cette histoire particulière où se mêlent rébellion, créatures fantastiques, secrets, amitié et amour...

Il y a quelques jours seulement, je découvrais la plume de Nina Blazon avec sa Femme du vampire. Ayant adoré cette histoire inspirée de faits réels, j'étais très curieuse de découvrir l'auteure dans un genre, un univers différents.
Jade, fille de l'eau ne sera pas un coup de coeur (ou alors un mini) car il m'a manqué un peu de fluidité dans le récit, du moins au départ, pour que j'accroche pleinement de la première à la toute dernière ligne. Cependant, ce texte, tout comme l'autre roman de Nina Blazon, marque par son originalité et la mise en place d'une atmosphère unique.
Je pense que je vais suivre de très près cette jeune auteure allemande qui me semble très prometteuse, avec un style bien à elle.

Si je ne fais pas de cette lecture un vrai coup de coeur, c'est à cause de l'introduction, des premières dizaines de pages qui nous plongent brutalement dans cette histoire sans aucune préparation en amont. Je me suis sentie perdue. Etre jetée dans la mêlée a parfois du bon, mais peut aussi freiner - voire « dégoûter » - quelques lecteurs impatients. Il faut donc un moment d'adaptation, quelques pages pour comprendre où l'auteure veut nous mener et quelques pages encore pour entrer totalement dans cette histoire. Disons que Nina Blazon fait un peu travailler son lecteur, ce n'est pas du « tout cuit ». C'est une bonne idée, mais quelques indications supplémentaires auraient tout de même été les bienvenues. C'est, il me semble, le seul point négatif que j'ai relevé lors de ma lecture.

En même temps que l'univers se met plus ou moins en place (ayez bien en tête qu'il faut du temps pour comprendre les tenants et les aboutissants de celui-ci… certains éléments ne sont d'ailleurs dévoilés qu'à la toute fin), le lecteur fait la connaissance de l'héroïne Jade - qui donne son titre au livre (d'ailleurs, ce titre est peut-être un petit peu trop explicite, non ?) - et de son entourage : Martyn son meilleur ami et ancien amoureux, Lilinn son amie et cuisinière du Larimar, hôtel anciennement très luxueux où elle vit avec son père Jakob.
Jade a 19 ans et on comprend très vite (dans le tout premier chapitre), que c'est une tête brûlée qui n'a peur de rien, curieuse et rebelle dans l'âme. Si elle a parfois quelques réactions un peu agaçantes, elle incarne la plupart du temps l'héroïne que l'on aime suivre : vive, se battant pour ce qu'elle croit être une juste cause, amoureuse… Elle fait rapidement la connaissance de Tam -qui se révèle bien moins amical qu'elle l'imaginait - et de son compagnon Faune, un grand jeune homme blond qui lui montre immédiatement une hostilité désarmante. Ces deux-là s'installent au Larimar et donnent des ordres qu'il ne vaut mieux pas contredire. Jakob et sa fille, contraints par leur allégeance à Lady Mar (la « Reine » qui porte un masque en fer), sont obligés d'accepter les deux étrangers et leurs nombreux animaux enfermés dans des caisses, venus rendre visite à la grande dirigeante. La cohabitation dans l'hôtel n'est pas sans accroc, Jade ne pouvant s'empêcher de mettre son nez partout, surtout dans les affaires des autres. Mais c'est à force de fouiner qu'elle découvre beaucoup de secrets et commence à se rendre compte que les Echos, les créatures ennemies, ne sont peut-être pas si mauvaises que la Lady a toujours voulu le faire croire…

Avec cette histoire, Nina Blazon nous entraîne dans un monde et une époque totalement inconnus. Est-ce une vision future de la Terre (il y a quand même l'électricité, de façon entrecoupée) ? Ou un univers complètement à part ? On ne le sait pas.
Jade vit dans un paysage ravagé par une ancienne guerre. Les gens pauvres risquent leur vie au marché noir, la vieille ville est en ruines, des chasseurs font constamment des rondes et tentent d'éliminer des Echos isolés. Au fil des pages on comprend que ces créatures transparentes au sang d'eau, ne sont pas si éloignés que ça des humains, mais la guerre fait rage, la Lady veut tous les éliminer et tous les habitants les redoutent. La tyrannie règne sous l'aspect d'une femme portant un masque de fer. C'est le règne de la terreur (ceux qui ne payent pas leurs « impôts » sont exécutés, la moindre suspicion de trahison conduit au gibet). Dans ce climat tendu, des rebelles se regroupent, décidés à renverser le pouvoir en place et à prendre la tête de la ville.
Ce que je trouve particulièrement intéressant ici (et c'était déjà un peu le cas dans La Femme du vampire) c'est que le fantastique n'est qu'une petite part de l'ensemble. En effet, si l'on retire les Echos (en les remplaçant par exemple par un autre peuple d'humains) et les deux ou trois autres petites touches de surnaturel, on se retrouve avec une histoire particulièrement vraisemblable, voire réaliste ! Une tyrannie, un peuple vivant dans la terreur prêt à croire n'importe quoi et à suivre aveuglément les ordres pour ne pas risquer la pendaison, un groupe de rebelles et, au milieu de tout ça, une jeune fille qui s'émancipe, ouvre les yeux, comprend l'ampleur de la machination et qui est bien décidée à résoudre quelques énigmes (et quelques secrets de famille) !

J'ai trouvé l'intrigue plutôt bien menée. Quelques révélations n'étaient pas des surprises mais d'autres m'ont scotchée. Je pense que les aventures de Jade sont terminées (à moins que ?…) mais à mon goût, l'univers est assez riche (et surtout encore assez mystérieux) pour qu'une suite puisse voir le jour. Beaucoup d'éléments m'ont fait me poser des questions auxquelles je n'ai pas eu de réponses (le mystère entourant Lady Mar par exemple).
Je n'ai encore rien dit sur l'inévitable histoire d'amour (et le triangle amoureux). Sans être particulièrement surprenante ou originale, la relation entre Jade et le jeune homme est assez bien traitée. Je n'ai pas forcément vibrée mais j'ai trouvé que Nina Blazon l'introduisait et la faisait évoluer de façon très vraisemblable. Cette love story ne prend ni trop de place ni pas assez mais sert assez bien l'intrigue principale.

Je finirai ce long blabla par une réflexion au sujet de la narration. Cette fois, et contrairement à La Femme du vampire, Nina Blazon a fait le choix d'utiliser le point de vue externe (avec une troisième personne du singulier). Il me semble qu'un point de vue interne aurait peut-être permis au lecteur d'entrer plus facilement, du moins au début, dans l'univers proposé. A travers les yeux de Jade qui aurait été l'unique narratrice, le lecteur aurait peut-être ainsi eu plus de clefs de compréhension et se serait attacher encore plus à l'héroïne. Mais c'est un choix de l'auteure, pas si mauvais au demeurant…
Enfin, et c'est une des raisons qui me poussera à suivre les prochaines publications de Nina Blazon, l'auteure possède un réel talent pour créer des atmosphères, des ambiances complètement uniques. Les descriptions ne sont pas très détaillées mais suffisent au lecteur qui peut alors faire travailler son imagination pour visualiser les scènes. Et je peux vous dire que visualiser des scènes, construire des images, j'en ai encore plein la tête : les nombreux étages du Larimar délabré, les caisses sur le bateau contenant les créatures étranges, la cave inondée, les prisonniers suspendus… Et cette atmosphère aquatique, un peu moite… et finalement très poétique qui ne lâche pas le lecteur tout au long de la lecture !

Vous l'avez compris, j'ai vraiment beaucoup aimé. Et si l'auteure ne m'avait pas perdue dans son univers flou au départ, ça aurait été un beau coup de coeur ! Nina Blazon est une auteure prometteuse, il me tarde de découvrir son prochain titre !
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..

Jade va rencontrer un Echo, ces êtres que tout le monde décrit comme étant horribles et cruels, mais cette rencontre va être différente de ce qu'elle s'imaginait et va peut-être changer sa façon de voir le monde. Elle va aussi faire la rencontre de Faune, un Nordlandais assez étrange, qui va l'intriguer et l'attirer. J'ai bien aimé la relation entre Jade et Faune, très électrique, peut-être un peu trop rapide par contre mais ça m'a tout de même un peu remué, ils était mignons. L'histoire en elle-même est sympathique, forte en rebondissement, et en action, même si j'ai trouvé le début un tout petit peu long au démarrage.
Par contre parfois je trouvais ça trop rapide, et pas toujours clair, il fallait par moment que je relise certains passages pour être sûre d'avoir compris ce qu'il se passait.
Je me suis attachée à Jade, elle a un sacré caractère et elle sait se foutre dans les emmerdes comme personne. Mais au moins elle se bouge et essaie de changer les choses, tout en voulant protéger tout le monde. Ce que je lui reprocherais, c'est de s'énerver trop vite et de perdre son sang froid, mais bon c'est une ado.
J'ai apprécié Faune également, même s'il se montre un peu trop dégoulinant quand il est amoureux, il a un côté un peu sauvage. J'ai aimé la réflexion sur les souverains qui s'échangent mais qui, finalement, sont toujours les mêmes tyrans.

J'avais compris assez vite une des grosses révélations du livre, donc je n'ai pas été surprise de l'apprendre, mais ça reste une bonne idée et une bonne histoire. J'ai passé un bon moment de lecture.
Lien : https://jetulis.wordpress.co..

J'avais lu, il y a quelques années déjà, un roman de cette auteure qui reprenait le mythe du vampire mais dans son contexte d'origine slave. C'est resté un de mes romans préférés car Nina Blazon sait à merveille raconter une histoire, une sorte de conte pour grand enfants, puisant dans les légendes et le folklore européen pour tisser des histoires mélancoliques, poétiques et violentes.

Là encore, je me suis laissé emporter par l'atmosphère aquatique de cette ville hantée par des êtres étranges, "échos" des vivants, enfants peut-être de la rivière omniprésente.
La dirigeante de la ville a tellement peur d'eux, qu'elle se claquemure au fond de son palais, évite tous les reflets (met même de la cendre dans son vin à cet effet) et entretient une armée de chasseurs pour traquer ses ennemis.
Elle fait peser un climat de peur et d'oppression sur tous les habitants de la cité.
Seule Jade, grâce à son père, semble évoluer avec plus de liberté, passant des gens du fleuve, au service de la Lady, aux rebelles clandestins.

Il y a des mystères, des secrets, des romances qui se nouent et se dénouent dans le clair-obscur et les salles vides d'un hôtel délabré.
Jade, le personnage principal, comme tous les protagonistes de l'intrigue possède un secret et ce secret ainsi que tous les autres forment le coeur de l'intrigue.
J'ai beaucoup aimé ce personnage, à la fois, fille-fée lumineuse et rebelle casse-cou. Pas étonnant que Martyn et Fauve soient attirés!
Il y a évidemment une intrigue amoureuse et là aussi, j'ai trouvé qu'elle relevait de l'étoffe des contes de fées.

En bref, un énorme coup de coeur, à nouveau, pour cet opus de Nina Blazon qui révèle ici encore son talent de conteuse de l'imaginaire.

A partir de 14-15 ans

Ce roman possède un résumé, en soit, banal que ne nous laisse sans surprise. Mais dès que l'on rencontre Jade, cette impression s'en va de suite.
Le début est un concentré d'actions. Oui, on ne comprend pas tout, mais cela ne fait rien car on est déjà happé par l'aventure de cette jeune femme.
Mais il faut être préparé à être dérangé dans cette histoire, déjà par la complexité de l'intrigue et de l'univers dans lequel on entre avec ces créatures de l'eau bien mystérieuses, les Échos, qui ont eu selon moi une place trop floue. À cause de cela, l'intrigue est des fois longues à suivre et si les personnages peinent à trouver une issue à leurs problèmes, nous aussi ! L'auteur aurait pu nous donner quelques indices de plus pour ne pas être perdu.
Les personnages secondaires ont tous une personnalité très intéressante mais, par exemple, le lien entre Jade et son père semble superficiel et sans réelles émotions. Tout comme la grande histoire d'amour, qui est bien sûr très belle. le personnage masculin, Faune, torturé, possède le profil parfait et leurs histoires sont très bien décrites et s'accrochent à quelque chose de poétiques. Mais je n'ai pas réussi à être avec eux jusqu'au bout et quelque chose m'a manqué pour tomber sous leur charme.
Mais, ces défauts n'ont pas changé le fait que je n'ai pas pu lâcher ce livre avant de l'avoir fini. L'écriture est très belle et les sentiments tout comme les personnages m'ont beaucoup attiré, surtout Faune.
Un livre que je conseille, car l'histoire vaut le coup d'être connue et mérite plus de lecteurs.

J'avoue que ce roman me laisse perplexe. J'ai adoré certaines choses tandis que d'autres m'ont gênée. Il est déroutant ! Il fait partie de ces livres, qui une fois terminés, nous trottent dans la tête et nous font nous poser mille questions.
Je tiens d'abord à féliciter Albin Michel pour avoir fait le choix d'une quatrième de couverture qui ne révèle absolument rien. Elle intrigue, donne de fausses pistes mais ne dévoile rien, ce qui fait que tout au long de la lecture du roman, on est surpris car on ne s'attendait pas à ça. Finalement, le résumé est en adéquation avec la sublime couverture. Donc moi aussi je ne révélerai rien ou très peu...

Dès le début, l'auteur nous plonge au coeur de l'action. Elle nous immerge dans son monde sans préambule, pas d'explication. Elle nous largue là et j'avoue qu'au début j'ai été un peu perdue, déstabilisée. On arrive dans un monde où l'on ne connaît pas la politique en place, ni l'époque, où on ne sait pas ce que sont les créatures citées. Tout est un préétabli, on ne découvre pas petit à petit, non, on est plongé au centre d'un univers peuplé de créatures aquatiques dangereuses, où les superstitions rythment le quotidien, où les gens vivent sous un régime politique tyrannique. Tout ceci est déstabilisant certes et pourtant c'est ce qui fait que l'on est captivé d'entrée de jeu. le monde décrit est captivant car il est unique et original.
Lire la suite...
Lien : http://www.place-to-be.fr/in..

J'ai lu ce roman fantastique de Nina Blazon avant tout parce que j'ai adoré son roman "La Femme du Vampire" qui a été un vériable coup de coeur. J'ai beaucoup apprécié également "La fille de l'eau", même si j'ai trouvé le récit moins facile à saisir et que certaines parties étaient trop lentes à mon goût. Toutefois, l'histoire est originale (quoique certains points me faisaient penser au film "La dame de l'eau" de Night Shyamalan) et surtout très intrigante. On retrouve encore une fois les thématiques (présentes dans "La femme du vampire") de la mince ligne entre amis et ennemis, entre alliés et opposants, de même que la différence, la peur de l'autre et les secrets.

Pour finir, j'ai bien aimé l'univers fantastique que l'auteur a créé, mais je préfère nettement ses univers réalistes historiques.