C’était celui qu’Éléonore avait repéré, recourbé comme le cou d’un cygne, habillé de boutons dorés sur le côté.
Un soir, elle était restée plus longtemps que prévu devant la vitrine de M. Sax. Elle était perdue dans ses souvenirs, quand un jeune garçon la surprit :
« C’est rare pour une fille d’aimer la musique ! »
Elle sursauta : « Ces instruments sont les plus beaux du monde ! »