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3,4

sur 408 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Sentiment mitigé avec ce roman de Christophe Boltanski (La cache), il m'a perdu lui aussi en route comme le livre Nicole Krauss, (il va falloir que je prévois des cailloux pour retrouver mon chemin), mais au contraire du livre de Nicole Krauss (« La grande Maison », titre qui aurait d'ailleurs pu convenir à celui-ci), je n'ai pas été ému par ce texte autobiographique. L'idée de construire son roman en passant d'une pièce à une autre, forme une trame attrayante, mais je n'ai pas ressenti l'émotion que de nombreux lecteurs mettent en avant. Je m'y suis ennuyé la plupart du temps alors que les thèmes évoqués avaient tout pour m'intéresser. Pourtant le style est là et ne manque pas d'allure, mais je n'ai vraiment pas accroché à cette famille originale trop de détails, de noms, je m'y suis ennuyé, été rarement touché. Mais ce n'est que moi donc … le nombre fait valeur de qualité !
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Prix Femina 2015. Pas accroché avec cette suite de détails vestimentaires et d'objets de la maison, ainsi que les descriptifs physiques des personnages en long et en large. Est-ce pour cette raison que j'avais la sensation que cette prose était écrite par une femme ? Je le reprends au milieu après l'avoir lâché et là enfin quelque chose d'intéressant quand le grand-père se cache dans leur hôtel particulier dans l'entre-deux comme désigné dans un plan. Plan qui figure à chaque début de chapitre. Car Christophe Boltanski nous raconte l'histoire de sa famille juive, pas très sympathique je trouve dont le défaut premier est la radinerie.
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Le résumé me semblait prometteur mais je crois m'être un peu perdue dans ce roman transgénérationnel. Les personnages sont nombreux, ce qui en soit n'est pas une difficulté, mais peut le devenir quand ils ne sont jamais présentés ou héritent de pseudonyme.
L'auteur n'a pas su me faire partager son émotion, j'étais trop concentrée pour ne pas perdre le fil.
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Malgré les remarques plus que positives sur ce roman, je n'ai pu réussir à le finir. Je me suis perdue en route. le début du roman me plaisait. mais au fur et à mesure que je tournais les pages de ce livre de poche, je ne savais plus de qui parlait l'auteur.... Pas de prénom, pas de suite mais plutôt un compte rendu.. parle-t-il de son oncle, de sa grand-mère.. Je n'ai pas non plus compris le rapport avec le titre....
J'ai donc décidé à contre-coeur d'abandonner pour l'heure cette lecture, n'étant pas réussie à rentrer dedans. Peut-être le relirais-je un jour car je l'ai trouvé remarquablement bien écrit..et là aurai-je un éclair de génie pour réussir à suivre..
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Sentiment très mitigé. La construction de l'ouvrage où chaque chapitre part d'une pièce de l'appartement est originale. On sent que l'auteur a mis tout son coeur à narrer ce qui fut la vie de sa famille. Malgré, tout, je n'accroche pas. Je ne sais pas pourquoi, rendez-vous manqué avec ce livre, peut-être en raison du fait que je l'ai lu juste après Boussole que j'ai adoré. Désolé M. Boltanski, une prochaine fois, peut-être...
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je suis désolée mais je suis passée à coté de ce livre
il m'a ennuyer, je me suis perdue non pas dans la maison mais dans tous ces personnages vivants, partis, morts et dont les histoires n'ont pas suffit à me donner gout à la lecture de ce livre entre la famille, les russes juifs venus pendant la guerre, les habituée ,je n'ai pas trouve le fils conducteur.
Si l'un d'entre vous peut m'aider à aprecier ce livre avec plaisir .
moi qui me faisait plaisir de lire le FEMINA....!!!!!
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La Cache est un roman décrivant la famille Boltanski au moment de la Seconde Guerre Mondiale. Il s'agit d'une famille très insolite, vraiment spéciale : ils ont peur de tout, ne se déplacent qu'en voiture, sont prudents jusqu'à en être radins. le roman débute sur un plan de leur appartement rue de Grenelle à Paris, chaque partie du livre découvrant une pièce et un pan de l'histoire familiale. Cette construction est assez originale et agréable. L'écriture est belle, j'ai aimé les descriptions et anecdotes. Par contre j'ai trouvé ce roman compliqué en tous sens : l'histoire va et vient dans le temps, il y a peu de prénoms et il n'est pas facile de savoir qui narre, les chapitres commençant par des pronoms. Bref j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire. C'est pourtant le genre de roman qui me plaît, j'avais lu de nombreux avis positifs, peut-être aurais-je dû persévérer...
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Livre très complexe à lire, je n'ai pas pu le finir d'ailleurs. Beaucoup trop de détails et l'histoire qui, dans le fond, ne m'a pas plus branché que ça. C'est dommage car j'ai eu beaucoup de retours positifs mais cela n'a pas fonctionné avec moi. Peut être le relirai-je une fois plus grande, avec plus de maturité et d'expérience dans la vie, ainsi que dans ma lecture.
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Quelle déception !
Je me faisais une joie, un plaisir de lire le livre de Christophe Boltanski.
Je ne suis jamais entré dans ce roman qui m' a fait l'effet d'écouter une conversation entre deux personnes au sujet d'une troisième qui me serait inconnue.
Je l'ai trouvé fouillis, peu intéressant.
Pour moi un livre raté ou que j'ai raté ; dans tous les cas, pas un moment de plaisir.
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Christophe Boltanski, neveu du plasticien Christian et du sociologue Luc, raconte l'histoire de sa famille et de ses origines. Mais ce n'est pas tant ceux-là qui tiennent la place centrale que ses grands- parents. Elle, abandonnée enfant par sa famille à une riche « marraine », très handicapée par une polio, communiste et nantie, qui vampirise sa famille dans un mode de vie bohème et fusionnel. Lui, fils d'immigrés juifs ukrainiens, qui a passé 20 mois caché dans leur appartement, l'oreille aux aguets, survivant terrorisé par ses semblables. Autour d'eux, enfants et petits enfants, comme scotchés les uns aux autres : le point d'ancrage est une grande maison, rue de Grenelle où on mange ensemble, on dort ensemble, d'où on se déplace ensemble, un creuset d'ébullition culturelle et intellectuelle plein de fantaisie.

Quel matériau ! Qu'est ce qui fait pourtant que je n'ai pas trop vibré ? Christophe Boltanski survole un peu, et à part la grand-mère qui est le personnage premier, tous sont un peu inconsistants, il y a une réelle superficialité qui tient à distance.
Quant au mode d'écriture, centrer le livre sur la maison, petits plans à l'appui, c'était plutôt une bonne idée, mais au final cela met un côté fouillis. D'autant que Boltanski adore dire « elle » ou « lui » plutôt que de nommer son personnage, ce qui achève de nous perdre. Et le recours répété aux énumérations est une solution de facilité qui ne suffit pas à faire un style.

Ce n'est certes pas un livre à condamner, mais je n'y ai pas pris le plaisir que j'en espérais.
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