C’est à ce moment-là que sa vie se Nora Robertisa.
La littérature sentimentale donnait de tels faux espoirs… Dès ce soir, poubelle, la Roberts ! Désormais, elle ne lirait plus que des Stephen King.
Elle n'allait pas se balader toute nue devant lui : trop gênant... Il ne manquerait pas de noter sa culotte de cheval puissance quatre et les vergetures qui zébraient ses hanches comme une carte routière... Ni se rhabiller : trop coincée, trop bizarre, trop ...
Tiens, tiens… un héros dont Nora serait fière se planquait-il en lui, bien enfoui sous la grossièreté ?