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Critique de Masa
Nouvelle édition pour « 13 à table ! », c'est l'occasion de faire une bonne action et se racheter de ses vices d'une année. le principe est toujours le même : les fonds sont reversés aux restos du coeur. Comme tous les ans, j'en achète deux, un pour moi et un autre pour ma maman. C'est également l'opportunité pour que je sorte de ma zone de confort qu'est la littérature de l'imaginaire.
Dans cette nouvelle mouture, nous retrouvons des fidèles. Ainsi Françoise Bourdin ou bien encore Maxime Chattam sont encore présents. Ce petit groupe d'habitué est rejoint par d'autres écrivains pour en former… quatorze auteurs pour… treize textes, puisque nous avons un duo parmi les lauréats.
Je ne détaillerais pas toutes les nouvelles. Elles ont toutes pour thème l'amitié. En ce qui concerne Romain Puértolas, il s'agit, non pas de relation amicale avec un être humain, mais un stylo-bille. Elle est à son image : loufoque.
Dans le lot, j'ai beaucoup aimé le récit de François d'Epenoux, qui nous narre la confrontation entre un praticien peu scrupuleux et son patient mutilé. Presque un coup de coeur, Michel Bussi nous offre un texte touchant, une relation épistolaire entre deux jeunes filles, l'une chinoise et l'autre française. Une troisième nouvelle m'a touché, écrite par Karine Griebel – limite mièvrerie par moments. C'est une histoire émouvante entre un jeune garçon et une vieille dame.
Parmi mes déceptions, je citerai le duo Éric Giacometti et Jacques Ravenne, qui m'a ennuyé à mourir avec leur enquête. Je n'ai pas aimé, non plus, les nouvelles de Christian Jacq – toujours à fond dans l'Égypte antique –, Alexandra Lapierre pour sa bande de nana quadragénaire, et Leïla Slimani.
Globalement, cette cuvée est bien meilleure que l'année passée. Comme dans les précédentes éditions, ce recueil offre des textes variés et pour tous les goûts. Entre toutes les nouvelles se cache une poésie.
Dans cette nouvelle mouture, nous retrouvons des fidèles. Ainsi Françoise Bourdin ou bien encore Maxime Chattam sont encore présents. Ce petit groupe d'habitué est rejoint par d'autres écrivains pour en former… quatorze auteurs pour… treize textes, puisque nous avons un duo parmi les lauréats.
Je ne détaillerais pas toutes les nouvelles. Elles ont toutes pour thème l'amitié. En ce qui concerne Romain Puértolas, il s'agit, non pas de relation amicale avec un être humain, mais un stylo-bille. Elle est à son image : loufoque.
Dans le lot, j'ai beaucoup aimé le récit de François d'Epenoux, qui nous narre la confrontation entre un praticien peu scrupuleux et son patient mutilé. Presque un coup de coeur, Michel Bussi nous offre un texte touchant, une relation épistolaire entre deux jeunes filles, l'une chinoise et l'autre française. Une troisième nouvelle m'a touché, écrite par Karine Griebel – limite mièvrerie par moments. C'est une histoire émouvante entre un jeune garçon et une vieille dame.
Parmi mes déceptions, je citerai le duo Éric Giacometti et Jacques Ravenne, qui m'a ennuyé à mourir avec leur enquête. Je n'ai pas aimé, non plus, les nouvelles de Christian Jacq – toujours à fond dans l'Égypte antique –, Alexandra Lapierre pour sa bande de nana quadragénaire, et Leïla Slimani.
Globalement, cette cuvée est bien meilleure que l'année passée. Comme dans les précédentes éditions, ce recueil offre des textes variés et pour tous les goûts. Entre toutes les nouvelles se cache une poésie.
