La mort n'est plus la fin de la trajectoire temporelle, la fin de toute causalité, comme si on fermait une télé ou qu'on classait définitivement une affaire. La mort est une transition, une porte qui laisse passer l'âme, en route vers d'autres vies.
Les thérapeutes des vie antérieures ont démontré l'avantage d'élargir le cadre de la psychologie bien au-delà d'ine simple existence, de façon à englober toutes les existences d'un patient. Dans cette perspective élargie, la naissance n'est plus un commencement absolu, le point de départ d'une trajectoire temporelle.