Les deux femmes étaient trop sensibles et si la première pouvait expliquer son émotion par le fait de voir son plus grand fils se marier, la seconde n’avait que son fort attachement pour les mariés afin de justifier les deux ruisseaux sur ses joues. A eux tous, ils formaient une famille recomposée ou les liens du cœur se mêlaient à ceux du sang et ou la seule attache qui avait de l’importance était celle de leur amour mutuel.
Bien sûr, je suis différent, mais ne le sommes-nous pas tous d’une façon ou d’une autre ? N’est-il pas dommage que les gens accordent tant d’importance négative à ce qui nous sépare, alors qu’il serait bien plus simple de noter ce qui nous rassemble ?
Ce n'est pas forcément ce que les gens sont initialement, leurs qualités ou leurs capacités de base, ce qui importe dans une relation, c'est ce que l'autre fait de nous, ce que l'on devient à son contact.
Je lève souvent la tête en pensant à lui, en me rappelant que nous vivons toujours sous le même ciel.
Il n'avait pas honte d'aimer, non, il ne pourrait jamais se sentir gêné d'être amoureux, mais il souffrait quand même de ces mots violents et il commençait à se sentir oppressé dans cet amas de corps.
Mon cœur balance entre trois hommes : celui que tu étais, celui que tu es et celui que tu seras.
De toute ma vie, je crois n'avoir jamais vu deux personnes s'aimer autant. Cette manière de se regarder, de se toucher, parfois juste de se tenir l'un à côté de l'autre...
"Je serai ta maison ; le sol qui te porte, le toit qui t'abrite et les murs qui te protègent." _ Hugo
Une seule journée à tes côtés vaut toutes les souffrances du monde. Tu es innocent, Hugo, un innocent à qui la vie s'en prend. Et je t'aimerai toujours, même quant tu ne seras plus en mesure de m'aimer en retour.
N'oublie jamais que je suis entièrement tien, même quand je suis incapable de te le dire.