AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
2,95

sur 104 notes
Le fait que ce soit une réécriture de la Belle et la Bête, sans parler du résumé et de l'autrice… tout était là pour que j'aie envie de lire cette histoire. Et puis, je dois dire que la couverture est vraiment superbe. Je suis donc partie confiance, assurée que cette histoire allait me plaire et me ravir le coeur.

Je ne vais pas tourner autour du pot, je suis totalement passé à côté de cette histoire. Je suis même super déçue de ne pas avoir su aimer le style. Par certains aspects, La Malédiction des Roses m'a rappelé le premier tome de Rejetée par l'Alpha de Jaymin Eve même si ici notre héroïne n'est pas rejetée et que c'est elle qui rejette celui qui veut l'épouser (un Gaston de pacotille dont j'ai oublié le prénom). Suite à une malédiction, les métamorphes ne peuvent plus se transformer et sont victimes d'une maladie qui les tue à petit feu. Finley notre héroïne, arrive, grâce à une plante qui ne pousse que sur le territoire de celui qu'on appelle la Bête, à repousser l'inévitable. Mais un jour, la jeune femme n'a d'autre choix (pour sauver les siens) que de partir de son plein gré chez la Bête qui réclame réparation pour le vol qu'elle a commis. Là-bas, elle se retrouve emprisonnée dans le palais du monstre.

En toute franchise, même si ça sent le réchauffé et que c'est long à démarrer, jusque-là, tout va bien. Sauf que… ça dérape une fois Finley arrivée au château. À partir de là, tout part en vrille et on tombe carrément dans du porno ou les scènes graphiques et la vulgarité s'y côtoient en bonnes copines ! Parce que dans ce château vit des démons, des incubes, qui prennent un malin plaisir à se servir de leur pouvoir sur les résidents qui ne peuvent s'échapper sous peine de se retrouver victimes à leur tour du même mal qui tue les métamorphes en dehors du territoire de la Bête nommée Nyfain.

Il y avait matière à ce que ça me plaise, l'univers sombre est très plaisant, mais le trop plein de scènes épicées m'a perdu et j'admets que le langage utilisé par les personnages m'a vraiment refroidie. Je n'ai pas du tout adhéré au style du coup. L'autrice, au début de l'histoire, dit qu'elle a écrit La Malédiction des roses en se lâchant carrément. Oui, c'est clair qu'elle n'a pris aucun filtre et que le côté spicy annihile tout le reste. On est clairement sur du SMUT, un bon Plot, What Plot? dans toutes les règles de l'art. En général, ça peut me plaire, mais pas quand ça devient vulgaire comme ici.

Je pense sans doute ne pas être le public cible pour ce genre là et si vous aimez ce style, alors il vous conviendra bien mieux qu'à moi. Pour ma part, je m'arrête à ce tome.
Lien : https://songedunenuitdete.co..
Commenter  J’apprécie          83
Ne te fais pas avoir par l'objet livre l'édition collector qui est très belle car il y a tromperie, on n'est pas sur une jolie petite romantasy, si Hades & Persephone t'a choqué par les scènes de smuts à répétition, accroches toi car il y a que ça et dans le délire très très SALE 🤢
Dans tout les cas vous êtes sur un broché à 19,99€ pour 268 pages, et une saga de 4 tomes, désolé mais j'ai vraiment eu l'impression de me faire avoir 😫 ça me gonfle un peu ce genre de saga a plusieurs tomes alors qu'il y a de quoi faire 2 tomes de 480 pages pour le même prix .

🔞🔞 Ici on est sur un conte de la Belle et la bête en mode porno , luxure, sodomie et orgie.

Si on saute les passages c'est une très bonne histoire, très bien revisitée .

Le début j'ai ADORÉ !
Finley ramasse ,de nuit dans la forêt interdite où rôdent la Bête et autres créatures démoniaques, une plante pour faire un élixir qui permet de ralentir les effets de la malédiction sur les habitants du village. Nous avons un passage de course poursuite très angoissant à la fois horrifique .
Finley a beaucoup de répartie ce qui est très drôle . C'est très original l'idée de métamorphe , que dans chaque individu sommeille un animal dont la malédiction empêche le développement. Il y a beaucoup de potentiels sûrement plus développés dans le tome 2 .

C'est vraiment dommage qu'il y est une présence sexuelle très bestiale tout le long du récit . Ça casse l'ambiance et c'est tellement pas utile .

Je lirai sûrement le tome 2 en ebook .
Commenter  J’apprécie          40
On va pas se mentir, la couverture m'a tout de suite attiré ! Et puis quand j'ai compris qu'il s'agissait d'une réécriture de la Belle et la Bête... je me suis dit que c'était le combo gagnant !

Finley est une jeune femme qui vit dans un village maudit. Chaque année des personnes meurent d'une maladie mystérieuse qui est présente depuis que le roi a conclu un accord avec des démons. Elle est la seule à avoir trouvée la manière de ralentir le mal qui atteint son village... c'est lors d'une de ses récoltes de plantes qu'elle tombe sur la bête qui hante la forêt maudite : Nyfain.

Il y a un côté conte que j'attendais de cette histoire mais le langage très cru utilisé beaucoup trop souvent par...tout le monde, l'héroïne, les personnages secondaires, me sortait de ma lecture !
Il est indéniable que Finley n'est pas le genre princesse en détresse et se défend très bien... mais je pense qu'il n'était pas nécessaire d'ajouter ce côté cru à son langage.
Un autre point (et j'avoue que c'est minime mais ça m'a un peu dérangé) : j'avais l'impression qu'on était dans un univers fantastique... et il y a mention d'un jean porté par Nyfain.

J'étais perdue au final ! Monde fantastique ? Ou pas ? En tout cas pas de doute il s'agit bien d'une réécriture du conte La Belle et la Bête ! Et je trouve l'objet livre magique !

J'ai bien aimé l'idée de cette malédiction due à un pacte avec des démons. L'aspect décadent de ces mêmes démons également (même si encore une fois trop de vulgarité dans la façon de s'exprimer des personnages selon moi) ou encore la présence de métamorphes.

Je lis de la romance en tout genre depuis un moment. Ça m'est déjà arrivée que des héros soient plus ou moins "vulgaires"
Mais là on est à un niveau de vulgarité qui m'a énormément dérangé. Ça m'a complètement sorti de l'histoire et c'est dommage parce que j'aimais bien la mécanique !

J'ai bien envie de lire la suite pour connaître le fin mot de l'histoire mais j'hésite énormément à cause du langage cru...
Commenter  J’apprécie          20
Lecture mitigée de mon côté, je vous note les raisons juste en dessous 🤫

SES POINTS FORTS :
- Héroïne marrante
- Scènes de sexe entre les 2 persos qui sont bien écrites (mais pas assez romantisées)
- le relié est sublime !
- le cran de Finley
- Humour ++ (les réflexions mentales de Finley et ses convs avec son animale >>>)
- le lien de Finley et sa famille
- Les réfs à "La Belle et La Bête"

SES POINTS FAIBLES :
- Trop vulgaire dans les mots utilisés, ça détruit le charme de l'histoire
- Livre trop court
- Plusieurs coquilles dans le livre + illu du relié qui a des traits de pinceaux oubliés (trop dommage)

Mais vraiment la vulgarité a quand même un peu tué ma lecture 🥹
Commenter  J’apprécie          20
Malgré quelques passages bien "olé olé", dont je ne raffole absolument pas, j'ai adoré la construction de ce récit et l'intensité de la relation entre les personnages principaux. Cette petite touche du conte de la Belle et la Bête (sans aucun doute mon conte préféré), est remarquablement exploitée, et a fait de ce roman un vrai page-turner pour moi, me faisant oublier les parties consacrées au sexe, que j'ai littéralement sautées (ceci dit, je ne suis pas la seule à avoir sauté quelque chose, ou quelqu'un dans ce roman)... 🤣
Petit point à noter : une bonne dose d'humour s'est infiltrée dans le récit, un vrai régal. Bref, même si je ne suis pas fan de l'intégralité de cette dark romance, je serai sans conteste au rendez-vous du tome 2 !
Commenter  J’apprécie          20
Finley doit s'aventurer dans la forêt interdite pour cueillir les ingrédients nécessaires à ses remèdes. Mais la Bête qui veille sur ces terres finit par la capturer. Elle se retrouve prisonnière dans un château sous le joug des démons. Une revisite de la Belle et la Bête.

J'ai cédé aux chants des sirènes à force de voir ce roman partout. L'histoire n'est pas mal, bien que par moment cela manque de développement. le but est de faire un roman spicy et par moment l'auteure est allée à la facilité.
L'intrigue autour de cette malédiction, du prince dragon et du roi des démons n'est pas mauvaise et après avoir terminé ce premier tome, j'ai envie de lire la suite. Mais je ne pense pas que ce roman mérite cette mise en avant. Oui, l'objet livre est beau mais je n'achète pas un livre pour son aspect. de plus, le livre est assez court. J'aurai préféré qu'il y ait moins de tomes, avec des romans plus denses pour ce prix.

En bref, cette revisite de la Belle et la Bête est intéressante et je lirai la suite, mais ce n'est pas une lecture qui me marquera.
Commenter  J’apprécie          20
Attention : livre a contenu pornographique, le contenu est ADULTE et AVERTI. C'est noté en 4e de couverture, il y a des TW dans le roman, mais autant le savoir ! le langage est cru et volontairement vulgaire.

Voici l'avis du coeur : j'ai a-d-o-r-é. Pourtant ce n'est PAS DU TOUT mon genre de lecture, loin de là. Mais alors franchement… j'ai kiffé comme une ado. C'était ultra prenant et addictif. C'est barré, faut le lire au moins au deuxième degré, mais c'est que du bonheur avec ce léger recul.

Voici l'avis argumenté : il y a autant de défauts que de qualités. Je vais commencer par le négatif, comme ça c'est fait et on en parle plus… et c'est simple: la traduction est parfois vraiment approximative et floue. Il y a des expressions que je n'ai pas comprises même pendant les scènes spicy. Or, non, en toute logique, c'est pas vraiment le moment où je suis censée ne pas comprendre. L'exemple le plus parlant : « Tu m'envoyais avec tes doigts » (en réponse à la question « qu'est-ce que je te faisais dans ton rêve? »). Je ne saisis pas très bien à quel moment on a pu penser que c'était une bonne traduction. J'imagine que c'était pour éviter le verbe peu élégant très évident… mais ça n'en demeure pas moins incorrect. Et malheureusement, il y avait pas mal de phrases et tournures inadéquates. Cela a rendu certains passages assez obscurs, donnant presque l'impression de passer du coq à l'âne. Dommage…

Notons aussi qu'il y a quelques coquilles voire carrément des fautes qui piquent les yeux. Nouvel exemple très parlant : (…) je le bousculais ou l'envoyer promener (au lieu de « l'envoyais », donc)… et j'avoue que ca pique sévèrement les yeux surtout dans une édition collector à 28,10€ en Belgique.

Évidemment, si je note ce roman à 3 étoiles, c'est quand même que j'ai réussi à lui trouver d'excellentes qualités et que ces défauts, bien que facilement remarquables, ne m'ont pas non plus handicapée dans ma lecture au point de la gâcher.

Déjà parce que l'héroïne est ultra drôle. Elle se fait des films toute seule dans sa tête, elle a des réflexions bien lourdes, par exemple « on se bouge les ovaires » qui me correspondent à 100%, elle est forte et indépendante et ne se laisse pas marcher sur les pieds par La bête (son ravisseur, donc) ni personne. Même quand elle a peur, elle fait face et c'était bien chouette de lire une héroïne un peu badass mais pas trop. Je l'ai trouvée très crédible, très moderne. Évidemment, vu le contexte, il ne fallait pas s'attendre à ce qu'elle soit prude et j'ai aimé la façon dont elle réagissait à tous ces éléments très sexualisés qui l'entouraient sans totalement les banaliser. Bref, Finley, je t'aime.

Pas autant que Nyfain, par contre, aka La bête, le Prince, « l'empêcheur de baiser en rond » comme très drôlement qualifié par notre héroïne. Il est couvert de cicatrices, tatoué, c'est vraiment le mâle alpha basique protecteur et dominateur… mais ça fonctionne grâce à l'univers construit. Je l'ai trouvé sexy à mourir alors même que n'importe quel autre livre m'aurait fait lever les yeux au ciel voire grimacer. le roman m'a été vanté, après achat, comme une dark romance… mais j'avoue ne pas être tout à fait d'accord. Nyfain n'est pas un foutu psychopathe qui n'a aucune notion de consentement ni de respect. Il est acariâtre, renfermé, il a l'impression que tout lui est dû… oui, bien sûr. Il n'empêche qu'il est protecteur et qu'il met un point d'honneur à respecter les choix de Finley (malgré leurs bêtes à tous les deux qui n'attendent que de pondre une marmailles de petits) et a la faire réfléchir. Bref, je veux bien être sa prisonnière, une fois n'est pas coutume. Juste on laisse de côté l'univers rempli de démons tarés aux kinks chelous. Nyfain et moi dans un beau jardin, c'est bien plus alléchant !

Les persos secondaires offrent un paysage cocasse. Ils gagneraient a être davantage développés… mais c'est une romance paranormale, pas une urban fantasy compliquée alors ça ne me dérange pas outre mesure non plus. Tant qu'ils font des coucous de temps en temps et me donnent le sourire, ça me va !

Team slowburn et enemies-to-lovers seront contents : le roman n'entame pas directement l'histoire avec La Bête et, perso, j'ai adoré ça. le roman est réputé spicy, mais là encore, nos protagonistes mettent du temps avant de passer à la casserole, ils se mettent bien sur la trogne avant tout. Il y a une dualité entre eux et leurs animaux intérieurs qui marche très bien, amenant ce qu'il faut de piment et ce qu'il faut de crédibilité dans le changement de relation.

Bref, mon pavé César se termine pour vous dire : foncez avec mille degrés, vous allez rire et kiffer !
Commenter  J’apprécie          20
Une bête - une malédiction -une femme retenue captive - oui nous sommes bien dans une revisite du conte de "la Belle et la Bête" mais ici il est question d'un demon king, de shifters qui peuvent se changer en animaux mais qui ont perdu leurs pouvoirs avec la malédiction et d'une maladie qui tue les adultes à petit feu.

Finley se bat pour maintenir sa famille en vie et pour aider son village. Sa connaissance des herbes et plantes ont permis de retarder les effets de la maladie et de préparer différents remèdes.
Lorsque la bête l'enlève, elle se retrouve face à Nyfain, un dragon shifter qui a perdu ses ailes. Son château est envahi de démons et de scènes de débauche.

Peuvent-ils sauver le royaume condamné à disparaitre?

Bon, ce roman passe ne casse pas trois pattes à un canard. J'ai aimé la revisite d'un conte connu mais j'ai eu du mal avec le vocabulaire simple et trop "familier" tout comme avec les scènes "hot" que j'ai trouvé parfois trop vulgaire dans la manière dont elles sont amenées.

Les héros ont une relation très superficielle. Je n'ai pas eu l'impression qu'ils apprennent à se connaitre. On reste sur de l'attirance.
J'aurais aimé en apprendre plus sur l'histoire de ce royaume, de Nyfain, des shifters, ...
Un peu de profondeur dans l'intrigue, les sentiments, ...

Je ne pense pas continuer cette saga car il m'aura manqué beaucoup d'ingrédient pour que la sauce prenne.



Commenter  J’apprécie          20
Je suis déçue d'annoncer que j'ai abandonné cette lecture en court de route... trop vulgaire à mon coup, j'aime assez le smut mais la c'est un niveau trop élevé pour pon goût. Trop présent, trop régulier, trop, trop, trop
Pourtant la plume de l'autrice est top (c'est le premier roman que je lis d'elle ) et en dehors de ce côté smut je trouve la réécriture plutôt intéressante.
Mais bon à mon sens le smut est vraiment présent pour être présent, la majorité des passages n'ont aucune raison d'exister et ne servent en rien le récit. Ça peut plaire a ceux qui voudront un récit très chaud, mais pas à ceux qui espèrent une romantasy douce et délicieusement épicé.
Commenter  J’apprécie          10
La Belle et la Bête étant mon conte favori, je suis toujours enthousiaste à l'idée de découvrir les revisites de cette histoire ! Et le moins qu'on puisse dire, c'est que celle-ci sort de l'ordinaire. Préparez-vous à découvrir un univers fantasque et résolument érotique…

Finley vit avec sa famille dans un des villages maudits du Royaume, un village qui semble avoir été oublié de tous, même de leur Prince Dragon. Voués à l'oubli, ses habitants sont peu à peu terrassés pas un mal qui les emporte. Suivant les livres et ses intuitions, Finley élabore un remède qui temporise le mal, mais pour ça, il lui faut faire des incursions sur le territoire de la bête. Quitte à ne jamais en revenir…

Passé l'effet de surprise de la plume et surtout de l'univers un brin farfelu imaginé par l'auteure, je dois avouer que j'ai bien aimé cette histoire. On retrouve les éléments qui font la trame de l'histoire originale : une fille perdue dans ses bouquins, une malédiction, une Bête qu'on a pas spécialement envie d'apprivoiser tout de suite… le tout retravaillé dans un univers où les démons succubes ont pris possession du château royal. le lieu se transforme en royaume de luxure et de perversion une fois la nuit tombée, pas besoin de vous faire un dessin sur ce qui s'y passe ! Les habitants du royaume sont des métamorphes qui n'ont plus accès à leur bête intérieure.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Finley, qui se bat pour son village oublié de tous. Elle est très intuitive, directe et son franc-parler est à la fois surprenant et rafraîchissant. Elle a assez de caractère pour tenir tête au Prince Dragon, ce qui engendre des joutes verbales qui m'ont enchantée ! Ses interactions avec la Bête sont chargées en tension, en colère mais aussi en un désir presque incontrôlable. Je dis presque parce que Finley lutte encore et encore…ce qui nous donne un duo délicieusement frustrant !

Évidemment nous avons la Bête. le Prince Dragon. Personnage mystérieux qui va se dévoiler peu à peu à Finley. Il est à la fois puissant, agaçant, terriblement attirant, prodigieusement difficile. Mais le mystère attire Finley comme un paillon le serait par la lumière. Reste à savoir à quel point elle va se brûler les ailes… Quant aux personnages secondaires, ils sont complétement décalés mais drôles. On se les imagine sans mal.

Au final, malgré l'érotisme un peu cru et assez présent, cette histoire a suffisamment attisé ma curiosité pour que j'ai envie de connaître la suite. J'ai passé un bon moment de lecture.
Lien : https://despagesetmoi.fr/202..
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (315) Voir plus



Quiz Voir plus

La fantasy pour les nuls

Tolkien, le seigneur des ....

anneaux
agneaux
mouches

9 questions
2519 lecteurs ont répondu
Thèmes : fantasy , sfff , heroic fantasyCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..