Le chiffre qui tue nous offre la possibilité de retrouver l'un des personnages les plus étranges de la littérature policière puisque le sentiment que l'on peut avoir vis-à-vis du policier évolue de titre en titre tant son traitement est loin d'être manichéen.
Le commissaire Rosic, puisqu'il s'agit de lui, nous démontre une nouvelle fois son aptitude à se tromper, à mal raisonner, et ce avec fougue et, parfois, mauvaise foi. Pour autant, on apprécie le commissaire pour ce qu'il est et l'on se délecte de son affrontement récurrent avec son plus grand ennemi, JAcques Vix.
Rodolphe Bringer, un auteur malheureusement oublié, qui offrit ses lettres de noblesse à la littérature populaire à travers une production immense, digne d'un
Simenon ou d'un Dard.
A découvrir !