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Citations sur Le garçon et la ville qui ne souriait plus (20)

Qui sommes-nous, pour décider de ce qui est normal ou pas ? Qui sommes-nous pour décider qui doit vivre dans notre société, et qui ne le doit pas ? Et sous quel prétexte ?
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S'il n'a pas été facile de se dresser contre les Lois de la Norme, il est peut-être plus difficile encore de pardonner à ceux qui n'ont pas eu suffisamment de courage, d'amour, d'inconscience - ou de tout cela à la fois - pour le faire.
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Je trouve qu’il y a quelque chose de fascinant dans cette diversité. […]
Aimeriez-vous n’être entourés que de personnes complètement identiques à vous ?
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Il n'y a pas de bonne cause ou de mauvaise cause, il n'y a que des causes auxquelles on croit, ou pas.
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- Et mère ? Me pardonnera-t-elle ?
- Ne t'inquiète pas. L'amour pour un enfant se donne et ne se reprend jamais. Elle a juste besoin de temps.
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Ceux-là s'arrogent un pouvoir qui ne devrait jamais être à leur portée. Nul ne doit disposer de la vie d'un autre. Et nul ne doit non plus condamner quelqu'un pour ce qu'il est.
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-Tu as raison, Akou. Mais il me manque une chose. Une seule qui gâche toutes les autres, que vous avez et que moi je n’ai pas.
- Et c’est quoi ce fameux trésor?
- La liberté.
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- Aimeriez-vous n'être entourés que de personnes complètement identiques à vous ? demande-t-il.
Romain et Ambroise secouent la tête en même temps.
- Ce serait terrifiant, acquiesce le prince. Il n'y aurait plus d'inconnu. Plus de surprise. Plus d'incertitudes. Plus rien pour nous déranger, nous changer. Nous n'aurions plus besoin de défendre nos avis : nous aurions tous les mêmes. Nous n'aurions même plus besoin d'avoir des avis, d'ailleurs ! Ce serait la fin de ce qui rend chacun de nous unique... et donc absolument indispensables aux autres.
Malgré son souffle court, il poursuit :
- Contrairement à certains penseurs de l’Église, je suis convaincu que la différence est justement le fondement de la société. Elle nous enrichit, nous ouvre, des horizons sans limites. Elle nous permet d'envisager plusieurs chemins, de les jauger et d'ensuite prendre le meilleur. Sans différence, la société stagne, n'évolue plus. C'est la mort assurée.
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- J'aime ça comme la colique..., maugrée Akou. J'vous préviens que si ça sent le démon, j'me carapate tout de suite !
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Qui sommes-nous, pour décider de ce qui est normal ou pas ? Qui sommes-nous pour décider qui doit vivre dans notre société, et qui ne le doit pas ? Et sous quel prétexte ? Et il y a autre chose encore. Si nous poursuivons dans cette voie, qui nous garantit que demain, la Police de la Norme ne viendra pas chercher les veuves éplorées coupables d’avoir perdu leur mari, les gauchers, ceux à la vision trop basse, les vieux ou les femmes et les hommes aux cheveux roux ?
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