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3,85

sur 4535 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Malone a trois ans, il aime sa peluche qui lui raconte des histoires et affirme régulièrement que sa maman n'est pas sa vraie maman. Un roman policier basé en grande partie sur la pédopsychiatrie et les théories du souvenir chez l'enfant, une suite de rebondissements parfois un peu invraisemblables, mais une histoire attachante.
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Mon premier Bussi est malheureusement je me suis un peu ennuyée,l'histoire met du temps à prendre forme...
Heureusement qu'il y a quelques péripéties qui nous surprennent...
Mais dans l'ensemble j'ai eu du mal à accrocher
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C'est la première fois que je suis si mitigée par un livre de Michel Bussi. L'histoire est très tortueuse, les 3/4 du livre passent lentement alors que le dénouement est à mon sens très rapide.
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Lu en Août 2018
Histoire séparée en trois parties : Marianne, Amanda et Angélique. Dans ces parties, il y a également la date qui est notée.
La commandante Mariane mène deux enquêtes en même temps : celle d'un braquage et celle d'un petit garçon qui dit qu'il ne vit pas avec sa vraie maman.
Le suspense et les émotions sont bien présents. Je me suis attachée aux personnages. J'avais envie de connaitre le déroulement et la fin des deux enquêtes.

Spoile : je ne comprends pas comment Angie pouvait vivre une relation avec le psy tout en étant avec Timo qui avait besoin de soins et son boulot de coiffeuse. Mais c'est une femme :)
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Deuxième roman de Michel Bussi de mes vacances, que je recommande ! Toujours un style très accessible, fluide et captivant.
Les personnages sont attachants, le personnage principal de l'histoire étant un bambin. Certains passages poétiques "aèrent" le style du roman, ce qui est très agréable.
Un livre que je recommande pour une lecture de vacances divertissante.
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Il s'agit d'un roman avec une histoire qui commence fort et accroche de suite l'intérêt. Et pour cause, on ne commence pas par le début, on est de suite plongé dans le feu de l'action et on se pose 1000 questions.

Il y a toutefois quelques points qui m'ont dérangée. Dans les dialogues par exemple, Malone semble bien plus âgé que trois ans (Je sais bien que le psy affirme qu'il s'exprime comme s'il était plus âgé mais tout de même...). Je n'ai pas vraiment apprécié le caractère de Marianne, ni le fait qu'elle soit tant obsédée par l'idée d'avoir un enfant qu'elle s'imagine qu'un type avec qui elle discute au téléphone et qu'elle n'a jamais rencontré pourrait être le futur père. J'ai trouvé que c'était un peu le cliché de "à partir d'un certain âge, toutes les femmes sont désespérées d'avoir un enfant", écrit par un auteur masculin qui ne savait pas de quoi il parlait. Je n'ai pas trouvé les personnages très attachants. L'histoire a moins de rebondissements que ce à quoi je m'attendais et les histoires du doudou finissent par devenir un peu lassantes au fil de l'histoire, même si elles contiennent des messages importants. J'avais deviné certaines révélations assez tôt dans le livre et j'ai trouvé la fin peu crédible et un peu décevante.

Mais il y a heureusement aussi des points positifs. L'écriture est assez agréable et le livre se lit facilement. le thème a quelque chose d'assez fascinant et il y a des discussions intéressantes dans le roman sur la mémoire et les souvenirs. Même si je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages, j'ai trouvé qu'il y avait quelques moments touchants. Enfin, le roman maintient suffisamment l'intérêt pour avoir envie de continuer de lire et de savoir comment cette histoire se termine.
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Un polar facile à lire qui fait passer un bon moment. Mais une intrigue moins recherchée que celle des autres romans de cet auteur, enfin ceux que j'ai lus : Nymphéas noirs (qui reste mon préféré), Un avion sans elle, N'oublier jamais et Ne lâche pas ma main. Peut-être est-ce parce que je m'habitue au procédé littéraire de l'écrivain et donc avais trouvé une partie de l'énigme ? Toujours est-il que j'ai passé un bon moment même si je sais que cette lecture ne restera pas inoubliable.

La commandante Marianne Augresse (oui, les noms des personnages chez Bussi sont toujours aussi peu crédibles mais bon, ça fait partie du scénario), la presque quarantaine et célibataire, est sur une affaire de braquage à Deauville depuis quelque temps déjà. Aussi quand un psy scolaire vient lui demander de l'aide parce qu'un gamin de trois ans lui dit que sa mère n'est pas sa vraie mère, elle se demande pourquoi elle prendrait en compte les affabulations de ce môme et les appréhensions de ce type, alors qu'elle n'a pas de temps à perdre. Oui mais voilà, Vasile Dragonman (le psy, joli nom pas vrai !) est célibataire, bien bâti, a un accent roumain non déplaisant... et lui certifie qu'il faut agir vite car la mémoire enfantine s'efface très rapidement et les souvenirs de château, de pirates, etc. du petit Malone Moulin (il mouline, il mouline le petit !) risquent de disparaître à jamais.
Aussi, notre Marianne nationale, aidée de Lechevalier et Pasdeloup entre autres (qu'est-ce qu'on s'amuse chez Bussi avec les noms !) va n'écouter que son c... coeur bien sûr et plonger dans cette seconde enquête...

Ouf ! C'était un vrai exercice de vous expliquer le pourquoi du comment sans en dire trop tout de même. J'ai bien aimé le personnage de la Commandante qui se laisse parfois déborder par ses sentiments et ses émotions, par sa copine Angie avec qui elle partage du rioja...

Michel Bussi nous emmène au Havre cette fois et nous parle des anciennes mines en terre normande, mais surtout il aborde le phénomène de la mémoire avant trois ou quatre ans, mémoire éphémère.
C'est drôle d'ailleurs parce je dois avoir cet âge-là quand je lis ses romans : je ne sais plus de quoi ils parlent quelque temps après. Hi hi hi ! Sauf pour Nymphéas noirs.

Lien : http://mes-petites-boites.ov..
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J'ai lu Maman a tort après avoir vu la série adaptée pour France 2. Au départ, le plaisir a été un peu gâché, les rebondissements n'ayant pas la même portée. Mais au fil de ma lecture, j'ai pu faire une sorte de comparatif. Et très clairement, j'ai préféré le roman. J'ai le sentiment que les scénaristes ont gommé des fils un peu trop complexes, les liens familiaux notamment sont différents et simplifiés. Et je n'ai pas retrouvé dans le roman, à mon grand bonheur, des lieux communs qui m'avaient déplu dans la série (l'histoire d'amour entre la flic et le psy en particulier).
Michel Bussi réussit dans ce roman à construire un personnage de commandante, célibataire, sans enfant, qui ne tombe pas dans la caricature. Marianne est une femme attachante, et son rapport à son équipe masculine est plutôt juste.
Et puis en normande qui se respecte, j'ai été ravie de lire un livre qui se passe chez moi (même si je trouve la description de Potigny un peu dure...).
Est-ce qu'à partir d'aujourd'hui je fais partie des fans inconditionnels de Michel Bussi ? Non. Est-ce que je lirai à nouveau l'un de ses romans ? Oui, très certainement, car il ne faut pas bouder les romans policiers efficaces qui nous font passer de bons moments de lecture.
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J'ai lu il y a quelques années "Un avion sans elle", qui m'avait laissé le souvenir d'une lecture agréable, pas trop compliquée, intrigue et personnages sympas. Pas un super grand roman qui casse la baraque, mais une lecture qui coule toute seule.
"Maman a tort"me laisse un peu plus partagée.  Tout d'abord, le postulat de départ : un enfant de trois ans qui affirme de toutes les façons possibles que sa mère n'est pas sa mère + un psy hyper dévoué et déterminé à prouver que ce que dit l'enfant est 100 % vrai même si les certitudes du tout petit lui viennent...de ce que lui raconte son doudou chaque soir. Déjà, là, je me suis dit que le gars, il a la foi... Mais bon, il a raison d'y croire finalement, alors je ne peux pas lui jeter la pierre : il fallait bien que quelqu'un croit le gosse pour que l'histoire démarre.
J'ai trouvé le récit alambiqué et un peu long parfois, enfin : très long. J'ai lu en diagonale- oui, je sais, ça ne se fait pas etc mais je voulais quand même connaître la fin parce que les histoires d'enfant perdu-volé-malmené, moi ça me tord les tripes.
J'ai donc lu en diagonale, m'attardant parfois sur les scènes d'action-enquête plutôt sympas, revenant en arrière pour comprendre des trucs que j'avais loupé -dans le style "Comment, il est mort lui ?!".
Une lecture donc loin d'être linéaire, mais qui finalement fut rapide et pas désagréable.
L'histoire est originale bien qu'un brin tarabiscotée et franchement tirée par les cheveux. Il y a parfois un peu trop de"clins d'oeils" au lecteur, qui, à moi, m'ont laissé un arrière goût un peu bizarre (les noms des personnages en particulier).
Mais bon, le bilan est positif, j'ai passé un moment sympa avec ma méthode de lecture expurgée et en accéléré. Si, c'est positif quand même. Non ?
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L'auteur nous amène à un constat : l'enfant est doué d'une capacité à l'oubli et à une adaptation très développés. Si aucune piqûre de rappel ne serait fait, alors la vérité serait oubliée contre une fausse réalité. Et c'est ce qui arrive à Malone, sans Gouti il ne saurait plus que sa maman-da n'est pas sa vraie maman. le lien maternel n'est-il que simple invention ? le comportement de Malone reste parfois étrange, surtout lorsqu'il pleut. Mais, l'enfance est faite d'étranges comportements qu'adultes nous oublions. Sa relation avec Gouti est étonnante, puisqu'il nous paraît évident que ces conversations ne sont que le fruit de l'imagination du petit garçon. La commandante Augresse quant à elle est un stéréotype de femme atteignant la trentaine en mal d'enfants, prête à jeter son dévolu sur n'importe quel homme. Énervante à souhait. Au lieu de s'approprier son personnage, on s'approprie davantage le personnage de Malone malgré la barrière de l'âge. Quant au psy, on se demande toutefois pourquoi il porte une si grande attention à un enfant qui parle à son doudou ? On devine facilement le lien entre les deux affaires, et entre Malone et Angie, mais on ne distingue pas la réelle chute avant de l'avoir lue. Une chute quelque peu facile et étonnement sans aucune conséquence pour la commandante.
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