Inès Cagnati signe ici un troisième ouvrage qui évoque le monde paysan.
le Jour de Congé (Prix
Roger Nimier en 1973) et le Lézard qui pleurait soulignaient déjà son attachement aux senteurs et aux sensations liées à la terre. Elle-même élevée dans un milieu paysan italien, elle retrace avec force et sensibilité, les sentimens crus, durs et parfois incompréhensibles qui unissent les êtres et les font souffrir.
Véritable cycle de douleur, Inès Cagnat signe ici, à l'aide de phrases courtes et de mots répétitifs, une ôde à l'amour que porte l'enfant à sa mère.
Une écriture pure et forte qui nous transporte jusqu'à la fin poignante du récit.
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