Décidément, sur ses vieux jours, Montalbano tombe encore amoureux. Amoureux de sa voisine, la belle madame Lombardo, qui semble jouer avec lui un drôle de jeu.
J'avoue qu'entre mafia, amours coupables, chantages, je m'y perds un peu. J'ai quand même terminé ce roman, par respect pour cet auteur que j'appréciais beaucoup, mais je trouve qu'il perd un peu son souffle… Il y a quand même toujours des bonnes recettes italiennes, et je me demande comment il peut avaler tout ça.
Ce roman est pour les inconditionnels de Camilleri. Quant à moi, je trouve que Montalbano pourrait prendre sa retraite, et épouser enfin sa Livia, au lieu de se disputer avec elle tous les soirs au téléphone.
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