Stigmate

J'ai adoré ce roman qui , je trouve, est une bonne suite.c'est un peu dommage que l'inspecteur tourne mal. j'aimais bien ce personnage. Je suis pressée de lire les deux autres livres.

Martin Delafosse et sa femme, Myriam, s'excitent de façon saugrenue dans les transports en commun. Pour autant presque pas d'érotisme dans cette histoire. Ces deux agents Serbes ne sont pas des enfants de coeur mais ils ont pour job d'arrêter Kurtz. Leur relation a été une source d'inspiration... Leur cible (Kurtz) est chauve, un peu gras, les yeux rieurs... Cela dit, il entreprend tout un Travail de changement physique à leur insu... Charles & Michèle Mariek sont ensembles... Enfin jusqu'à ce que Charles soit assassiné et ne laisse à Michèle qu'un désir de vengeance envers Kurtz et les siens...
Thomas Davron et Rufus Baudenuit veulent aussi la peau de Kurtz. On lui a fait porter le chapeau pour le meurtre de sa famille... En prison, son mal est moindre... Il veut aussi trouver notre psycho préféré. Les plus à plaindre sont peut-être Andréas et sa fille Clara, complétement lavés du cerveau...
On la connait la véritable identité de Kurtz (dès le début ! ). C'est Olivier Lavergne. L'attaque sur son entrepôt à permit de libérer bien des otages...
Michèle Mariek a tué un homme, elle l'assume pleinement. Michèle a tué l'assassin de Charles... Quant à Rufus et Serguei, les flics, ils veulent bien sûr mettre la main sur leur némésis... C'es alors que Rufus est kidnappé par celui-là même.
Dans ma première Lecture je n'avais pas fait très attention aux passages Du Livre "Les voies de l'ombre" et en effet ça ajoute pas grande chose au récit, si ce n'est les justifications et le code moral du tueur.;). Ce qui n'est pas rien non-plus, remarquez.
Andréas est hanté par Kurtz... Au détours de chaque figure qu'il croise. Pour qui, chacun de ses semblables n'est pourtant que du bétail ; ). ... Tandis que Daza est proche de l'arrêter!
L'ex captif est rongé par le mal... Il cogne sa fille Clara pour la première et dernière fois. Puis il demande à aller en Hôpital Psychiatrique, qui n'est vraiment pas la même chose, de 2008 et 2023 (Autrement plus invasif!)...
Cette histoire est bonne mais oui, elle est un poil trop long.
Tout ce petit monde, Martin, les flics, Daza et Serguei veulent la même chose.
Kurtz est vraiment haïs! Faut dire qu'il reste assez abominable...
Rufus, Michèle et Andréas se battent entre eux pour savoir qui tuera Kurtz.
Le dressage du psycho porter a-t-il ses fruits?!
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg

La suite de Predation avec les mêmes personnages et quelques nouveaux notamment le nouveau commissaire qui a pris la place de Beaudenuit et de Béranger.
Le "patron de Kurz" est confondu. le père de Michèle Marieck qui a fait tuer son mari et mis (en vain) un contrat sur Kurz. Mais Michèle se suicide.
Davron, libéré grâce à Beaudenuit, retrouve ce dernier chez son voisin. Mais Béranger qui l'accompagne est tué par Kurz.
Kurz fait croire en sa mort et part en Suisse changer de visage pour ressembler à Marlon Brondo. Dara démissionne de la police, persuadé d'avoir bouclé définitivement le dossier Lavergne.
Beaudenuit et Davron enlève Andrés Darblay du centre psychiatrique ù il est interné après avoir frappé sa fille.
Davron, Beaudeniut et Darblay se retire dans une pension. Davron s'en va. Darblay reçoit le manuscrit de Lavergne. Beaudenuit et Darblay part à sa recherche dans les Alpes. Kurz se fait capturé et torturé par Beaudenuit. Mais tout était soigneusement calculé par Kurz. Beaudenuit est tué par balle par Kurz et Darblay torturé dans son esprit, admire Kurz et le rejoint. Il a dû être bien dressé.

Style un peu différent du premier tome. Les personnages montent en intensité. Grâce aux extraits de la voie des ombres on suit la psychologie de Lavergne dans ses réflexions et ses délires. Un peu d'action avec les tueurs engagés pour tuer Lavergne. On suit également l'évolution psychologique de Darblay qui, après avoir échappé à Lavergne, essai de retrouver une vie normale puis sombre du côté obscur pour enfin rejoindre Kurz, son maître qu'il ne peut s'empêcher d'admirer. Ou est-ce pour mieux le comprendre pour mieux se venger ?
A suivre...

Tout d'abord, avant de se lancer dans la lecture de ce second tome de 'Les Voies de l'ombre', il vous faudra à minima lire le premier, pour connaître les personnages, le contexte, et saisir l'intrigue.
Je recommande aussi la connaissance du film 'Apocalypse Now' de F.F. Coppola, et/ou celle du roman de J.Conrad 'Voyage au coeur des ténèbres'. Les Voies de l'ombre s'inspirent du thème abordés dans ces deux oeuvres, le film s'appuyant sur le roman; le 'méchant' étant le colonel Kurtz du film, dont il reprend le nom.
Ce second tome surprend moins que le premier, s'inscrivant dans une continuité qui l'alourdit parfois (comme la présence des pages du manuel de 'Kurtz', qui selon moi n'apportent que peu à l'intrigue). Je regrette aussi que la personnalité des protagonistes soit superficielle, leurs actions relevant parfois de stéréotypes (et donc prévisibles), ou plus rarement peu crédibles (A. qui renonce à ce qui l'a aidé à vivre et pardonner K. pour rejoindre les Voies de l'ombre).
Quelques facilités improbables permettent sans doute d'alléger le récit, mais rendent le tout moins réaliste qu'un lecteur pointilleux ne l'exige (K. qui a tout prévu...).
Vous l'aurez compris, si vous avez aimé le premier tome, lisez le second, sans espérer qu'il soit aussi réussi. Et, on peut parfaitement s'arrêter là ;-).

Avec ce second opus des « Voies de l'ombre », le coté traumatique de la séquestration et ses dégâts psychologiques sont développés au travers des personnages de Rufus, Thomas Davron, Michel Marieck et Andréas Darblay qui tous furent les victimes de Kurtz, dangereux psychopathe totalement déshumanisé. Chacun va réagir à sa façon, que ce soit par la haine et le désir de violence et de meurtre, par le pardon , par le questionnement profond sur la personnalité de Kurtz et son fonctionnement psychologique.
A la fin du premier opus, Rufus comprend soudain qui se cache derrière le personnage de Kurtz et lance une opération policière , tandis qu'Andréas a trouvé le moyen de s'échapper avec d'autres compagnons d'infortune. Parallèlement, Clara réussit également à s'évader avec Louis et Timon . Thomas Davron quant à lui , injustement accusé du meurtre de sa femme est libéré de prison et Kurtz est enfermé.
On pourrait croire que tout va rentrer dans l'ordre , qu'Andréas retrouvant sa fille va pouvoir profiter de la vie, que Thomas va savourer sa liberté retrouvée, que Charles et Michèle Marieck vont tenter d'oublier ensemble cet épisode traumatique mais c'est sans compter l'ingéniosité de nos deux auteurs qui vont nous concocter une suite des plus surprenante. L' ombre maléfique de Kurtz plane toujours sur la vie de toutes ces victimes traumatisées et transformées à jamais par ce qu'il leur a fait subir.

Décidément, j'apprécie vraiment l'écriture à deux mains des auteurs. On bascule d'un personnage à l'autre, les chapitres sont court, il n'y a pas de temps morts. Dans ce second tome, on retrouve immédiatement l'atmosphère pesant du premier, tout est cohérent et sans fausse note. La psyché de Kurtz est toujours aussi malsaine, ce personnage est particulièrement bien écrit et son intelligence mise au service du mal est encore plus développé que dans le premier volume. J'ai hâte de lire la suite.

Je suis très partagée sur ce livre : autant la première partie est bien construite, on y retrouve les "prisonniers" de Kurtz avec chacun ses stigmates et sa façon de continuer à vivre (en gros, le pardon, l'oubli ou la vengeance) ce qui est super intéressant mais la deuxième partie est longue, longue et totalement invraisemblable (je ne peux pas imaginer que Rufus se fasse avoir comme cela).
En plus, il y a vraiment trop de personnages qui compliquent l'histoire sans rien apporter, on n'a pas la réponse à toutes les questions, bref, à la fin, il n'y a plus que 3 personnages, l'enquête n'est plus là ...
Les chapitres sur le "livre" de Kurtz cassent le rythme.
J'ai lu jusqu'au bout mais sans véritable envie.
J'espère retrouver dans le prochain ce que j'avais adoré dans le premier ou dans W3.

Prédation, Stigmate et Instinct. Il ne semble pas possible, sauf rejet complet, de ne pas lire les 3 à la suite.
Dans ce 2ème tome,les victimes se muent en enquêteurs dans une course au travers du pays, mais Kurtz a toujours une longueur d'avance. Cet aspect "super homme" physique et intellectuel de celui qui n'est jamais revenu du « coeur des ténèbres » fragilise d'ailleurs le livre et pose quand même fortement le problème de la vraisemblance, tant on a l'impression d'avoir affaire à un vampire que rien ne semble pouvoir abattre.
Le style de l'écriture est par contre assez bien maîtrisé, même si des clichés inhérents au genre, demeurent.

Alors au final, il faut lire cette trilogie très accrocheuse. Une fois la série terminée, le souffle court, savourez votre plaisir et n'y repensez plus.

A mes yeux, le moins bon des 3 tomes.
On perd en intensité, en intention sûrement.
Trop de caricatures, et de situations rocambolesques.
C'est une véritable suite au 1er tome, mais qui perd un peu de saveur. Dommage.
L'envie de finir la trilogie n'en reste pas moins évidente.

Dans ce deuxième opus sur les quatre qui composent cette sombre histoire, l'auteur nous emmène dans les méandres du cerveau du plus cruel et génial tueur que l'inspecteur Baudenuit ai jamais pourchassé.
J'ai trouvé ce deuxième tome un peu long avec quelques répétitions qui m'ont fait sauter quelques passages ; je n'ai pas retrouvé le suspense du premier tome qui était très prenant. Les personnages qui étaient principaux dans le tome précédent deviennent un peu secondaires dans celui-ci. Je vais lire le troisième car la curiosité est très forte surtout avec une fin comme celle-là !