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Critique de MicheleP


Truman Capote annonçait qu'avec ce livre, il deviendrait le Proust du New York des années cinquante. Las ! il n'a même pas pu l'achever. Les trois nouvelles qui en constituent l'essentiel ne sont que ramassis de potins malveillants (mais y a-t-il des potins bienveillants ?), toujours au dessous de la ceinture. Finalement, sauf par intérêt pour l'histoire de la littérature américaine, mieux vaut lire le roman de Mélanie Benjamin, "Les cygnes de la cinquième avenue", qui brode sur la même histoire, mais avec une certaine empathie.
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