Truman Capote annonçait qu'avec ce livre, il deviendrait le
Proust du New York des années cinquante. Las ! il n'a même pas pu l'achever. Les trois nouvelles qui en constituent l'essentiel ne sont que ramassis de potins malveillants (mais y a-t-il des potins bienveillants ?), toujours au dessous de la ceinture. Finalement, sauf par intérêt pour l'histoire de la littérature américaine, mieux vaut lire le roman de
Mélanie Benjamin, "
Les cygnes de la cinquième avenue", qui brode sur la même histoire, mais avec une certaine empathie.
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