Citations sur La fille de braises et de ronces, Tome 2 : La couronn.. (17)
Je donnerais ma propre vie, mon propre souffle, si c'était possible. C'est un homme bon, un homme honnête et droit. Il mérite de vivre.
Je pose la main sur le cercueil et, une fraction de seconde, j'imagine que je sens le cœur d'Alejandro battre sous la pierre.
[...] qu'y a-t-il de plus ridicule, se tenir prête pour un évènement qui ne se produira peut-être jamais, ou ne pas se préparer à quelque chose qui risque fort de se produire ?
"Je savais que les membres du conseil n'avaient que peu de respect pour moi, mais là, je tombe de haut. Et ses mots me font mal, car ils touchent la vérité du doigt"
-Hector !
[...]
-Je ne vous ai jamais, jamais considéré comme une simple distraction.
[...]
-Et vous m'embrasserez à nouveau. Et plus encore. Comptez là-dessus.
Ses pupilles s'embrasent.
-Je ne peux pas me défendre contre vous.
Mon cœur tambourine contre ma poitrine. Je vibre de tout mon corps, les lèvres entrouvertes.
-Je vous ai dit que mes sentiments n'auraient aucune influence sur mon travail, poursuit-il. Mais chaque fois que vous me souriez, et surtout quand vous me regardez de la façon dont vous me regardez en cet instant même, le reste n’existe plus. Dans ces moments-là, je ne réponds plus de rien, tant je suis submergé par l'intensité de ce que j'éprouve pour vous.
-Ximena a raison, vous savez. Vous pensez que cela me rend plus fable ? De m'attacher un peu trop aux autres ?
Nos deux corps sont si proches qu'ils pourraient presque fusionner.
-Non. Au contraire.
-Moi non plus. Cela me fait souffrir davantage, tout simplement.