Je te veux, tome 1 : Loin de moi !

La gourmandise avait du bon et pouvait apaiser n’importe quelle détresse et son ami le caramel était le meilleur antidépresseur contre les connards.

Tel est pris qui croyait prendre...

Qui ne dit mot consent.

Les femmes, il avait fait une croix dessus depuis longtemps. Ne pas leur faire confiance, ne pas se laisser bercer par leurs paroles, ne pas promettre quoi que ce soit. Juste s’en servir pour des besoins primaires.

Le maquillage, quoi de mieux pour dissimuler sa vraie nature, faire semblant, montrer aux autres un autre visage.

L’attente paie toujours !

Les femmes ont le pouvoir de faire baisser la garde de n’importe quel homme, même de gros clients.

C’était la première fois qu’une femme lui faisait ressentir une telle excitation. Ce n’était pas du désir, mais bien cette vague de plaisir relative à la volonté de relever un défi aussi grand que surprenant, aussi intrigant que mystérieux.

L’amour fait vraiment faire des choses débiles. Aucune fierté, encore moins d’amour propre.

Quand des millions d’euros sont en jeu, personne ne se réjouit si le projet se casse la figure. Dans un bateau, il n’y a pas que le capitaine qui sombre, l’équipage aussi.