« Au fils de ton voisin, lave-lui le nez, et prends-le pour tien. »
...quand il attrapait un chien dans la rue, ou partout ailleurs, il lui prenait une patte sous son pied, lui levait l’autre avec la main, et, du mieux qu’il pouvait, lui introduisait la pointe du tuyau dans certain endroit par où, en soufflant, il faisait devenir le pauvre animal rond comme une boule.
Mais, comme on l'a souvent répété au cours de cette grande histoire, il ne disait de sottises que lorsqu'il était question de chevalerie; sur les autres sujets, il montrait une intelligence claire et vive, si bien qu'à chaque instant ses actions faisaient tort à son jugement, et son jugement démentait ses actions.
Le cas est, reprit Sancho, et Votre Grâce le sait mieux que moi, que nous sommes tous sujets à la mort, qu'aujourd'hui nous vivons et demains plus, que l'agneau s'en va aussi vite que le mouton...
... car je ne sais pas plus ce qu'est madame Dulcinée que de donner un coup de poing dans la lune.
A ce que je viens de voir ici, la justice est si bonne, qu'il est nécessaire de la pratiquer même parmi les voleurs.
Il y a remède à tout, si ce n’est à la mort.
Ici l'auteur de cette histoire décrit avec tous ses détails la maison de Don Diégo, peignant dans cette description tout ce que contient la maison d'un riche gentilhomme campagnard. mais le traducteur a trouvé bon de passer ces minuties sous silence, parce qu'elles ne vont pas bien à l'objet principal de l'histoire, laquelle tire plus de force de la vérité que de froides digressions.
Peut-être dirais-je à présent que le bœuf détaché se lèche plus à l’aise.