Une corde à piano habilement maniée ne pardonne pas.
Arc-boutés chacun derrière son bonhomme, Orondo et Samano tiraient, serraient, étranglaient. Les deux corps eurent un spasme presque en même temps puis s'affaissèrent, mous, sur les sièges. Les tueurs ne relâchèrent leur étreinte qu'à la prochaine lampe orange.
Les cigares étaient tombés sur le tapis et déjà une odeur de brûlé se faisait sentir. Orondo se pencha par-dessus le dossier, les ramassa et...
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