Daevabad, tome 2 : Le royaume de cuivre

Un tome à la hauteur et parfaitement maitrisé. Nous retrouvons Nahri qui est en deuil à Daevabad et Ali qui est banni et doit lutter pour sa vie. Un nouveau personnage se révèle, qui tirait jusque là les ficelles dans l'ombre. Je ne vais rien dire de plus pour ne rien gâcher de la découverte de ce tome ou de la fin mouvementée du tome un.
J'ai beaucoup aimé ce tome, même si il ne prenait pas forcement la direction que je voulais au début. Finalement j'ai trouvé ça très bien construit, le rythme est un peu lent mais les pions se mettent en place (si je puis dire) pour arriver à une fin de tome encore explosive. Ali maintenant je l'adore, Nahri aussi mais j'attends toujours qu'elle réagisse un peu plus face au tyran qu'est Ghassan. Les relations changent pas mal entre les personnages, on découvre aussi de nouveaux liens et il est difficile, tellement tout le monde complote, de savoir comment ça peut se terminer. C'est une lecture prenante avec de nombreux rebondissements, une multitude personnages dont on ne sait au final si on doit les aimer ou pas. J'ai hâte de lire la conclusion !
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Ah qu'est-ce que j'ai aimé ce tome 2 (au même titre que le tome 1!) A tel point que j'ai lu les deux-tiers du roman en une journée ne parvenant pas à m'arrêter.

Pour autant, si on est objectif, on ne peut pas dire qu'il se passe beaucoup de choses dans ce roman. On retrouve la même ambiance que dans le premier. Voilà, ça m'a suffit. Cette ambiance, cet univers riche.

On retrouve nos trois protagonistes principaux qui se partagent la narration, cinq ans après le tome 1. On s'attache à eux, malgré leurs carences, leurs défauts. Ali vit reclus dans un village d'Am Gezira depuis 5 ans, essayant d'échapper aux assassins et de cacher les terribles aptitudes qu'il semble avoir depuis "son pacte" avec les Marids. On en apprend pas plus sur la raison de ces pouvoirs, à voir si on a la réponse dans le tome suivant ou si cela reste une situation inédite inexplicable. Quoiqu'il en soit le fils prodigue va être contraint de revenir à Daevabad pour la fête de siècle, retrouvant ainsi sa famille, les intrigues politiques, les luttes tribales... et aussi Nahri. Nahri qui se retrouve mariée à l'émir, a développé ses talents de Banu Nahida et aspire à ouvrir un hôpital où tous pourraient être soignés. On en apprend plus sur son ascendance, notamment sa nature de Shafit (à la fin) et sur le fait que Jamshid n'est autre que son demi-frère sans qu'ils le sachent. Nos deux protagonistes essayent tant bien que mal d'apaiser les tensions tribales, notamment avec l'ouverture de cet hôpital, dont l'histoire en elle-même montre une fois de plus ce cycle de vengeance : des expériences sur des Shafits, un poison destiné à les tuer, la famille du premier Al-Qatani tuée de ce fait par sa méconnaissance...
Les ressentiments sont en toute logique très forts et leurs convictions les amènent très souvent à ce qu'il y ait des dégâts collatéraux... Les rendant ainsi impuissants, prisonniers de la tyrannie de Ghassan. Si on l'avait vue dans le premier tome, elle est d'autant plus visible dans ce tome-ci.
Pour ce qui est de Dara, c'est peut-être celui pour qui je compatis le plus. Ramené une nouvelle fois à la vie, cette fois par Manizheh ( qui n'est clairement pas mieux que Ghassan...), rendu à une forme originale, celle des efrits (tout en gardant un certain code de valeurs daeva, un nouveau conflit personnel pour lui, comme s'il avait besoin d'un de plus) et destiné encore une fois à être l'arme des Nahids. Alors oui, on peut dire qu'il peut dire non. Mais ce serait nier sa personnalité, le fait qu'il place son devoir d'Afshin par-dessus tout, le rendant capable de désapprouver mais de faire quand même des actes qui ne peuvent que l'éloigner de sa Nahri adorée comme on peut le voir sur la fin avec l'invasion du palais, le poison sur les Geziris, etc. le coeur de Nahri se brise irrémédiablement, encore et encore. le mien également.

L'intrigue fait qu'on apprend un peu plus de choses sur cet univers si riche, sur des éléments du passé qui remontent à plusieurs millénaires. Des points sont abordés sans pour autant être développés. Ca reste très vague, peut-être un peu frustrant mais ça apporte indéniablement un plus à cette histoire, rajoute une énième raison de vengeance, si bien qu'on a la sensation que cette trilogie ne peut être qu'une tragédie inexorable. Qui peut amener de l'harmonie avec autant de rancoeurs, de ressentiment, de vengeance? Que ce soit les marids contre les daevas, les efrits contre les deavas/Djinns, les Djinns contre les Daevas, les Shafits, contre les Daevas... La réponse semble toute trouvé : Nahri. La fin du tome 2 peut nous laisser présager le déroulement suivant : Ali et Nahri affrontent Manizheh, les deux se marient, apportant par leurs valeurs une espèce de conciliation, de rapprochement véritable... A voir si c'est ce que nous réserve l'autrice.

La fin est trépidante. La narration alternée fait qu'on sait que ce sera une explosion d'actions. Les chapitres défilent très vite, les masques tombent, notre petit coeur se brise, comme on le redoute durant tout le récit et des révélations bouleversantes sont apportées. Plus de magie à Daevabad. Munthadir en vie alors qu'il est censé être mort grâce au fait que le poison du zulfikar ne peut plus faire de magie vu qu'elle n'est plus là (mais il reste mort pour Nahri et Ali). Quid de Jamshid, qui ne sait rien de tout ça mais reste tout de même un héritier Nahid... mais épris d'un Al-Qatani. Nahri qui met l'anneau du sceau de Sulaymane à Ali, qu'il le veuille ou non. Sans pour autant que ça les empêche de se réfugier au Caire. Pourquoi d'ailleurs? Est-ce pour cela qu'il n'y a plus de magie à Daevabad? Sûrement. Beaucoup de questions qui te donnent très envie de découvrir la suite. Les lisant en poche, ce sera en septembre pour moi ( d'où une chronique très spoilantes^^). J'ai hâte!

Fort heureusement, j'ai lu le 1er tome il y a peu de temps, donc j'ai réussi à retourner à Daevabad rapidement, car je me rappelais encore bien de toutes ces tribus. Ce fût un vrai plaisir de retrouver Ali, Nahri et Dara qui ont bien changé en 5 ans.
Ce tome se lit bien comme le 1er, on retrouve le très beau style de l'auteur, des descriptions magnifiques, fouillées et un dépaysement total.
Nous avons toujours des relations politiques complexes, mais un peu moins que dans le premier car on commence à s'habituer !
Malgré ces 800 pages, j'ai trouvé qu'il se lisait vite.
Les points négatifs que j'ai relevé et qui m'empêche de mettre 5 étoiles D'abord, c'est que j'ai trouvé le côté politique et guerre entre différentes tribus dans la cité un peu redondant, on a toujours un peu la même chose, le roi Ghassam s'énerve, il tue tout le monde et on le déteste, et ça recommence. C'était déjà le cas dans le 1er tome, du coup des fois on a l'impression de tourner en rond.
La 2ème chose c'est comme dans le 1er tome, je trouve que parfois la relation entre les différents personnages va trop vite ou du moins n'est pas assez expliquée. Par exemple, on voit que Nahri s'est attachée à Muntahdir pendant 5 ans, mais finalement on ne sait pas trop pourquoi.
J'ai parfois l'impression que l'auteure a une espèce de pudeur dans les relations entre les personnages (surtout homme et femme) qui l'empêche de trop développer.

Mais en dehors de ça, c'est un livre de fantasy de très grande qualité selon moi !

Après un premier tome qui permettait de poser les bases de l'univers, j'avais hâte de découvrir la suite ! Et je n'ai pas été déçue !

Ce second opus se déroule plusieurs mois plus tard et les personnages ont dû s'adapter aux différents changements. Cela les a poussés à évoluer et ils continuent tout au long de l'intrigue !
Nahri est celle qui m'a le plus impressionné car elle prend peu à peu confiance en elle et dans ses capacités. de plus, elle se rend compte de la place qu'elle occupe et du bien qu'elle pourrait faire à ce titre. J'ai apprécié la voir un peu moins nombriliste ! Certes, elle n'a pas eu le choix mais c'est un mal pour un bien. Elle comprend qu'elle peut utiliser son peu de pouvoir pour tenter d'aider les peuples qui composent la cité de Daevabad à s'accepter les uns les autres afin de vivre en harmonie. Grâce à elle ainsi qu'aux autres personnages, l'autrice approfondie l'aspect politique de l'intrigue !
Ali n'est pas en reste. Exilé en secret par son père, il a dû s'adapter et survivre aux tentatives d'assassinats. Je trouve que cela lui a été bénéfiques quelques parts car cela l'a forcé à grandir, s'émanciper de l'influence de son père. On va pouvoir effectivement le constater lors de son retour à Daevabad où il aura plus que jamais envie d'aider la population (de manière peut être un peu trop extrémiste parfois alors qu'il aurait fallu jouer de manière plus fine, mais bon…).

Par ailleurs, de nombreuses révélations viennent rythmer la fin du roman au même titre que l'action !

Pour conclure, ce second tome est encore meilleur que le premier et j'ai hâte de pouvoir me procurer le dernier afin de voir jusqu'où nous emmènera l'autrice !
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Avec un début un peu long à mon goût, j'étais légèrement sceptique. Finalement, j'ai largement préféré ce tome au premier. Les premières pages prennent le temps de poser le cadre, plusieurs années après le premier tome. Elles auraient certainement pu être un peu plus courtes, même si cela aurait eu pour conséquence de donner moins de corps à certains personnages.
L'histoire finit après par s'emballer, fort. J'ai passé la deuxième moitié du livre happée par l'enchainement de l'intrigue, en oubliant de respirer vers la fin... Sans conteste, une très belle lecture plaisir malgré le manque d'équilibre entre les parties. J'ai hâte de lire le dernier tome.

Je vous retrouve pour vous parler de ma lecture du tome 2 du monde de Daevabad. Cinq longues années se sont écoulées depuis la fin du tome 1.
Nahri et Ali ont évolués chacun de leur côté. Après la fin du tome 1, on ressent qu'ils sont meurtris par les évènements du passé.
Ce tome 2 est différent du premier mais pour ma part tout aussi bien. Certes un peu plus long dans l'évolution de l'histoire mais cela ne m'a pas dérangé. Si vous aimez les intrigues politiques et les jeux de pouvoirs ce roman est fait pour vous. Je le répète. Ici on est vraiment dans un univers de fantasy orientale avec des noms très complexes. Même si cette complexité je ne l'ai pas du tout ressenti dans ce tome. Les descriptions des lieux, des décors nous prouvent que l'auteure arrive à nous immerger dans son univers.
Le point fort dans ce roman c'est vraiment les personnages : Nahri et Ali. Comme toute fantasy, on aime et on déteste certains personnages 😅 comme un certains roi, un certain fils... Je ne révèle pas tous les noms à vous de le découvrir 😉
Nahri est mon personnage préférée. C'est une femme avec une force et un courage à tout épreuve 🔥🔥🔥
La fin : bien sûr nous a fait vibrer durant notre LC et tellement hâte de lire la fin. Vivement la sortie du tome 3 !!!
Je ne regrette pas pour le moment de mettre lancer dans cette trilogie vraiment ❤🔥

Nous voici de retour à Daevabad ! Pour moi il s'est passé moins d'un mois depuis que j'en étais partie, mais pour nos personnages, c'est pas loin de cinq ans qui les sépare de la fin du premier tome ! D'habitude je déteste ce genre de gap, que j'ai tendance à souvent considérer comme des facilités scénaristiques (dans les films/séries principalement) mais ici ça passe nickel 😊 Nahri et Ali ont eu des années pour mûrir, grandir et affiner leurs compétences dans leurs domaines. On les retrouve donc plus sûrs d'eux mais aussi meurtris par les évènements de la Cité de Laiton...
Ce tome est assez lent dans la mesure où l'action n'est pas continu mais à la place on a droit à une intrigue politique incroyable, avec nombres de complots et d'alliances en tout genre. Au milieu de tout ça, Nahri et Ali vont chacun essayer de s'affirmer et de défendre leurs opinions et leurs convictions, au risque de déplaire au roi. de nouveaux personnages interviennent également dans ce conflit politique, et la question principale du roman se démarque vite : faut-il prendre le risque de renverser un tyran si c'est pour le remplacer par quelqu'un de semblable, voire pire ? (Question qui transparaît au travers du nouveau point de vue que je ne spoilerais pas 😉)
Au milieu de cette intrigue politique, Ali et Nahri se retrouvent une fois de plus à travailler ensemble, même si le final du T1 a laissé des séquelles sur leur relation. Chacun est torturé par ses propres démons, mais leurs valeurs similaires les rapproche indubitablement. le personnage de Jamshid s'est beaucoup démarqué et je l'ai vraiment beaucoup aimé, contrairement à Munthadir qui m'a énervé la plupart du temps (même si dans le fond je l'aime quand même 😓). Les révélations concernant certains personnages étaient prévisibles pour certaines mais honnêtement ça m'a pas vraiment dérangé !
Le final est explosif ! Il est détaillé tout comme il faut et comme Crescent City (❤), l'autrice prend son temps puisqu'on a quasi 200 pages consacrées à cette dernière partie. Les pertes sont douloureuses et on vit tout avec les personnages, le moindre doute, la moindre émotion. J'ai adoré tout ce qui s'y est passé et j'ai vraiment hâte de voir comment Nahri et Ali vont réussir à faire revenir la paix à Daevabad après de tels événements ! Heureusement que la suite sort bientôt 😎

J'ai lu ce livre 3 mois après le premier tome et malgré un univers riche et dense l'auteur a réussi à nous replonger sans difficulté dans son royaume.

Ce livre est plus rythmé que le premier tome.
J'ai été heureuse de retrouver nos personnages.
Nahri et Ali ont bien évolué alors que Dara lui, ses chapitres sont un peu plus pénibles à suivre (dans les premiers temps) même si c'est important pour l'histoire.

La fin arrive assez rapidement malgré les plus de 700 pages.
Je trouve que la mort de certains personnages arrivent extrêmement vite. Et de plus la fin de ce livre nous laisse encore plein de questions : que deviennent certains personnages ? Pourquoi ici ? Pourquoi ainsi ?

Hormis ceci, ce livre est une pépite. L'univers crée par l'autrice est vraiment superbe. Ali est très attachant.

J'espère que le tome trois arrivera très vite et qu'il nous répondra à toutes nos questions.

Je me suis donc lancée dans ce second tome en ayant fortement apprécié le premier.
On retrouve avec plaisir cet univers oriental qui, au fil des pages, prend de plus en plus d'ampleur et se complexifie.
Le style est toujours simple et agréable, ce qui fait que le récit se lit très rapidement, on est tellement imprégné dans l'histoire que l'on a pas envie de lâcher le livre. le fait que l'on change régulièrement de point de vue selon le protagoniste augmente cette envie de poursuivre la lecture.
J'ai de nouveau adoré et j'ai hâte de débuter l'empire d'or.

Une pépite ce livre ! Après avoir accroché au premier tome sans pour autant être complètement fan, j'ai découvert dans le tome 2 plus de profondeur. Les personnages sont plus travaillés et j'aime tellement la façon si vraie et dure de raconter la guerre entre peuple. Pas de gentil pas de méchant, juste une haine et la vengeance qui sont les vrais sources de la guerre....

Cette vision plus profonde fait que chaque scène est une surprise et qu'à chaque chapitre je me demandais ce qui allait se passer. J'ai hâte de découvrir le tome 3 car il reste encore des questions sans réponses.

Lire un livre de fantaisie tout en tirant des leçons sur le monde réel d'aujourd'hui est saisissant et m'a réellement touché.