« une soif inapaisable pour une goutte d’humanité » (p. 86)
« j’attendais cet autre pour le combattre ; j’attendais pour le tuer, et pour rester vivant ; » (p. 57)
« quelqu’un d’autre que moi-même était maintenant sur l’île ! » (p. 45)
« j’étais de fait la seule survivance capable d’assumer le nom d’homme ; » (p. 25)
« l’idée de mourir là ne m’effrayait plus ; » (p. 21)
« la sensation la plus désagréable fut d’admettre que je n’étais au centre de rien » (p. 112)
« l’idée de l’humanité et de son existence avait sombré sans une relique en moi » (p. 41)
« au bout de quelque temps, je sentis le danger de me construire un Autre au mitan de moi-même » (p. 154)
« à force de poursuivre l’Autre-inatteignable fomenté par l’empreinte, et à force de le désirer, je lui avais conféré la densité d’une présence invisible » (p. 159)
C'est triste:le Robinson de Defoé était un négrier.