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Inspecteur Girard tome 15 sur 16
EAN : 978B0CBMVK1L4
70 pages
OXYMORON Éditions (11/07/2023)
3/5   1 notes
Résumé :
L’inspecteur GIRARD est, pour une fois, chargé d’une enquête relativement simple : le braquage d’une bijouterie.

Le joaillier est parvenu à téléphoner à la police après avoir été agressé et celle-ci a débarqué suffisamment rapidement pour saisir le voleur au collet à sa sortie de la boutique.

Pourtant, le suspect nie les faits, bien que des bagues aient été retrouvées dans ses poches et prétend ne pas savoir ce qui lui est arrivé.
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Je poursuis ma découverte des enquêtes de l'inspecteur Girard (parfois nommé Gérard) d'André Charpentier.

Pour rappel, André Charpentier (1884-1966) était journaliste et un écrivain prolifique qui oeuvra beaucoup pour la littérature populaire dans les genres aventures, jeunesse et policier.

Quant à l'inspecteur Girard, sa carrière littéraire débuta en 1936 et vécut au moins une vingtaine d'enquêtes dont la plupart furent publiées, sous la forme de fascicules de 64 pages, dans les collections « Crimes et Police » et « Police » des éditions Ferenczi.

Mais on retrouve également sa trace sous la forme de fascicules de 32 pages dans la collection « le petit roman policier complet » des éditions Ferenczi et chez un autre éditeur.

On trouve également sa trace, au moins une fois, dans « Les contes des 1001 matins » du journal le Matin.

« le guet-apens » est, à l'origine, un fascicule de 32 pages publié fin 1941 dans la collection « le petit roman policier complet » des éditions Ferenczi.

Je poursuis ma découverte des enquêtes de l'inspecteur Girard (parfois nommé Gérard) d'André Charpentier.

Pour rappel, André Charpentier (1884-1966) était journaliste et un écrivain prolifique qui oeuvra beaucoup pour la littérature populaire dans les genres aventures, jeunesse et policier.

Quant à l'inspecteur Girard, sa carrière littéraire débuta en 1936 et vécut au moins une vingtaine d'enquêtes dont la plupart furent publiées, sous la forme de fascicules de 64 pages, dans les collections « Crimes et Police » et « Police » des éditions Ferenczi.

Mais on retrouve également sa trace sous la forme de fascicules de 32 pages dans la collection « le petit roman policier complet » des éditions Ferenczi et chez un autre éditeur.

On trouve également sa trace, au moins une fois, dans « Les contes des 1001 matins » du journal le Matin.

« le guet-apens » est, à l'origine, un fascicule de 32 pages publié fin 1941 dans la collection « le petit roman policier complet » des éditions Ferenczi.

LE GUET-APENS

L'inspecteur GIRARD est, pour une fois, chargé d'une enquête relativement simple : le braquage d'une bijouterie.

Le joaillier est parvenu à téléphoner à la police après avoir été agressé et celle-ci a débarqué suffisamment rapidement pour saisir le voleur au collet à sa sortie de la boutique.

Pourtant, le suspect nie les faits, bien que des bagues aient été retrouvées dans ses poches et prétend ne pas savoir ce qui lui est arrivé.

Dénégations usuelles de ce type de brigands, assure le juge d'instruction.

Mais l'inspecteur GIRARD n'est pas totalement convaincu par l'évidence…

M. Josquin, bijoutier, appelle la police, la nuit, affolé, assurant qu'il vient d'être agressé dans sa boutique et qu'il a profité de ce que le cambrioleur retourne sa boutique pour se précipiter dans son bureau.

Quand la police débarque sur place, elle arrive à temps pour serrer un individu qui sort de la bijouterie…

C'est l'inspecteur Girard qui est chargé de l'enquête qui paraît simple. Mais le suspect nie les faits et prétend ne pas savoir comment il est arrivé là.

Si l'inspecteur Girard ne s'émeut pas devant de telles dénégations, il est un peu plus circonspect quand la fiancée du suspect demande à le voir pour lui annoncer qu'elle connaît le bijoutier et qu'elle a déjà repoussé ses avances…

André Charpentier, dans les enquêtes de l'inspecteur Girard, a habitué les lecteurs à proposer des intrigues ambitieuses pour un format fasciculaire. Crimes impossibles, crimes en chambre close… les sujets sont souvent choisis dans des sous-genres appréciés du récit policier.

Mais, en passant du fascicule de 64 pages (17 000 mots à peu près) au fascicule de 32 pages (ici, même pas 9 000 mots), forcément l'ambition de son intrigue est revue à la baisse.

D'ailleurs, celle-ci se révèle très basique et très simple et se résout tout aussi simplement.

Pas de quoi, donc, enthousiasmer le lecteur, juste lui proposer un récit pas désagréable à lire, mais sans plus.

D'autant que les personnages ne sont même pas esquissés (Girard ne l'étant déjà pas dans les fascicules de 64 pages).

Reste un point commun entre les deux formats, l'utilisation souvent abusive (dans les textes d'origine) des points-virgules pour ponctuer les récits.

C'était, apparemment, une des marques de fabrique de l'auteur ou, plutôt, un de ses tics, car on retrouve ces points virgules dans tous ses textes ou presque et ce quelque soit l'éditeur dudit texte.

Au final, un petit récit policier à l'intrigue trop simple qui ne marquera pas la littérature fasciculaire, ni même la carrière du personnage récurrent.
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