Alerte aux croque-morts

Elle porte une petite robe froufrouteuse, au décolleté généreux, à l'air raccrocheur. Bernie lui lance une oeillade. Qu'est ce qu'il y a au menu ce soir, mon amour ? demande-t-il. À part vous, qui êtes à croquer, bien entendu.

(...) elle est petite, bien faite, avec, sous sa robe du soir, couleur de flamme, des courbes qui me font sortir les yeux de la tête.

La demoiselle du vestiaire me débarrasse de mon chapeau et Juan de sa présence.

L'attraction n'est pas mauvaise, l'orchestre est bon.

Je tiens à ce qu'on me justifie la moindre dépense au quart de poil, compris ?

Je glane des renseignements à la manière d'une pie qui chipe tout ce qui brille.

J’ai des filles autant que je veux et n’ai pas besoin de chasser sur les terres des autres.

Quand un homme s’impose à une femme par la force, il m’a toujours semble qu’il s’offrait lui-même à la violence.

Nous n’avons pas besoin de chercher la clé des mystères : nous avons un passe-partout. Les questions les plus insolubles, nous arrivons à les résoudre. Parfois, nous en sommes les premiers stupéfaits. La police connaît notre valeur et il lui arrive de faire appel à nous.

A quoi les femmes dépensent-elles leur argent ? Elle ne savait se passer de rien. Évidemment, il fallait qu’elle soit mieux habillée que nous autres. Elle voyait des gens plus chics. Elle avait le don de se mettre bien avec des gens pleins aux as.