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Citations sur La Virginienne (24)

Ma prison était vaste et dorée. Elle avait son potager, ses milliers d'arbres fruitiers, ses forêts pleines de pins de Virginie, de bouleaux, de chênes et de tilleuls.
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(Thomas) Jefferson aurait couché avec la putain Politique, serait sorti du lit en criant qu'il avait attrapé la vérole et aurait refusé de payer. (Aaron Burr)
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Lentement, comme un un fleuve sans fin sortant d une blessure à peine visible mais très profonde, les idées et les émotions jaillissaient, puis s coulaient....
Elle avait vécu sa vie, elle s étonnait maintenant de la sentir. Comme si cette perception était restée enfermée dans un long passage souterrain qui faisait surface au milieu d événements formidables su on appelait la Histoire.
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L ennui c est que je n'ai rien demandé, et en fin de compte, je n ai rien eu. Quand j'ai compris qui j étais, ou ce que j étais, je me suis dit que on pourrait bien m appeler une esclave, mais que je n allais pas mener une vie d esclave.
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Je crois qu'il faut avoir une vie secrète avec des plans secrets et des rêves secrets. Comme avoir un petit potager à soi derrière sa case comme le mien. Obligé d'y travailler tôt le matin mais c'est à toi. Pareil avec les rêves. Peut-être qu il faut les travailler la nuit ou très tôt le matin mais personne ne peut te les arracher de ta tête à moins de te tuer.
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Elle savait qu'il n'écouterait personne, aucun conseil, aucune opinion, qu'il n'admettrait pas qu'on discute sa passion, qu'on la nie, qu'on la dilue, qu'on y ajoute ou qu'on y retranche, qu'on s'y oppose ou qu'on veuille en détruire la moindre parcelle. Elle ne serait pas éclipsée. Pas censurée. Pas rejetée.
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« Je suis fatiguée Nathan. Je suis lasse des hommes blancs qui jouent à être Dieu avec ma chair et mon esprit et mes enfants et ma vie, ma vie qui tire à sa fin. Je pensais que vous l’aviez compris. Vous ne m’avez rien laissé qui soit mien. Pas même ma couleur ! On m’a demandé de donner, de donner de donner, et maintenant je ne peux plus donner. Je ne peux plus pardonner à un homme. » p.95
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« Je crois à la vie, qu’on doit préserver, et à l’amour. Je crois qu’il faut avoir des plans secrets et des rêves secrets. Obligé d’y travailler la nuit ou vraiment tôt le matin mais c’est à toi. Pareil avec les rêves. Peut-être qu’il faut les travailler la nuit ou tôt le matin mais personne ne peut te les arracher de la tête à moins de te tuer et si tu travailles il n’y a personne qui va venir te tuer parce que tu vaux de l’argent. Seigneur Dieu, je me battrai contre les suicides. » p.55
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« Malgré toutes les souffrances, la servitude et le travail pénible, j’aimais la vie. L’idée voyez-vous c’était de survivre. Pas de se noyer dans le chagrin : le jeu était de tenir le jour, puis la nuit, et d’amasser assez de forces pour le jour suivant, Seigneur, j’avais besoin de cette force. » p.53
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Que sang bleu et sang noir se mêlent était dans la nature des choses, rien de plus...
D'un côté, ils haïssent et méprisent les Noirs, d'un autre ils en font l'objet de leurs désirs les plus violents, de leurs obsessions les plus intimes.
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