Marguerite Mercier était fanée, son visage s’affaissait sous le poids d’une lassitude palpable. À peine plus âgée que son frère, elle paraissait vingt ans de plus, et son regard n’avait pas plus d’intensité qu’une bougie chauffe-plat en fin de vie
Tous étaient susceptibles d’être frappés de plein fouet par la terreur, par le drame, par la mort. La roue du hasard. Et chaque citoyen ne pouvait qu’espérer qu’elle tourne encore et encore et qu’elle ne s’arrête surtout pas sur lui.