En 1998, Jude sortait son premier véritable album, "No One Is Really Beautiful" (après "430 N. Harper Ave.", sorte de brouillon de ce que sera "No One..."), sur le joujou flambant neuf de Madonna (le label Maverick). Splendide et inusable galette où je découvrais un songwriter sensible, doué et doté d'une voix fabuleuse. "King Of Yesterday" (quel titre prémonitoire !), sort trois ans après. Pas vraiment atroce, il est tout de même bien fade et mal produit par rappor... >Voir plus