" La pauvreté était comme un ciment familial qui nous forçait à nous rapprocher l'un de l'autre, à vivre les uns sur les autres, mais également les uns enlacés par les autres. Elle nous obligeait à mettre en commun nos cœurs. C'est ce qui fait que je connais parfaitement le battement du cœur de ma mère : calme, régulier et infatigable. Celui de mon père: effréné, inégal et généreux. Le mien: excessif, enragé et impulsif. "
Dans les yeux d'Ophélia de Nicola Ciccone Disponible en librairie : http://bit.ly/YeuxOphelia « Regarder ne veut pas dire voir. La vue est quelque chose de beaucoup plus profond que la simple perception des objets avec ses yeux....
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Comment est appelé un poème (de quelques centaines de vers) en couplets d'octosyllabes, d'essence aristocratique et qui rapporte une aventure exceptionnelle, voire surnaturelle?