Les débats autour des films violents et de leur influence supposée sur les publics d'enfants et d'adultes sont intéressants dans la mesure où ils sous-tendent des questions d'ordre éducatif certes, mais aussi sociopolitique. En effet, les divers mouvements d'éducation populaire par et au cinéma se distinguaient en fonction de leurs ancrages confessionnel ou laïque. Il s'agit ainsi de répondre à cette question : Quelles ont été les positions des mouvements d'éducation populaire, confessionnels ou laïques, sur la question de la violence au cinéma après la Seconde Guerre mondiale en France ?
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Les textes rassemblés traitent à la fois des mécanismes de régulation institutionnelle, et des œuvres transgressives (ou jugées telles). Cette approche, qui croise analyses internes des œuvres et étude de leurs conditions de circulation, de diffusion et réception, permet à cet ouvrage collectif de couvrir de nombreux aspects de la question censorielle.
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