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EAN : 9781981086689
226 pages
Auto édition (13/05/2018)
2/5   2 notes
Résumé :
Un soir, Mme Barnes est réveillée par l’orage. Elle retrouve chez elle un cadre cassé contenant une vieille photo de famille, prise lors d’un mariage. Une photo oubliée.
Elle n’en dort pas de la nuit, car elle en est sûre : quelqu’un a disparu de la photo, comme effacé…
C’est le point de départ d’une étrange histoire de disparitions et de photo maudite, qui va amener l’inspecteur Buffard à enquêter.
Capet, le photographe attitré de la famille Ba... >Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Une vieille photo de famille prise lors d'un mariage est retrouvée par Mme Barnes un soir d'orage. Curieusement, elle est persuadée que quelqu'un a disparu de la photo, comme effacé. .. L'histoire se déroule alors au rythme des disparitions étranges. L'inspecteur Buffard enquête. Un policier genre Maigret, une enquête à l'ancienne qui n'est pas désagréable, le personnage est assez attachant. L'idée un peu fantastique de cette photo maudite tient en haleine, mais que de cadavres tout au long de cette histoire qui va faire toute la lumière sur une vieille famille argentée qui faisait à son époque la plus faste la Une des journaux poeple. le dénouement que l'on sent venir au fil des pages est cependant bien amené.
Je l'ai lu jusqu'au bout, en soupirant parfois, je l'avoue, j'ai été dérangée par la mise en page pas du tout attirante ainsi que par le nombre importants de fautes de frappes.
Un roman qui aurait mérité d'être travaillé davantage et peut-être raccourci.

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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
C’est curieux comme les gens, même ceux qui vous sont les plus proches, sont persuadés que vous perdez la boule dès lors que vous avez dépassé les soixante-quinze ans !
Mais tant pis, elle était sûre de son coup, et elle n’allait pas se torturer l’esprit plus longtemps avec cette histoire. Il fallait désormais qu’elle s’en débarrasse, qu’elle en parle à quelqu’un. Alors, quitte à passer pour une cinglée, mieux valait que ce soit vis-à-vis de Marie, ce serait moins grave. Et cela tombait bien, aujourd’hui on était mardi, jour où sa fille avait l’habitude de lui rendre visite.
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Le revoir soudain sur ce cliché oublié avait réveillé une vieille aventure cachée, censurée, au fond de sa mémoire. Une pensée si vive qu’elle n’avait pas pu se rendormir cette nuit-là, sans savoir sur le coup que le souvenir de Michel en était la cause.
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Le respect des traditions avait un réel poids chez ces gens-là, et peu d’étrangers avaient la chance d’entrer un tant soit peut dans leur cercle familial, dans leur intimité.
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Comment oublier ces charmantes photos dans les tabloïds de nous deux sortant bras dessus bras dessous du Ritz, en nous embrassant comme des adolescents !
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André le magnifique, l’homme toujours souriant, avait perdu de sa superbe. C’était dorénavant un vieil homme…
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