C'est toujours un plaisir de retrouver la belle écriture de Claudel, malgré le sujet : la perte de proches. C'est aussi sur la vie et l'amour, l'amitié et la mort, le livre et le cinéma, des pointes d'humour et toujours la tendresse. Il y a un peu de
Pennac avec ‘
Journal d'un corps', un peu de ‘
Trois hommes dans un bateau' de
Jérôme K. Jérôme dû au côté hypocondriaque. Et surtout une scène avec le Grand
Kundera. Après son passage à la ‘Grande librairie' je pensais qu'il serait surtout question de l'arbre de Toraja, avec cette idée que les indonésiens posent dedans l'enfant mort. Ainsi, quand l'écorce se reconstitue, il continuera à grandir avec l'arbre. Eh bien de ceci, il n'y a que quelques lignes. Son roman précédent était
Jean-Bark, qui parlait également de la mort de ce même ami. J'espère que l'auteur reviendra à la fiction comme dans ‘
La petite fille de Monsieur Linh'.
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