Les Décharnés, tome 1 : Une lueur au crépuscule

Faites-moi confiance, Les décharnés est un véritable page turner qui se lit, comme on boit du petit lait (à défaut de jus de cervelle).
Aucun temps mort dans l'histoire, tout est fait pour que le lecteur reste scotché à sa chaise. La qualité du récit, de l'écriture est indéniable. Les caractères sont superbement bien travaillés et fouillés. Il y a du travail derrière ce livre et du bon ! Ah comme j'aimerais également qu'un producteur se penche sur l'adaptation de ce livre au cinéma. Tous les éléments sont présents pour plus grand plaisir des fans du genre.
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Je commence à réellement apprécier les histoires de zombies. Avant je les évitais car je dois admettre que ces monstres me stressaient beaucoup voire me faisaient clairement peur. Mais avec le temps, j'ai fini par être intriguée par la force qu'ils peuvent amener dans un schéma narratif, pas seulement par le côté sanglant ou flippant qui les accompagne, mais bien par l'histoire qui peut être racontée avec leur présence parmi nous.

Patrick est un agriculteur comme tant d'autres. Alors qu'il est en convalescence chez lui, il voit un simple embouteillage se transformer en une scène apocalyptique... Commence alors une course pour la survie face à ces humains qui ne souhaitent plus qu'une chose: se repaître de sang humain! Et autant dire qu'ils ont un odorat plus que bien développé... Alors qu'il tente de survivre à ses assaillants, il va prendre sous son aile, une jeune fille, une autre survivante. Cette course contre la montre va ainsi prendre un nouveau tournant.

L'auteur a un style qui fait totalement mouche. Dès le début nous sommes plongés dans ce monde qui s'écroule et où survivre devient un enjeu à chaque seconde. Y a-t-il d'autres survivants? Grand mystère... Patrick est bien décidé à aider cette enfant qu'il doit désormais côtoyer et ils tenteront ensemble de s'en sortir. Mais le danger rôde et pourrait bien se cacher sous de nombreux visages...

J'ai adoré ce roman car l'auteur ne s'arrête pas à une simple arrivée de zombies. Il s'intéresse vraiment aux réactions des gens face à une telle invasion et à ce qu'elle peut éveiller chez les uns et les autres de meilleur ou de pire... Cela nous fait réfléchir tout en nous glaçant jusqu'aux os et la psychologie des personnages est bien travaillée tout comme le fil rouge qui est rondement mené. Franchement, c'est un pur régal de bout en bout!

En bref, je suis à nouveau sous le charme de la plume de l'auteur et je me suis régalée avec ce roman qui va au-delà d'une simple invasion de zombies et qui nous plonge au coeur de l'âme humaine.

Parfois, il faut se laisser surprendre !
Lors de la dernière masse critique, je me suis laissé tenter par Les décharnés de Paul Clément, pour deux raisons :
- Je ne connaissais pas l'auteur et ses romans son auto édités, j'avais donc très envie de vous parler de lui et de ses livres sur le blog.
- Je venais juste de terminer la huitième saison de The walking Dead, les personnages, l'ambiance et la tension à chaque épisode me manquaient déjà. le livre de Paul Clément me tendait les bras, je n'ai pas résisté (je m'excuse auprès de l'auteur, je ne dois pas être la seule personne à comparer son roman avec la série à succès, j'espère ne pas être la personne de trop, mais impossible de ne pas faire cette comparaison...).
L'histoire est, au début, un petit peu identique. Les zombies arrivent parmi les humains, sans explications particulières, ils se nourrissent de chair fraîche et ceux qui ont été mordus deviennent à leur tour des zombies. L'invasion se répand donc très vite, les humains se retrouvent dans une situation d'urgence pour survivre, c'est chacun pour soi.
En parallèle, nous suivons Patrick, un vieil homme, qui au début de l'histoire est bien tranquillement installé sur la terrasse de sa maison, il observe la route un petit peu plus loin où il y a un embouteillage. Et c'est à ce moment que tout dérape, les premiers conducteurs mordent les autres, une horde se créer, gros mouvement de panique, tous les êtres -vivants et morts- accourent vers la maison de Patrick afin de trouver refuge ou nourriture.
Patrick va devoir à son tour réagir rapidement, sauver sa peau dans un premier temps, puis celle d'Emma sa petite protégée, une petite fille qu'il a sauvé des griffes des monstres.

J'ai beaucoup aimé l'écriture de l'auteur : directe, fluide, prenante... on se laisse porter par les mots sans nous poser de questions, l'histoire est hyper addictive et l'ennui est inexistant.
Certainement très influencée par la série qui m'a tant plu, j'ai beaucoup aimé lire Les décharnés. Aurait-ce été le cas dans d'autres circonstances ? Peut-être, mais je n'en suis pas certaine. En tout cas, ce livre est tombé au bon moment et c'est le principal.
La fin, quant à elle, est surprenante et bienvenue ! Je ne m'y attendais pas du tout, une belle surprise.
Si vous aimez les romans d'horreur ou si vous avez envie d'une lecture frisson, Les décharnés répondra à vos attentes.

Je remercie chaleureusement le site Babelio pour la découverte de ce roman ainsi que l'auteur Paul Clément, et je vous souhaite à toutes et à tous une très bonne lecture :)
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Quel plaisir de découvrir une histoire de zombies écrite par un auteur français qui arrive facilement à nous plonger dans l'horreur.

Patrick est un homme d'un certain âge vivant en Provence dans sa belle maison entourée de ses champs. Il profite d'un repos mérité pour contempler les véhicules regroupés dans un bouchon en face de lui. C'est une journée tout ce qu'il y a de plus normale. Mais le quotidien de Patrick va être chamboulé lorsque toutes les personnes sortent en courant de leurs voitures et se font dévorer sous ses yeux. L'enfer est proche. Patrick est prêt à tout pour survivre et protéger Emma, la petite fille qu'il a sauvée.

J'ai beaucoup aimé la rapidité avec laquelle l'auteur nous plonge directement dans l'angoisse de l'invasion des zombies. On ne perd pas de temps et on découvre avec effroi l'horreur dans lequel le monde est plongé. L'écriture est très descriptrice ce qui m'a permis de plonger dans l'histoire avec facilité.

Au départ, j'ai eu du mal à comprendre les actions de Patrick qui étaient parfois opposées par rapport à ce qu'il avait fait précédemment. Mais l'auteur permet de mieux les comprendre, car son personnage prend lui-même du recul sur ses actes. C'est un réel combat entre notre part d'humanité et la peur de mourir. Les zombies n'ont aucune pitié et l'être humain peut être encore plus cruel.

J'ai beaucoup aimé cette histoire qui m'a permis de m'attacher au personnage de Patrick que j'ai trouvé touchant. Emma est une petite fille attachante et courageuse. L'écriture est descriptive et entraînante. C'est avec plaisir que je découvrirai d'autres romans de cet auteur.
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Les zombies... je suis fan de la littérature post-apocalyptique du genre, j'adore Walking Dead et tous les livres, toutes les séries ou autres dans le style. J'étais donc impatiente de lire Les Décharnés, roman écrit par Paul Clément, grand spécialiste du monde zombiesque !

Dès le départ Paul Clément réussit à sortir du lot grâce à un protagoniste principal vraiment original et presque antipathique : Patrick est un être bourru, un agriculteur râleur et asocial. le genre de personnage que l'on ne souhaite pas forcément rencontrer en pleine apocalypse mais que l'on trouve très amusant en tant que lecteur. Voilà que cet antihéros va être confronté à l'horreur avec l'arrivée de l'épidémie zombie... Sa vie si morose et monotone va se transformer en véritable aventure et catastrophe.

Même si Patrick est un être a priori irascible, il n'en reste pas moins un être humain et sauve par la même une jeune fille d'une mort certaine. le voilà engagé à protéger cette petite, à survivre, à se battre et à affronter un avenir terrible et sombre. C'est un premier tome palpitant, stressant, effrayant et très bien mené. On sent que Paul Clément connait son sujet, qu'il le maitrise parfaitement et apporte sa pierre à l'édifice.

J'ai aimé ce lien entre Patrick et l'enfant, même si ce n'est pas forcément le point le plus original : il a déjà été vu qu'un vieil homme désabusé retrouve le goût et l'espoir au contact d'un être naïf et généreux (vous pouvez regarder le film d'animation Là-haut). Cependant vous aurez rarement vu ça alors que les zombies frappent à la porte et que la mort peut arriver à tout moment. le lecteur est sous tension mais l'auteur n'oublie pas qu'au milieu de l'action et de la peur, les sentiments, les émotions humaines ont aussi leur rôle à jouer.

En définitive, une très bonne lecture du genre ! Je vous conseille vivement de découvrir cet auteur incontournable pour les amoureux des zombies !
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Je n'ai jamais lu un livre de zombies. J'ai vu quelques films, mais sans plus. le genre ne m'intéresse que moyennement finalement et je suis passée un peu à côté de la vague de sorties du genre. Malgré tout, curieuse que je suis, j'avais tout de même envie de me faire mon propre avis sur la question, c'est donc avec plaisir que j'ai accepté de découvrir Les Décharnés, une lueur au crépuscule, premier roman de Paul Clément.
Si les zombies arrivent à me faire frissonner, ou en tout cas à m'impressionner à l'écran, je pensais que mon imagination les rendrait plus ridicules qu'effrayants avec le support papier. Or, et j'en suis la première surprise, je me suis laissée prendre au jeu et j'ai vraiment apprécié Les Décharnés.
Je ne sais pas si je vais devenir fan du genre parce que j'ai l'impression qu'on risque de très vite tourner en rond niveau intrigue, mais j'ai dorénavant moins d'a priori sur la question et je lirai certainement un autre titre à l'occasion ! Alors merci à Paul Clément pour la découverte… c'est réussi !

En France, plus précisément en Provence, la canicule est bien installée. Alors qu'une journée se termine comme toutes les autres précédemment, un événement impensable survient. Une vague de folie meurtrière frappe les Hommes qui se transforment… en zombies. Au début amusé par la situation, Patrick – un vieil agriculteur un peu misanthrope – se rend rapidement compte que la situation dégénère et s'enferme chez lui à double tour, plus ou moins calfeutré. Malheureusement, acculé par les créatures, notre héros va devoir survivre tant bien que mal et surtout, prendre une petite fille rescapée sous son aile. Difficile de sauver sa peau et surtout d'avoir la responsabilité d'une tierce personne quand on a toujours fait preuve d'égoïsme !

Le truc bien avec les bouquins (ou les films) de survie, c'est que ça amplifie les réactions et les émotions des êtres humains qui vivent ces situations difficiles. Et c'est vachement intéressant de voir l'évolution des personnalités et les interactions entre les unes et les autres. C'est réussi avec Patrick auquel on s'attache vite et avec lequel on vit les événements assez intensément. Bien sûr, il y a un côté assez attendu à son évolution mais ça fonctionne et ça m'a plu.
Le fait que l'histoire soit racontée du point de vue interne (donc avec le « je ») accentue évidemment l'empathie que l'on peut ressentir pour lui et nous rapproche un peu plus de ses pensées. de ce fait, découvrant les autres personnages à travers ses yeux, on adopte un peu les sentiments qu'il éprouve pour chacun d'eux : de la tendresse paternelle pour la petite Emma à de la haine pour l'un des survivants rencontrés plus loin au coeur des pages. On « apprécie » les mêmes figures que lui et on se méfie des autres mais à part à la petite fille qu'il recueille, on s'attache difficilement. En même temps, Patrick c'est un solitaire, s'il se prend d'affection pour sa protégée, il n'en va pas de même pour les autres survivants… et encore une fois, on le suit dans ses choix !

Je ne suis pas une connaisseuse du genre, comme je vous le disais dans l'introduction, mais il me semble que Paul Clément suit un schéma assez classique : face à face violent avec la nouvelle réalité « zombiesque », calfeutrage, fuite, calfeutrage, découverte d'autres survivants, organisation d'une nouvelle « mini-société » avec différents tempéraments, calfeutrage, razzia dans les maisons/supermarchés pour s'approvisionner, calfeutrage… et évidemment dans tout ça, des combats plus ou moins violents et des pertes plus ou moins précieuses ! Classique il me semble, mais encore une fois, ça fonctionne.
Et si on y croit, c'est aussi et surtout grâce à la plume de l'auteur que j'ai trouvée déjà bien maîtrisée pour un premier roman. On sent qu'il y a eu du travail, de nombreuses relectures et pas mal de réflexion… et la lectrice que je suis apprécié. Il reste une ou deux coquilles, mais vraiment, sur plus de 300 pages c'est quasiment rien et quand on voit les horreurs laissées passer par les grandes maisons d'édition, on ne peut qu'être encore plus admirative du travail effectué par un « petit » auteur, sans soutien « professionnel ». Finalement, à part peut-être un ou deux dialogues un peu « surjoués » et donc un peu artificiels, l'ensemble est carrément immersif. Les scènes défilent clairement devant nos yeux, la tension et l'angoisse sont présentes… vraiment, je m'y suis crue et je me suis prise au jeu. L'écoute des bandes originales des films 28 jours et 28 semaines plus tard ont peut-être accentué l'effet produit, mais l'histoire de base était bien écrite noir sur blanc sous mes yeux !

Les Décharnés m'a fait vivre un moment intense puisque très immersif et m'a ému à plusieurs reprises. le schéma est certes classique et j'avoue que ne pas avoir de réponse au « Pourquoi les gens deviennent des zombies » m'a un peu titillée (mais apparemment c'est une convention dans le genre) mais j'y ai cru et ça m'a convaincue de retenter le zombie à l'occasion. Je salue le travail de relecture de Paul Clément, c'est vraiment un premier roman très prometteur… et je me demande déjà de quoi parlera le prochain car je serai au rendez-vous ! :)
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Les decharnés Une lueur au crépuscule @paul.clement.auteur

En Provence, Patrick habite seul au milieu de ses champs. Son petit plaisir : s'asseoir sous son arbre à boire une bonne bière et à regarder les excités du klaxon qui s'entassent sur la route qui jouxte sa propriété. À 57 ans il en a vu des choses mais là l'embouteillage se transforme en carnage. Tout le monde crie, hurle, court, s'enfuit puis mord, déchiquette, et éviscère. Alors, par instinct (dirons nous) , l'agriculteur s'enferme chez lui convaincu que aucune de ces choses ni personne ne pourra entrer. Mais lorsqu'il aperçoit cette petite fille paniquée il décide de la sauver. Emma et Patrick sont désormais liés pour survivre dans ce nouveau monde.

J'ai pris une vraie claque avec ce livre. Les personnages sont attachants et bien construits. L'histoire est passionnante. En ce qui concerne l'écriture je dirais que, pour ma première lecture de cet auteur, j'ai juste adoré. Sa plume est percutante, visuelle et addictive. Cette histoire de zombies m'a fait frissoner, m'a captivée et émue . Les pages se sont tournées à une vitesse impressionnante. Et cette fin on en parle ! OMG!!!
J'ai hâte de me plonger dans le second tome.

il y avait longtemps que je cherchais un livre post-apocalyptique de zombies qui ne soit pas WTF.
c'est chose faite ! Les décharnés est LE livre tant attendu qui nous offre une histoire credible certes classique du genre mais tellement bien fait.

un anti-—héros bedonnant, acariâtre et taciturne qui se réveille un matin dans un monde qu'il ne reconnait plus puisqu'il est infesté de zombies, patrick se retrouve malgré lui responsable d'une fillette orpheline qu'il considérera au début comme un fardeau puis qu'il protègera à tout prix…

Un connard qui en profite pour jouer son Negan ;) des moutons qui se rangent du côté du plus Menaçant, des courageux qui se font laminer sans oublier des décharnés degueus, avides de viande fraiche mais dénués d'intelligence ! tout y est et c'est sublime pour qui aime le genre.


De l'action savamment dosée, des zombies flippants, un tableau provençal qui n'a rien à envier à la Georgie de walking dead, des personnages crédibles, un duo émouvant et une salve d'émotions, Paul Clément m'a régalé avec ce roman et il me tarde de lire la suite et les autres titres de l'auteur. habituée du genre j'ai fait un cauchemar en début de lecture ! Et ma gorge s'est serrée à la fin, ce n'est pas rien !

Un très bon livre, presque aussi bon que l'excellent "Chroniques de l'Armageddon" ! En bien plus court... et en France.
Mais au-delà d'une histoire de zombies en Provence, c'est surtout une histoire d'instinct paternel chez un héros... qui a tout d'un anti-héros de prime abord.
L'histoire est très bien écrite, les descriptions sont précises sans pour autant prendre le pas sur l'aventure. le récit est parsemé de métaphores décalées, ce qui donne un côté humoristique très appréciable !

N'étant pas fan de Walking dead, je crois que je n'avais jamais vraiment lu ou ne serait-ce qu'eu envie de lire de roman ayant pour thème les zombies. Alors lorsque l'occasion s'est présentée, je n'ai pas hésité et j'ai bien fait car ce fut une sacrée découverte !

Imaginez-vous dans le sud de la France par temps chaud au son des cigales à la place d'un vieil agriculteur bougon, qui observe l'autoroute, qui passe au milieu de ses champs, et ses embouteillages, jusqu'à ce que les automobilistes s'attaquent mortellement entre eux mais se relèvent. Alors je vous ai intrigué ? XD

J'ai adoré cette ambiance de fin du monde humain où on suit un duo atypique que sont ce vieil homme, Patrick, et une enfant, Emma, qu'il a sauvé des griffes des zombies, vont essayer de survivre comme ils peuvent avec leurs qualités et leurs défauts. En effet, méfiez-vous, ce ne sont pas les plus altruistes, gentils et courageux qui vont avoir cette chance !
Avec Patrick, c'était loin d'être gagné pour moi car c'est plutôt un anti-héros. Il n'a pas eu une vie facile mais n'a jamais vraiment fait d'efforts pour l'améliorer. Il est même carrément aigri par celle-ci et ne va pas faire de cadeaux aux gens lorsque cette apocalypse leur tombe sur le coin de la figure. Heureusement, la petite Emma va l'adoucir. Il ne sait pas vraiment pourquoi il fait l'effort de la sauver alors qu'il n'aime pas l'être humain, mais elle va vraiment avoir un effet bénéfique sur lui. Leurs aventures m'ont totalement embarqué et j'ai eu peur pour eux car l'auteur ne fait pas dans la dentelle ! Il n'épargne aucun de ses personnages !
De plus, il intègre divers points de vue dont celui des zombies qui enrichissent énormément l'intrigue !

En bref, je n'aurais pas cru apprécier ce genre de lecture mais j'ai été conquise et je retenterai volontier cette expérience ! D'ailleurs, je vous invite vivement à aller découvrir ce formidable one-shot ! Entre duo improbable attachant et luttes acharnées assaisonnées de litres d'hémoglobine, vous ne serez pas déçus !
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