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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Les confessions de Frannie Langton Sara Collins Belfond

Le roman s'ouvre au premier jour du procès de Frannie Langton accusée d'avoir assassiné ses maitres Mr et Mme Benham. Nous sommes à Londres en avril 1826. Son avocat au vu des circonstances lui demande d'essayer de l'aider à la défendre. Elle prend la plume….
Née esclave à la Jamaïque sur la propriété de John Langton Frannie porte donc le nom de son maitre.
A l'âge de 10 ans, elle est demandée à la maison des maitres. Petite bonne à tout faire elle est dans l'ombre de Phibbah la cuisinière. La maitresse Miss-Bella .. la prend sous sa coupe et entre haine et intérêt lui apprend à lire et à écrire…Bientôt le maitre est malade et Frannie va lui servir de secrétaire parce que Langton travaille à des travaux scientifiques, il veut prouver que le blanc est un être supérieur au noir , tous les moyens seront bons. Aussi quand il revient à Londres accompagné de Frannie il la " confie "  à Mr Benham un scientifique érudit renommé, marié à la délicieuse Marguerite ..
L'auteure Sara Collins , elle-même d'origine jamaïcaine , se penche sur cette partie très sombre de l'histoire: l'esclavagisme . Elle a mené une enquête rigoureuse. Les faits sont avérés et terrifiants. En cela son roman atteint l' objectif voulu et c'est salutaire, les choses doivent d'être dites et écrites.
Cependant si le côté historique m'a convaincue l'histoire de Frannie Langton beaucoup moins. Je m'explique pour aborder absolument les sujets qui lui tiennent à coeur l'auteure fait vivre, fait endurer serait plus exact, à son héroïne des péripéties plus dramatiques les unes que les autres, le ton « gothique du 19 ème siècle » donne t'il vraiment plus de force au récit? J'en doute mais l'auteure a fait un choix que je respecte à défaut de l'apprécier pleinement .
Un grand merci aux éditions Belfond et à babelio pour m'avoir permis de découvrir ce premier roman et une auteure à l'avenir prometteur .
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Accusée de meurtres, une mulâtre jamaïcaine donne sa version des faits et son parcours de vie depuis la plantation qui l'a vue naître esclave jusqu'aux crimes dont on l'accuse, perpétrés sur le couple londonien qui l'employait.

Les faits se situent au début du 19e. L'abandon de la traite négrière au Royaume Uni débute en 1807 pour une abolition de l'esclavage en 1833.
Donnée en cadeau par son ancien maître\géniteur, Franny devient domestique à Londres, chez les Benham, symbole d'exotisme en rapport avec leur position sociale. Elle est éduquée et lettrée et a participé par contrainte à des recherches scientifiques et anatomiques douteuses sur la population noire des Caraïbes.

Associer la société de l'époque à des thèmes comme la phrénologie, l'anthropologie et l'homosexualité démarque ce livre par rapport à bon nombre traitant de l'esclavage. le racisme induit est par principe présent dans sa conception ancienne de la « civilisation » par rapport aux «sauvages». le roman aux accents gothiques s'élargit sur la vision d'une époque corsetée de préjugés, aux certitudes d'un patriarcat blanc triomphant.

Au-delà du romanesque, le récit interroge sur l'éternelle question de l'Homme et de l'idée (maintenant réfutée) de race, et plus largement sur le statut de la femme, quelles que soient ses origines.
La lecture n'est pas toujours fluide, la psychologie des personnages parfois complexe mais l'écriture est belle et le montage narratif addictif. L'ensemble pose des questions ouvrant réflexions, en se défendant de jugement historique fait au rétroviseur.

C'est une refonte moderne du récit sur l'esclavage, incarné, informatif et effrayant, et sur la servitude sous toutes ses formes.
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Frannie Langton est une métisse, esclave en Jamaïque. Suite à un incendie, son maître l'emmène à Londres et la donne pour qu'elle soit au service de George et Marguerite Benham. Selon la loi londonienne, elle est une femme libre sur ce territoire. Mais elle restera une femme noire au XIXème siècle, qui plus est, amoureuse d'une femme. Elle sera accusée du meurtre du couple Benham. C'est son histoire que Frannie nous raconte, alors qu'elle est en prison et que s'ouvre son procès. Petit à petit, on découvre qui elle est, ce qu'elle a fait, mais surtout pourquoi.
Ce roman est noir, très noir. Je n'y ai pas vu une once d'espoir. France, bien qu'elle ait beaucoup de caractère, est aussi résignée face à tout ce qu'elle subit. Il y a un malaise qui parcourt tout le livre. J'ai eu beaucoup de pitié pour la narratrice et finalement peu de sympathie. Elle se déteste tellement que le lecteur a des difficultés à l'aimer, alors que rien de tout ça n'est vraiment sa faute. Tout ce qu'elle subit ferait plier n'importe qui.
Ce fut une bonne lecture. Ce fut aussi une lecture dérangeante dont je suis sortie perplexe.
Merci à Babelio et aux éditions Belford pour ce partage.
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Un sacré coup de poing.
Une claque.
Un malaise.
Les Confessions de Frannie Langton sont difficiles à lire, ou plus exactement à supporter.

Beaucoup ont déjà résumé l'histoire: le roman s'ouvre sur le procès de Frannie, ou Frances, le 5 avril 1826 à Londres. Elle est accusée du double homicide de ses patrons.
Pour sa défense, elle écrit ses confessions et remonte à son enfance à la Jamaïque, où elle est esclave de l'infâme M. Langton.
Comment supporter sans se sentir mal à l'aise le récit dans lequel deux hommes blancs tentent de prouver la suprématie des blancs sur les noirs en disséquant les corps d'esclaves morts...ou vivants?
Comment ne pas avoir envie de hurler en découvrant les mauvais traitements, les bassesses, les mensonges, les abandons, dont Frannie est victime?
Comment supporter Marguerite Benham, la femme de son second maître, folle et droguée au laudanum?
Marguerite est le personnage qui m'a le plus mise mal à l'aise. L'auteur donne corps et âme à ses personnages et l'ambiance dans la famille Benham est malsaine et glauque à la limite du supportable.
Quant à Frannie, la narratrice, on ne peut que souffrir avec elle. Néanmoins, et c'est là ce qui contribue à l'ambiance pesante du livre, elle est aussi parfois très ambiguë et plus d'une fois elle m'a effrayée.
On ne ressort pas de ce livre indemne, il fait partie de ceux qui vous hantent quelque temps. On a chaud, on est souvent en apnée et il faut régulièrement relever la tête de ce livre pour respirer et reprendre contact avec notre réalité.
Mais ce qui met mal à l'aise, c'est qu'on sait que tout ce qui est raconté dans ce roman a justement été une réalité.

Sara Collins signe ici un premier roman, je m'incline et dis: Bravo.
Un grand merci à Babelio pour ce masse critique exceptionnel et aux éditions Belfond pour l'envoi du livre.
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Par quoi commencer ? Tant les ressentis différents m'assaillent alors que je viens de tourner la dernière page de ce roman offert par Masse Critique Privilégiée et les Editions Belfond, que je remercie de m'avoir permis de découvrir le premier roman de Sara Collins.
L'auteur nous y tient rapidement captif en nous passionnant pour ce psycho-drame comme nous le découvrirons à travers ce turn-over dans lequel nous entraîne Frannie, la supposée meurtrière. La question initiale est: le doute est-il possible ? Ne l'a-t-on pas retrouvée couverte de sang dans le lit de sa maîtresse ? Dire qu'elle ne sait pas ce qui s'est passé est-il un argument de défense ? Est-elle victime d'une manipulation ? Il ne faut pas oublier que Frannie est une mulâtresse, fruit d'une relation entre un maître et une de ses esclaves, et dans le contexte historique les "noirs " sont considérés comme des sauvages.
C'est d'une manière très subtile que Sara Collins va appréhender tout un panel de sombres thèmes tels que l'esclavage, la condition féminine,la servitude, le colonialisme, l'ambiguïté du comportement des abolitionnistes, les expériences et les recherches anthropologiques, le racisme, le délit de faciès, l'homosexualité, l' intolérance, toujours tristement contemporains pour certains.
Comment alors, Frannie Langton, ancienne esclave, mulâtre de surcroît, peut-elle trouver sa place dans un monde régit par les blancs ? Oui, comment le peut-elle alors qu'être une femme est déjà un handicap ? Et l'on ne peut nier que Frannie les cumule les handicaps, et être instruite n'en est qu'un de plus dans ce contexte historique. Étonnant non ?
J'avoue que parfois l'enchevêtrement des sujets traités, m'a un peu perdue parfois, tout en enrichissant ma culture personnelle à d'autres. Il en est de même pour la complexité des personnages et je n'ai pas trouvé totalement les réponses à certaines situations empreintes de mystère. Pour d'autres le doute persiste.
Ce roman ne laisse pas indifférent, ils suscite tant d'émotions alors que l'on s'attache à Frannie et que l'auteure nous pousse à des questionnements sur la notion de liberté, sur les choix de chacun, sur la manipulation et les erreurs de jugement, les interprétations personnelles d'une même situation.
Le personnage de Meg quant à elle reste assez et énigmatique. Elle suscite à la fois compassion et colère pour l'ambiguïté de son personnage, sa façade de femme libre qui reste, pour des raisons terre à terre, assujettie à son mari. Dans cette demeure tous les membres sont esclaves de quelqu'un. Y compris Mr Benham, à une autre échelle dirai-je.
C'est au terme de cette lecture que le lecteur pourra présumer estimer connaitre Frannie à travers les images qu'elle nous renvoie à travers son récit, et encore ce n'est pas un certitude, tant elle ne dévoile qu'à demi-mots certains éléments de son passé et je dois admettre qu'il reste pour moi quelques zones d'ombres. Je le déplore un peu, tout comme le fait que je n'ai pu mettre un âge sur nos personnages.
Malgré tout ce roman nous tient en haleine jusqu'au dénouement, passionne et intrigue. Un auteur à découvrir.
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Voilà un roman qui m'a dérangée, qui m'a plu mais me laisse un goût amer par son histoire comme par son ambiance noire, fermée dans lequel les corps sont malmenés, sujets à expérimentation avec trafic de cadavre en fond, esclavage, drogue. Frannie retrace son parcours afin de soumettre à son avocat de quoi la défendre au cours du procès dans lequel elle est accusée du double meurtre de son maître et de sa maîtresse. La narratrice est est elle-même, ambiguë durant l'histoire. Elle passe par plusieurs statuts mais est toujours victimes des choix de ses propriétaires.
Frannie, esclave métisse, est née et a grandi à Paradise en Jamaïque au service des Langton. Elle devient le joujou de la maîtresse Miss-Bella puis celui de son maître Langton qu'elle assiste pour des expériences sur des cadavres. Elle devient son copiste quand il ne peut plus tenir la plume. Frannie sait lire et écrire. D'ailleurs ce qui m'a plu en elle c'est essentiellement son amour pour les livres et un en particulier que j'ai moi-même beaucoup aimé, Moll Flanders de Daniel Defoe. Elle quitte la Jamaïque avec son maître en 1825 pour aller à Londres. Elle a 18 ans. Là, elle sera offerte comme monnaie d'échange à la famille Benham. Elle entretiendra alors une relation douteuse avec sa maîtresse capricieuse. Elle passe du statut d'esclave, à domestique puisqu'il n'y a pas d'esclave en Angleterre, femme de chambre, amante, prostituée.
Frannie est comme spectatrice des expériences immondes de Langton sur des cadavres qu'il considère comme des expérience scientifiques. Ce sont surtout les moments décrits avec Langton qui m'ont perturbée mais qui donnent l'ambiance du livre. Frannie est pourtant bouleversée par l'abandon de son maître puis en mal d'amour avec sa nouvelle maîtresse, Mme Benham.
J'ai aimé l'histoire bien menée avec des retours sur le passé de Frannie. le récit est entrecoupé de témoignage du personnel de maison des Benham mais la partie que j'ai préféré restera le dernier quart du livre consacré à la défense lors du procès avec les témoignages des médecins qui se rapprochent de médecins légistes, l'interrogatoire bien mené de l'avocat de Frannie.
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Roman historique, judiciaire, pamphlet contre les discriminations, romance, les genres ne manquent pas pour qualifier le riche roman de Sara Collins. Un voyage initiatique et physique de la Jamaïque jusqu'à Londres, des plantations de cannes à sucre aux intérieurs cossus des villas anglaises du 19ème siècle, Les confessions de Frannie Langton sont celles d'une esclave devenue domestique, lettrée, amoureuse des livres et accusée du meurtre de ses employeurs.
Un combat personnel et féministe pour une femme atypique, un portrait complexe et multiple qui n'est pas sans rappeler les romans de Sarah Waters.
L'intrigue où se mêlent éléments de vérité, ressenti et volonté d'absolution, est portée par une écriture délicate et des personnages savamment dépeints. Ainsi, et malgré quelques longueurs dans le récit, on retiendra le combat d'une femme atypique, à la fois victime et bourreau d'une société qui broie et asservi, ses obsessions et ses craintes, ses attentes et ses espoirs.
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Le commentaire de Lynda :

Cette lecture si je devais la résumer en un seul mot, je dirais, que c'est une lecture très dure, et ce, dès le début.
Un premier roman pour cette auteure, que je qualifierais de réussite.
Le tout commence en 1826, par le procès pour meurtre de Frannie Langton accusée d'avoir assassiné ses employeurs, mais pour en arriver là, il y a eu une longue route, pavée des pires atrocités qu'une personne peut subir, c'est probablement la seule chose que j'ai à reprocher à ce roman, trop c'est comme pas assez, et c'est ce qui m'a un peu dérangée, la vie de Frannie est une série ininterrompu de malchances, de maltraitance, d'abus, etc., sans jamais de répit pour elle.
Frannie est née en Jamaïque, et dès l'âge de 10 ans elle a grandie dans une plantation au service des Langton, comme esclave. Ses maîtres, vont l'abuser de toutes les façons, jusqu'à servir de cobaye dans des expériences scientifiques.
Puis ce sera vers Londres qu'elle va se retrouver comme domestique, et où elle tissera des liens avec sa maîtresse, liens aussi bien amicaux que sexuels, car oui, Frannie tombe désespérément amoureuse de Mrs Benham, vous pouvez sans peine imaginer, qu'à cette époque, c'était une chose vraiment non-acceptable.
C'est à cause de cet amour pour Marguerite, qu'elle ne comprend pas qu'elle aie pu la tuer ainsi que son mari. Comme elle n'a pas souvenir de ce double meurtre, qu'elle ne sait pas ce qui s'est passé, c'est par le biais de sa plume, qu'elle fournira à son avocate son passé, ce qui l'a amené où elle ést, ou encore s'expliquer comment elle aurait pu tuer la seule personne qu'elle a aimé depuis sa naissance Marguerite Benham.
Le roman se lit très rapidement, la plume de l'auteure est belle et fluide, quelques petits temps morts, mais pas assez pour que l'on perde cet intérêt dans l'histoire. J'ai aussi appris plusieurs choses sur l'esclavage surtout à cette époque. Les sujets qui y sont relatés, sont bien exploités, on peut sentir que l'auteure (avocate de métier) a bien fait ses recherches, pour nous donner le côté historique dans cette histoire et le côté juridique est également bien développé.
Une lecture que je vous recommande surtout si les romans historiques vous intéressent.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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Tout commence en Jamaïque, dans une plantation de cannes à sucre, dont le propriétaire se livre à des expériences "scientifiques" sur les esclaves pour écrire un livre qu'il espère faire éditer à Londres... les crânes, les albinos, il est prêt à toutes les expériences pour faire entendre sa voix...

Cette histoire, c'est Frannie Langton qui nous la raconte, en 1826.
Nous comprenons qu'elle est accusée du double meurtre de ses employeurs, à Londres, et depuis sa prison, elle revient sur son histoire : d'abord esclave de ce premier monstre en Jamaïque, avant de devenir employée d'une autre maison à Londres, puis prostituée.

C'est un personnage troublant, qu'il n'est pas toujours facile de suivre.
Confrontée aux pires bassesses humaines, elle aura aussi ses zones d'ombre.

A travers son histoire, c'est l'occasion de réfléchir à l'esclavage et au racisme bien sûr, mais aussi de la manipulation, des ravages de la drogue, de l'éducation ou de la condition féminine.

S'il reste compliqué de s'attacher vraiment à l'héroïne, c'est un roman historique à la fois prenant et intéressant!
Lien : https://lecture-spectacle.bl..
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Le roman s'ouvre sur le procès de Frannie Langton, domestique noire accusée du meurtre de son maître Mr Benham et de sa femme.

On entre directement dans le vif du sujet. Mais pourquoi donc aurait-elle tué celle qu'elle aimait, Mrs Benham ? Elle ne se souvient pas de cette nuit, mais elle va tenter de se souvenir de sa vie, de ce qui l'a menée ici, de ce qui l'a changée, de ce qui fait d'elle ce qu'elle est aujourd'hui : une femme noire accusée d'un double meurtre.

Elle grandit à Paradise en Jamaïque où elle va servir un dénommé Langton, et va l'assister dans ses recherches sur l'homme noir. Si au début Frannie se montre réticente à décortiquer ce qui s'est vraiment passé là-bas, elle va finir par avouer à la fin du livre avoir succombé à la folie de ces hommes blancs qui voulaient à tout prix comparer leur race à celle des hommes noirs par des expériences cruelles.

Elle sera amenée à Londres par Langton qui va la laisser à Mr Benham. Dépitée de ce changement elle va développer une affection et un amour sincère pour Mrs Benham.

On va suivre son évolution, ses aventures dans ces deux pays où la cruauté est présente à chaque recoin. Où les femmes, blanches ou noires sont toutes soumises à la perversion des hommes. Où finalement elles sont toutes esclaves de quelqu'un.

C'est un roman fort, sur la fin de l'esclavage (mais sur toutes les conséquences que cela a eu ensuite), sur la femme, sur l'amour, la famille, la vengeance, l'importance du savoir. Je me suis rarement ennuyée durant cette lecture, qui de par son sujet nous apprend d'ailleurs des choses intéressantes et nous pousse à réflexion sur de nombreux thèmes.

Même si Frannie se livre avec sincérité je ne me suis pas autant attachée à elle que j'aurais du. le passage en Jamaïque a été pour moi trop bref, parce qu'il est le fondement de la personnalité de Frannie.
Pourtant ça reste un très bon livre, très bien écrit.

Merci aux éditions Belfond et à Babelio pour son envoi !

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