Elizabeth n'est pas heureuse, elle est donc maussade.
Michka va essayer de partir lui offrir un cadeau qui lui remettra un peu de soleil dans le coeur, en plein hiver.
Cette Elizabeth maussade me fait penser à Mona Lisa.
Au tableau qu'en a fait
Leonardo Da Vinci.
Je l'imagine si maheureuse qu'elle a dû faire c-h-i-e-r ce pauvre Léonard toute sa vie.
Et finalement la peindre pendant des heures les ont peut-être habitués l'un à l'autre, l'emmerdé et l'emmerdeuse.
Car finalement l'emmerdeuse devait l'aimer, ce petit Léonardo si douée et elle qui se croyait si inférieure.
Ils se sont vus, ne se sont pas touchés, et se sont finalement quittés.
La femme n'est plus qu'une belle image dans un tableau, mais son regard est devenu comme celui de la conscience (au fond du pot le jour du mariage) : puisque ce regard nous voit d'où qu'on le regarde, ce tableau.
Il y a un autre tableau : Léonard mourant dans les bras de François 1er, ce qui situe l'époque avec exactitude.
J'imagine le XVI° siècle, le siècle où "français" s'écrit "françois", le plus français des prénoms, vous remarquerez que c'est le prénom du nouveau pape également. Un François Premier chez les Papes?