Michka

La veille de Noël un ours en peluche, triste d'être un jouet maltraité, prend sa vie en main, quitte son faux nid douillet et pars à l'aventure sous la neige...
Il découvre l'autre face de son monde... trouve du miel, dort en haut des arbres... où les oies sauvages lui apprennent le conte de Noël !
Sous les étoiles, tout se précipite, grelots... traîneau, renne, un grand sac plein de jouets ! heureux de les déposer devant chaque cheminée... jusqu'au dernier, lui-même.

Ce conte de Noël est un rêve, un rêve qui se raconte, que l'on raconte et qui nourrit d'autres rêves... sur les images inoubliables et lumineuses de F. Rojankovsky !

Une belle histoire de Noël pleine de bons sentiments mais sans mièvrerie. le petit ours en peluche Michka a soif de liberté mais c'est le jour de Noël et il va naturellement revenir vers sa fonction de doudou par solidarité et parce que c'est sa place au fond. A lire en attendant le père Noël.

Las d'être malmené, un ours en peluche part à la découverte du monde et des secrets de la nuit de Noël.
Michka, petit personnage au grand coeur, finira par faire le choix de reprendre son statut de jouet pour s'installer dans le soulier d'un enfant malade.
Les merveilleuses illustrations de F. Rojankovsky participent à la magie de ce conte qui traverse les générations sans rien perdre de l'émotion qu'il transmet.

Michka est un petit ours en peluche. Il n'en peut plus d'être le jouet d'Elisabeth, il rêve de nature et de grandeur. Aussi, un matin, alors que sa maîtresse dort encore, il s'enfuit.

Pour ses 80 ans, le Père Castor s'offre le luxe de nous faire découvrir une nouvelle édition de la célèbre histoire de Michka, petit ourson en soif de sensations fortes. le texte de Marie Colmont n'a pas pris une ride depuis 1941. Par contre, les illustrations sont complètement différentes de celles de Feodor Rojankovsky, illustrateur de la première édition....
Lien : http://boumabib.fr/2012/02/1..

Un classique écrit en 1947 par Marie Colmont, qui peut paraître mièvre et moralisateur aujourd'hui (il y est question d'une "méchante" petite fille), mais qui garde un charme indéniable, grâce à la poésie des aquarelles de F. Rojankovsky et à la fraîcheur de la fin.

Je suis né en 1949 et je possède ce livre dans son édition de 1951. le premier livre non exclusivement en image que mes parents m'ont acheté et m'ont lu maintes et maintes fois. Je le garde précieusement, je l'ai lu à mes enfants et à ma petite fille.

Une histoire qui se lit d'une génération à l'autre.

Un merveilleux souvenir d'enfance... Comme tous les Père Castor que je possède dans ma collection!

Une de mes premières histoires lues. Nostalgie.

La liberté d'un ours en plus est parfois de ne pas être libre...