Presque minuit, tome 1

🕛🕛🕛 Presque Minuit Tome 1 🕛🕛🕛
Anthony YNO Combrexelle.
404 éditions.
Gagnant de la 1ère édition du Prix 404 Factory 🏆
Note : 🌟🌟🌟🌟🌟/5
✒ Que dire sur ce livre 🤔...il y a tellement de choses 😏...mais je suis tout simplement bluffée...sous le charme de ce roman qui m'a emmené dans un autre monde, un autre siècle.
✒ Je me suis régalée comme quand je lisais Jules Verne.🤗
✒ Moi qui dévore les livres, j'ai pris tout mon temps pour le lire. Je l'ai savouré 🤗.
✒ Dès les 1ères pages on se retrouve en plein Paris en 1889 juste avant l'exposition universelle.
✒ On se mèle à ces enfants orphelins contraint de voler pour survivre...Et petit à petit l'histoire monte en intensité...jusqu'à la découverte de la montre à remonter le temps : atout ou malédiction 🤫...l'avenir le dira.
✒ Entre Magie, dépassement de soi, amitié, entraide...ce roman est superbe.

Encore une fois, c'est un roman pris mon ado qui avait 13 ans lorsqu'elle l'a lu qui s'est retrouvé dans ma bibliothèque parce que Maman il est trop bien!!
Encore une fois, c'est la couverture très jolie qui m'a fait craqué ainsi que l'histoire puisque s'est l'univers de prédilection de la Demoiselle. Enfin, c'était à l'époque parce que maintenant, elle ne jure que par les mangas.

J'ai aimé découvrir le Paris de l'Exposition Universelle avec sa tour Eiffel fraichement terminée.
L'histoire sort de l'ordinaire, mais je n'en dirais pas plus sous peine de vous gâcher la découverte si vous souhaitez lire ce roman.

Attention à ne pas se perdre dans la multitude de personnages principaux qui ont tous un surnom en rapport avec leur particularité.

Les personnages secondaires ne sont pas en reste et je suis persuadée de les retrouver dans le second tome, que mon ado a déjà dévoré sitôt à la sortie du livre et qui attends patiemment son tour dans ma bibliothèque.

En résumé, c'est une bonne histoire que j'ai apprécié même si j'ai eu un peu de mal à retenir et apprécier tous les personnages qui ont tous leur importance.

1889. Six orphelins sillonnent les rues de Paris en vue de détrousser de malheureux passants. Leur destin va basculer le jour où ils vont voler le mauvais objet à la mauvaise personne...

Mon avis sera mitigé. Voilà, ça c'est dit !

D'un côté, j'ai été conquise par l'ambiance fin XIXème, ce Paris où on circule en fiacre sur fond d'exposition universelle. J'ai découvert ces six orphelins en génies de la bande organisée. La première partie du roman m'a emballée. Les enfants cherchent alors à comprendre ce qu'est le drôle d'objet qu'ils ont dérobé et qui sont ces êtres étranges qui veulent à tout prix remettre la main dessus.

Chaque petit héros a ses défauts, sa particularité qui permet de le dissocier des autres (au moins au début). L'auteur a d'ailleurs fait le choix de les affublée de surnoms, ce qui crée une certaine familiarité. C'est très malin !
Niveau narration, on oscille entre moments présents et flashbacks : pas toujours évident de savoir où on est, mais on prend vite le pli.

Et puis, vient le moment où le prologue prend tout son sens et là… l'auteur m'a perdue. Six personnages principaux c'est déjà beaucoup. Certains s'effacent un peu par rapport à d'autres, mais ils sont toujours là et il faut parvenir à générer de l'attachement de la part du lecteur. Pas simple… Ça le devient encore moins quand sont ajoutés plusieurs personnages secondaires. Pourtant ces nouveaux venus sont pour certains très intéressants (notamment Georges). Il y a aussi le personnage de la Teigne que je voyais prendre plus d'ampleur au cours du récit. 

Il y a d'autres points sur lesquels je m'interroge par exemple, le fait d'avoir ajouter de la magie et des sorcières. Leur présence et leur rôle sont bien sûr expliqués, et ont du sens. Néanmoins à trop vouloir en ajouter, j'ai trouvé qu'il y avait du superflu, comme s'il fallait en mettre plus pour faire différent. C'est à double tranchant et ça n'a pas fonctionné avec moi.

Les scènes d'action sont très riches. On sent que l'auteur voyait tout en détail en l'écrivant, mais, à trop vouloir en donner, ces passages prennent en lourdeur. Les personnages parlent aussi parfois trop de stratégie alors qu'ils sont en train de se battre face à un ennemi coriace. Cela rend les échanges moins crédibles.

Le récit fait intervenir des voyages dans le temps. Ceux-ci ont tendance à me donner la migraine. Ici, c'est plutôt bien dosé Il n'y a pas d'abus, je n'ai pas relevé d'incohérence frappante (c'est quand même le risque majeur avec les voyages dans le temps), mais plutôt quelques interrogations.

Bref, un univers riche, des automates, des personnages singuliers et une ambiance que je ne rencontre pas souvent dans mes lectures. Mais il y a un tome 2 que je ne lirai pas.

Je suis tombée sur presque minuit au salon du livre de Montreuil, j'attendais de faire dédicacer un avion sans elle de Michel Bussi et Anthony Combrexelle était juste derrière, en train de dédicacer son livre. Je suis tombée amoureuse de la couverture sachant que j'avais déjà lu le résumé, qui m'avait particulièrement intrigué, sur Instagram.
Presque minuit est un livre du style steampunk qui mélange magie et mythologie à l'époque de l'exposition universelle. le livre relate l'histoire de six orphelins qui, après s'être échappés de leur orphelinat, vont voler un objet très spécial qui va bouleverser leur vie mais pas seulement... Une véritable course contre la montre 🕰 , les six enfants, aux surnoms originaux, vont traverser plusieurs batailles, assez sanglantes, et faire des découvertes surprenantes.
J'ai beaucoup aimé l'atmosphère dans lequel nous plonge l'auteur, malgré les batailles, qui peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes. L'histoire est bien ficelée mais il faut s'accrocher car il est facile de perdre le fil 😅
Je le recommande à tous ceux qui n'ont pas peur des détails gores et qui apprécient les décors mécaniques ⚙️

Ce livre est une belle découverte. Je suis tombée dessus par hasard à Cultura, sa belle couverture m'a fait de l'oeil et le résumé m'a de suite intriguée. Et je ne regrette aucunement de mettre lancer dans ce roman que j'ai trouvé génial.

L'histoire se déroule en 1889, lors de l'exposition universelle de Paris et nous suivons les aventures de 6 orphelins livrés à eux même, qui volent pour survivre. Jusqu'au jour où l'un d'eux vole une montre aux pouvoirs étranges. Ils vont alors être traqués par des monstres mécaniques et découvrir que la magie les entoure.

J'ai adoré ce livre de style steampunk mêlant magie et mythologie. J'ai trouvé ce mélange original mais le tout fonctionne très bien ! L'univers est bien construit, complet, parfois complexe. Les personnages ont des noms totalement absurdes qui m'ont bien fait rire et qui reflètent leur personnalité à chacun. La création des Worlocks m'a fait pensé à celle des Cybermen dans Doctor Who. Je ne sais pas si la référence était voulue par l'auteur mais ça me plaît bien en tout cas !

Juste deux points négatifs pour ma part. Déjà , les flash-back. Bien que ce soit intéressant d'en savoir plus sur nos orphelins, j'ai trouvé qu'ils ralentissaient un peu l'intrigue. Et le 2ème point qui n'a rien à voir avec l'histoire, la couverture est si belle, c'est vraiment dommage que les dorures s'en aillent lorsqu'on manipule le livre.

J'ai tellement aimé cette lecture que j'enchaîne maintenant avec le tome 2 qui se déroule quelques années plus tard, en 1893.

Un livre que je recommande fortement !

Dans ce roman nous suivons 6 orphelins vivant dans la rue. Un jour ils volent une montre leur permettant de remonter le temps, ils se retrouvent alors poursuivi par des monstres mécaniques et parte à la recherche d'une sorcière qui pourrait les aider.

Dans ce livre on retrouve de tout, de l'aventure, de l'action, de la magie, de la joie et de la tristesse. L'intrigue qui m'avait d'abord attiré vers ce livre est sympa mais il m'a manqué un petit quelque chose pour m'attacher aux personnages et être vraiment absorbé par l'histoire.

Je suis entrée dans un univers inconnu de moi, l'univers steampunk. J'étais un peu désorientée au début de ma lecture, mais j'ai tenu à aller plus loin parce que l'histoire se déroule dans un Paris Disparu qui me fascine.

D'entrée j'ai fait connaissance avec une sorcière dont le coeur émet un TIC TAC TIC TAC qui va rythmer l'intrigue.

Coup de coeur ! ❤ les personnages sont attachant, c'est rythme, l'ambiance est cool, le style est à tombe, l'univers est magique bref j'ai passé un super moment de lecture ! Les derniers mots de l'auteur m'ont particulièrement touché et c'est un livre qui mérite vraiment d'être découvert. L'auteur a construit une histoire avec ses tripes et ça se sent ! Je ne suis absolument pas d'accord avec les mauvais commentaire sur le même livre que j'ai pu voir. On peut ne pas aimer le style, on en peut pas remettre en question le travail incroyable d'écriture qui nous ai mis sous le nez ! Un travail de recherche avec un équilibre d'émotions et de rebondissement. Un auteur qui n'a pas peur de faire mourrir des personnages aussi important soit il. Bref un bonheur j'ai hâte de découvrir son deuxième ouvrage !

Anthony Combrexelle signe avec Presque Minuit un beau roman jeunesse steampunk, le premier de ce genre à entrer dans ma bibliothèque.
6 orphelins y vivent des aventures incroyables dans un Paris en pleine révolution industrielle. La plume est belle et originale et l'ambiance que dégage cette histoire est absolument passionnante.
J'ai eu toutefois un peu de mal à rentrer dans l'histoire qui ne manque pourtant pas de révélations mais dont l'action tarde à arriver. de plus, j'ai trouvé très difficile de s'attacher à autant de personnages différents et j'ai finalement eu l'impression de survoler chacune de leur personnalité.
Cela étant dit, Presque Minuit reste un beau roman d'aventure steampunk bien écrit et, qui sait, je lirais peut-être même la suite !

Premier roman de l'auteur et pour un premier c'est pas mal. Manque un peu de profondeur pour certains personnages surtout les secondaires qui auraient à mon avis du être un peu plus approfondis. Beaucoup de voyages dans le temps qui sont bien géré par l'auteur et c'est tant mieux sinon on serait perdu.
Pas un coup de coeur mais à lire une fois.