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EAN : 9791032401873
352 pages
404 Editions (25/01/2018)
3.54/5   89 notes
Résumé :
Paris, 1889. Six orphelins en cavale, devenus gamins des rues par la force des événements, volent et détroussent les passants. Alors que l'Exposition universelle débute, ils font l'erreur de dérober le mauvais objet aux mauvaises personnes. Leurs mésaventures aux quatre coins de la ville les amèneront à découvrir les secrets d'un monde magique où s'affrontent créatures mythologiques, sorcières et terrifiants ennemis mécaniques. Plus que jamais, Moignon, Allumette,... >Voir plus
Que lire après Presque minuit, tome 1Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (41) Voir plus Ajouter une critique
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Livre découvert en furetant à la FNAC. Il n'est pas resté très longtemps dans ma PAL tant son résumé m'intriguait, mélange de steampunk, de ville à sauver et d'orphelins. Sa couverture est vraiment très belle.

Le prologue est intrigant à souhait avec sa sorcière qui se retrouve à avoir une minuterie à la place du coeur. Ensuite, nous découvrons les 6 orphelins dans leurs passe-temps favori, le vol à la tire, dans le Paris de 1889 pendant l'Exposition Universelle. Les chapitres sont courts et s'enchaînent vite. L'auteur retourne souvent dans le passé pour nous expliquer celui des 6 orphelins, mais pas que, dès que les évènements exigent des éclaircissements. L'histoire avance lentement mais il y a toujours un petit élément pour susciter ma curiosité. Que font 6 orphelins avec des monstres et une montre à remonter le temps ? L'auteur alterne la narration entre Boiteux, un des 6 orphelins, et les monstres. Cela nous permet d'avoir une vision d'ensemble même si cela reste assez confus. Par contre, le steampunk est assez peu présent ainsi que l'Exposition Universelle. Pourquoi choisir ce cadre dans ces cas-là ? Par moments, j'avais l'impression de visiter un jeu avec cette histoire. L'imaginaire y est très particulier entre sorcière, automates et montre à remonter le temps. L'auteur a également mélangé plusieurs univers déjà existants : Harry Potter, le Palais des Mirages, La mécanique du coeur, … et bien d'autres encore. Je vois ça comme un hommage de la part d'un fan geek. Les passages sur les différents passés sont intéressants et permettent d'approfondir un peu l'histoire ainsi que d'apprendre à mieux connaître les différents personnages. Les orphelins ne sont heureusement pas tout seuls dans leur quête pour sauver Paris, ils seront aidés par différentes personnes, certaines sont pour le moins incongrues. Ils vont malgré tout enchaîner beaucoup de mésaventures pour arriver à leurs fins mais aussi beaucoup d'astuces et de débrouillardises.

Comme vous l'aurez compris, ce roman a été une excellente découverte même s'il m'a laissé un goût inachevé car j'aurais bien aimé suivre encore un peu cette bande d'orphelins et l'inventeur fou Georges. Par contre, certains éléments ne sont pas assez mis en valeur d'après moi : le côté steampunk de l'histoire, l'Exposition Universelle (à part certains détails connus). L'auteur a tout accès sur les orphelins, les automates et la capitale à sauver. Pour un premier roman, c'est quand même un bon début. Si vous êtes amateurs de littératures fantastiques mélangeant plusieurs thèmes, je vous conseille très fortement de découvrir cette histoire et son jeune auteur. Pour ma part, il s'agit d'un nouvel auteur à suivre. Un petit bémol au niveau de la couverture, la dorure du titre s'enlève trop facilement. Je pose toujours mes romans sur différents supports (table, plaid, …) et au moindre contact, ça s'enlève. C'est dommage car le reste est toujours doré.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Paris, 1889. Centenaire de la Révolution française et année de l'Exposition universelle axée autour de la monumentale tour de Mr Eiffel.
Pendant ce même temps, dans les bas-fonds survivent Moignon, Allumette, Morve, Bègue, Boiteux et Pleurs. Les six orphelins, âgés de sept à quinze ans, se sont enfuis l'année précédente de l'orphelinat digne de Dickens. Depuis, c'est la vie au jour le jour à coups de larcins, chapardages et recels. Mais surtout une entraide, une solidarité et un puissant lien de fraternité choisie qui lient les membres de cette singulière compagnie.

Lorsque Boiteux, l'as pickpocket du groupe, "cueille" dans la poche d'un curieux gentleman rien moins qu'humain, une montre à gousset à la mystérieuse propriété, l'existence des gamins se voit bouleversée dans des proportions qu'ils étaient bien loin d'imaginer...

Anthony "Yno" Combrexelle signe avec Presque Minuit son premier roman dont il explique les circonstances d'écriture en postface. Dans ce livre destiné aux adolescents, il mêle innovations technologiques à coup d'automates et antiques pouvoirs des sorcières d'Hécate. Au milieu, un attachant groupe de mômes que la vie n'a pas vraiment aidés jusqu'ici. La découverte du pouvoir de la montre les emporte, et nous avec, dans une suite d'aventures et de péripéties où leur courage et leurs cellules grises sont mis à contribution. Magie et dangers sont au rendez-vous, l'auteur n'hésitant pas à les plonger dans de sombres moments.

La lecture de Presque Minuit a parfois été gâchée par des longueurs et un manque de liant entre les événements en cours et les analepses. J'ai d'ailleurs eu du mal à entrer dans l'histoire et c'est surtout la personnalité des orphelins qui m'a poussée à continuer. Il n'en reste pas moins que l'auteur y a mis de bonnes idées et que l'ensemble reste sympathique à suivre. Pas le grand enthousiasme donc mais pas un ennui complet non plus. de plus, s'agissant d'un premier roman, je suis certaine qu'Anthony Combrexelle ne peut aller qu'en améliorant ses procédés de narration. A suivre donc...
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En voyant que Au crépuscule était disponible sur Netgalley, je me suis dit qu'il serait temps de lire Presque minuit. Je sais que les deux tomes peuvent être lus indépendamment, mais autant avoir le background des personnages avant de se lancer.

Nous suivons donc six orphelins, tout juste échappés de l'établissement où ils étaient éduqués, à l'époque de la grande Exposition Universelle. L'époque est pleine de promesse, avec les nouvelles technologies qui voient le jour, et le résumé nous annonce de la magie, une bonne combinaison qui prend vie rapidement et qui happe le lecteur.

Il y a d'ailleurs tout de suite une dynamique dans le récit que j'ai beaucoup apprécié. Les chapitres très courts, ainsi que les changements de point de vue font que l'on a une vue d'ensemble, et qu'on ne se perd pas dans des chapitres interminables. L'action est présente dès le départ, on entre dans le vif du sujet, avec des flash-back de temps à autre pour nous resituer le tout quand cela est nécessaire.

Dans l'ensemble, j'ai plutôt bien accroché à l'univers et à l'histoire en elle-même. C'est bien ficelé, et l'auteur prend vraiment bien le partie de mélanger et la magie et la technologie en gardant à l'esprit de montrer combien les humains font facilement des erreurs pour assouvir leurs désirs. le contexte a beau être imaginaire, l'ensemble des faits nous parle facilement. J'ai aussi aimé la réflexion sur le fait de manipuler le temps. Est-ce bien ou mal ? Comment le gérer et quelles sont les répercutions ? Il y a une prise de conscience sur ce qu'on doit ou peut accepter et des sacrifices que l'on doit faire.

Mais, à trop jouer avec le temps dans un roman, on y perd aussi son latin. Surtout dans les scènes d'action, et cela se ressent surtout à la fin. J'ai trouvé quelque fois que le tout était un peu bancal dans le sens où l'on ne prend pas en considération certaines règles « scientifiques » vis-à-vis de ce phénomène. Après, à ce niveau-là, je suis pointilleuse, je l'admets. Ce n'est pas un élément évident à manier et dans l'ensemble, c'est très bien réalisé.

Autre point négatif : les enfants. Je ne me suis attachée à aucun d'entre eux. Et c'est dommage parce qu'au final, je suis donc passée à côté de l'histoire, de leur histoire. J'ai trouvé que leurs défauts étaient beaucoup trop mis en avant, et cela crée une distance difficile à dépasser. A trop vouloir en faire des anti-héros, on ne parvient pas à s'identifier ou à avoir de la compassion. Il en va de même avec les sorcières. C'est encore une fois dommage, car il y avait du potentiel, et c'était la dose de magie que j'attendais vraiment. Elles sont survolées.

Presque minuit a donc du potentiel, mais pour moi, certains points font que je suis passée un peu à côté. Je vais lire la suite, sans soucis, car je suis curieuse de voir si Au crépuscule saura me faire changer d'avis.
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Une lecture ado plutôt agréable.
J'aime bien l'univers steampunk, pas trop lourd. Les personnages principaux (les orphelins) sont fouillés, l'auteur s'attache à nous les rendre vivants. Mais il faut avouer que cela rend les autres personnages un peu "rapides", artificiels. On commence le livre par la sorcière, mais elle est tellement oubliée ensuite qu'elle est passé à la trappe dans ma lecture : je ne me suis que peu intéressée à son destin et celui de ses gardes. C'est dommage car les personnages secondaires ont tous du potentiel : sorcière, gardes, Georges, la teigne.
Paradoxalement, je regrette à la fois que les personnages secondaires ne soient pas complètement exploités, et l'existence de certaines longueurs. A certains moments, je lisait presque en diagonale, je trouvais ça un peu longuet.
Niveau gestion des voyages dans le temps, je trouve que l'auteur s'en sort bien. Parce qu'honnêtement, il y a de quoi bien se planter, surtout pour un premier roman. Mais là les conséquences des voyages, les modifications du temps restent "crédibles".
C'est donc un plutôt bon moment de lecture, et un auteur qui mérite certainement d'être suivi s'il republie, car à mon avis son écriture va se peaufiner.
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J'ai passé un bon moment avec ce livre résolument steampunk dans un Paris de la fin du XIXème siècle peuplé de sorcière, d'automates tueurs et de créatures ailées.

L'histoire:

Nous suivons 6 orphelins qui survivent tant bien que mal grâce à de petits larcins. Ils vont néanmoins dérober le mauvais objet à la mauvaise personne et s'attirer les foudres d'une bandes d'automates furieux prés à tout pour retrouver leur bien volé.

J'ai beaucoup aimé ce Paris revisité. On découvre cette ville sous un nouvel aspect, celui de ces gamins des rues qui profitent de l'ouverture de l'exposition universelle pour s'en mettre plein les poches. Mais rien n'arrive comme prévu et une rencontre va tout changer.

Il y a de l'action! du danger et des stratégies à mettre en place.
Loin du Paris que nous connaissons, nous découvrons une ville au prise à une lutte sans merci entre des automates et une sorcière (la dernière) retranchée dans sa tour.

J'ai aimé l'histoire qui mélange un bon nombre d'intrigues déjà connus. A sa sauce, l'auteur a pioché dans toutes les histoires qui nous font rêvées pour créer un univers bien pensé et original.

J'ai néanmoins a déplorer une technique narrative qui m'a géné dans ma lecture. Celle des flashback. En effet, nous suivons une histoire principale. Or celle-ci est entrecoupée de nombreux flashback. Certains sont annoncés par une phrase du genre "Moignon se souvient encore..." et d'autres sortent de nulle part et coupe le récit brusquement.

Dans ces moments là je me sentais perdu... Étais-je encore dans l'histoire principale? Non, mais il fallait toujours un certain temps d'adaptation pour replonger dans ce passé... Et cela a entravé ma lecture.
C'est dommage car cela semblait avoir été fait de manière un peu maladroite.

Sinon, l'auteur ne prend pas de gant avec ses personnages. Il n'hésite pas à faire d'eux des martyrs près à tout pour se sacrifier... Certains passages sont assez sombres et dérangeants.

Les personnages:

Nous ne connaissons les six Orphelins que grâce à leur surnom qui définissent en quelque sorte leur personnalité. Pas besoin de chercher très loin:

Pleurs est la plus petite du groupe, à 7 ans elle attire la compassion avec sa bouille toute mignonne et ses grands yeux qui pleurent sur commande.
Morve renifle sans arrêt.
Moignon n'a plus qu'une main.
Allumette est aussi fine que cet objet et ne se sépare jamais de celui-ci.
Boiteux boite.
Et bègue bégaye.
Bien sur au fur et à mesure de l'histoire, leur personnalité s'affine pour devenir bien plus que cela.
Néanmoins, j'aurais voulu plus de développement encore. il m'en a manqué un peu plus pour réellement m'attacher à eux. Nous n'avons pas de réelles descriptions des personnages et leur particularité physique n'est pas vraiment exploité. C'est comme si le fait de leur attribuer un surnom suffisait à les définir...
Les adultes ne sont pas en reste. ils sont aussi là pour aider les orphelins dans leur mission. A leur coté, nous trouvons ainsi un étrange inventeur horloger, les gardes musclés d'une vieille sorcière ainsi qu'un personnage que l'on suit dés le début de l'aventure, avant même qu'elle ne commence réellement; celui de l'ancien directeur de l'orphelinat devenu policier à la suite de son échec à empêcher l'évasion des 6 garnements. Principal ennemi des orphelins en début de tome, il s'avère être un formidable allié par la suite...

Bref, ce livre comporte une infinité de personnage... Et il m'est arrivé à plusieurs reprises de me sentir perdue... Dans les combats, mon esprit partait en vacances et n'arrivait plus à démêler qui était qui...

le style:

La plume est simple et le récit rythmé. A part cette utilisation maladroite des flashbacks j'ai apprécié cette lecture. Pour un premier tome, l'univers développé est complexe et bien amenée.

C'est une belle découverte pour un premier roman dont l'univers est fantastique. Bourré d'action, ce livre se révèle assez sombre par moment. Il m'a manqué quelques petits détails supplémentaires pour vraiment accrocher aux personnages mais c'est certain que ce roman peut plaire au plus grand nombre!
Lien : http://maudbonnefond.wixsite..
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critiques presse (3)
SciFiUniverse
04 mars 2020
Dans ce nouveau volet, Anthony Combrexelle étoffe son univers et ses aspects surnaturels pour notre plus grande satisfaction. Une double intrigue parcourt le roman : la disparition d’enfants, d’orphelins et le fait que les gargouilles de la cathédrale aient pris vie ! Rythmé, ce livre se dévore et s’il est écrit pour un jeune public, les adultes y prendront plaisir.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
SciFiUniverse
13 novembre 2018
Presque minuit est le roman idéal pour découvrir le genre steampunk. Plus facile d'accès qu'un Jules Verne et resolument moderne, ce roman plaira aux jeunes lecteurs comme aux adultes. Le style est fluide et le lexique facile d'accès.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Actualitte
01 février 2018
En somme, malgré quelques soucis de narration et une psychologie des personnages que l'on aurait voulue plus poussée, Presque minuit se rattrape grâce à sa maturité et nous offre finalement une sympathique excursion dans la steampunk jeunesse.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
- Voyez, mon jeune ami, ce n’est pas la technologie qui est mauvaise en soi, non. La technologie n’est que ce que l’on veut bien en faire.
- Je comprends, mais les automates, par exemple, ils…
- Justement, ces créatures, parlons-en. Elles ont forcément été créées par quelqu’un. Elles ne se sont pas conçues elles-mêmes. C’est comme tout, il faut faire attention. La technologie, comme toute conception élaborée, doit être domestiquée. Elle doit être expérimentée et utilisée à bon escient. Elle doit être pensée et contrôlée.
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A son réveil, de nombreuses bougies avaient été allumées et disposées autour du lit sur lequel elle somnolait. Un candélabre posé sur sa table de chevet et Hector, le chef de la Garde, était assis à ses côtés. Les traits de son visage, marqués par de profondes cicatrices, étaient tendus. En cinquante années à son service, il ne l'avait jamais vue aussi pâle et fébrile. Quelque chose clochait. Quelque chose de mauvais.
- Madame ?
- Que se passe-t-il ? questionna t-elle
- Rien de grave. Vous avez perdu connaissance et vous êtes tombée. Il faut vous reposer. Si vous avez besoin, nous sommes tous là, dans l'antichambre.
Confuse, elle se releva en tremblant, se redressant au mieux sur le matelas tassé par les ans.
TIC TAC, TIC TAC, TIC TAC, TIC TAC, TIC TAC, TIC TAC, TIC TAC, TIC TAC, TIC TAC, TIC TAC...
Un son résonnait dans la pièce et il ne s'agissait pas du gantelet. Non, il s'agissait d'autre chose. Le nouveau bruit était constant, mécanique, indifférent aux voix et aux rythmes de leurs respirations. Hector fronça les sourcils broussailleux et la dévisagea, cherchant l'endroit d'où provenait l'étrange son. C'était elle. C'était elle qui émettait ce bruit. Plus exactement, c'était son coeur qui décomptait le temps à la manière d'un métronome...
TIC TAC, TIC TAC, TIC TAC, TIC TAC...
Elle questionna :
-Quelle heure est-il je vous prie ?
Il se tourna vers la petite horloge incrustée dans le fronton boisé d'une armoire baroque au fond de la pièce. Les ombres projetées par les bougies presque entièrement fondues tremblaient entre les aiguilles argentées.
- Minuit. Minuit exactement, Madame.
- Bien. L'heure est grave Hector. J'ai une mission de la plus haute importance à vous confier. A vous et aux lus aguerris de vos gardes.
Il y va de l'avenir des hommes...
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Les fées sont pas des gentilles. En fait (elle regarda sa grande sœur et l’inventeur et, chuchotant, leur expliqua la réalité qui était la sienne), les contes sont des mensonges ! Ce sont les fées qui les ont écrits et elles y disent c’qu’elles veulent : qu’les sorcières sont moches et méchantes et qu’les fées sont jolies et gentilles, alors qu’en fait, la vérité, c’est qu’c’est pas vrai ! Les sorcières blanches ont été inventées par les fées après, parce que des gens avaient compris que les sorcières n’étaient pas plus méchantes que les fées.
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- Mouais. Tu sais, c’est pas parce que tu es cultivé que tu dois être insultant.
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Parce qu'elle tombait presque en ruines, Notre-Dame avait été restaurée par Eugène Viollet-le-Duc une quarantaine d'années plus tôt. En plus de réhabiliter certaines parties disparues, l'architecte avait fait élever une flèche bien plus haute que la précédente et disposer de saisissantes sculptures de gargouilles et autres chimères, rendant d'autant plus marquante la visite des toits du bâtiments.
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