Je regardai fixement le sol. J’avais envie de m’en aller, mais ne savais comment prendre congé. Sa douleur et sa colère irradiaient vers moi comme la chaleur qui s’échappe d’un four dont la porte est fermée.
Cet épisode m'aida à me souvenir pourquoi je n'avais jamais aimé avoir affaire aux agents du FBI. En général, ils etaient tous frappés de rétention anale.
la vérité qui se cachait derrière une grande partie du journalisme contemporain. Il n’y était plus guère question d’altruisme, de service public et de droit à l’information. C’était devenu une question de concurrence, de rivalité et de publicité : quel journal avait publié l’article en premier, lequel était à la traîne ? Et qui décrocherait le prix Pulitzer à la fin de l’année ? C’était une vision plutôt sombre, mais après toutes ces années dans le métier, mon point de vue avait viré au cynisme.
Essayer de comprendre le fonctionnement de ces individus, c'est comme rassembler un miroir brisé. Parfois, on ne peut pas expliquer le comportement de certains individus, alors on dit qu'ils ne sont pas humains. On dit qu'ils viennent de la lune. Et sur cette lune d'où vient le Poète, les instincts auxquels il obéit sont considérés comme normaux et naturels.
Je n'étais jamais très à l'aise devant les flics (...). J'avais toujours le sentiment d'avoir quelque chose à me reprocher.
Je n'étais jamais très à l'aise devant les flics, même si leur univers me fascinait. J'avais toujours le sentiment d'avoir quelque chose à me reprocher. Quelque chose de grave.Une sorte de tare révélatrice.
Tout a une cause. Parfois, la cause est plus haïssable que la conséquence, pourtant, c’est souvent la conséquence qu’on abomine.
elle commence à paraître vieille, que l’on voie apparaître autour de ses yeux et de sa bouche les traces d’usure de la vie.
Tout a une cause. Parfois, la cause est plus haïssable que la conséquence, pourtant, c'est souvent la conséquence qu'on abomine.
Tout a une cause. Parfois, la cause est plus haïssable que la conséquence, pourtant, c'est souvent la conséquence qu'on abomine.