Châteaux Bordeaux, tome 8 : Le négociant

Suite de la série oenologique "châteaux bordeaux", que les auteurs nous présentent comme étant l'avant dernier chapitre.
Alexandra continue de se battre pour le domaine du chêne courbe et continu son long apprentissage du vin. Dans ce tome on aborde la question du négoce, de la commercialisation. J'ai trouvé les passages techniques pas franchement passionnant, je préférais quand ça parlait de terroir et de vigne. Mais cette série aura au moins le mérite de nous présenter le vin de bordeaux, du raisin à la bouteille que l'on pose sur la table.
L'histoire quant à elle bouge assez peu. Alexandra aimerait toujours faire payer à Bourgeau ses basses manoeuvres mais sans succès.

La question que je me pose alors que je viens de lire ce tome 8 et que j'ai déjà emprunté le tome 9, c'est combien y en aura t'il au total ? Surtout que la Série Spin-off sur le restaurant du Chêne Courbe semble lancée…. Ca fait peut être un peu beaucoup.
D'autant plus que le divorce houleux du frère de l'héroïne est un peu mis de côté dans ce tome : je me dis que c'est certainement pour revenir beaucoup plus fort plus tard…. alors qu'il semblerait qu'un des vilains méchants soient enfin mis sur la touche.
Comme à chaque tome, celui ci présente un nouvel aspect de la production et vente de vin ! le négoce, ce n'est pas un sujet qui me plait beaucoup a priori, et donc je n'ai pas trop accroché à toute ces explications. J'ai préféré l'histoire de la machine pour bercer le vin...
Bref, cette BD est comme le vin, il y a du bon et du moins bon. Et pour le moment ce qui garde mon attention, ce sont tous les détails insignifiants, car malheureusement ce qui est mis en avant me lasse un peu.

Les choses avancent au Chêne courbe et on sent que la saison arrive à son terme.
Plus que jamais, cet épisode est caractéristique des séries françaises. Les tuiles continuent de se succéder dans le parcours de la pauvre Alexandra et ça faisait déjà plusieurs tomes qu'il n'y avait pas eu de mort...ce manque est maintenant à nouveau comblé.
Je n'ai pas encore évoqué l'odieux méchant de cette série...si les personnages sont caricaturaux, le méchant est tout aussi traité à l'emporte-pièce. C'est à peine si il ne se proclame pas au service des forces du mal, comme dans les dessins-animés de mon enfance.
Suite et fin au prochain épisode.

Encore un tome très intéressant et enrichissant.
Cette fois, comme son nom l'indique, nous découvrons le rôle des négociants dans la commercialisation du vin. Et cela ne va pas être facile pour Alexandra de redorer le blason du chêne courbe, car au fil des années, la demande a énormément baissé. De gros espoirs reposent sur la nouvelle cuvée.
La "cuvée spéciale" progresse également, et l'on se demande bien ce que vont donner toutes ces petites expérimentations.
La quatrième de couverture nous laisse entrevoir une fin et enfin une punition pour Bourgeau, mais on en est encore loin, et c'est ce que je trouve dommage avec ce tome : ce pan de l'histoire n'avance pas très vite, et on aurait pu passer à autre chose dans le tome suivant.

Tout de même, encore une bon tome, et je vais attendre avec impatience le suivant !

Un tome qui ressemble aux autres.
Une histoire de production familiale de vin tout d'abord. Moi qui me passionne j'apprends beaucoup de choses, chaque tome évoquant un aspect différent. Par contre pour l'histoire ça ne la fait pas beaucoup avancé et c'est parfois un peu lourd à lire, c'est parfois technique sans que ça ait beaucoup d'intérêt.
L'histoire est agréable même si stagne un peu. Pas de rebondissement ni de suspense. Les personnages ne sont pas plus détaillés dans ce tome. D'ailleurs on ne se sent pas très proche d'eux. le centre de la série est vraiment le vin.
Les dessins font leur travail, ils sont agréables, classiques avec une colorisation tout autant.
Une série c'est agréable, la lecture est sympathique. Mais on n'en redemanderait pas une autre.
Suite et fin dans le prochain tome.

Depuis qu'elle a décidé de redonner au « Chêne courbe » ses lettres de noblesse, Alexandra a déjà dû surmonter quantité d'obstacles. Quand Jeanne, qui a été pour elle comme une mère, se fait renverser par une voiture, c'en est trop pour Alexandra. Elle veut à tout prix rassembler un maximum d'indices pour faire payer à Bourgeau les innombrables méfaits dont il s'est rendu coupable. C'est loin d'être simple, bien que les victimes soient légion. Tout le monde craint les représailles.
Ce huitième épisode s'ouvre par une planche en noir et blanc. Alexandra poursuit la lecture des mémoires de son père. Elle va y découvrir une méthode assez originale pour donner à sa production un cachet inimitable.
Mais avant de pouvoir commercialiser son premier millésime, la jeune femme doit affronter pas mal d'épreuves. Certes Jeanne est sortie du coma, mais elle a perdu la mémoire. le négociant chez lequel l'emmène Nicolas douche son enthousiasme. le vin produit sur la propriété a perdu de son prestige. Il faudra beaucoup d'efforts pour redorer son blason. Alexandra résume : « Poser une bouteille de vin sur une table autour de laquelle sont réunis des amis est un geste naturel. Et plus j'avance, plus je prends conscience de l'étendue des compétences nécessaires pour que ce simple geste puisse avoir lieu. » Les auteurs vont donc emmener leurs lecteurs à la suite des héros dans le labyrinthe d'une société d'embouteillage, leur expliquer comment les premiers négociants se sont installés de l'autre côté des remparts de Bordeaux au XVIIe siècle ou encore ce qu'est le clairet. Les images en couleurs du présent alternent avec le noir et blanc des souvenirs. Espé réalise quelques beaux plans des décors, comme les carrelets (cabanes de pêcheurs) le long de la Garonne ou le reflet d'Alexandra et Nicolas dans un miroir d'eau.
Pourtant, la fin réserve son lot de malheurs et on a l'impression que l'affreux Bourgeau ne craint rien ni personne et qu'il balaiera sans scrupules tout qui se mettra en travers de son chemin.
Un épisode qui donne envie de connaître la suite.

Huitième et avant-dernier épisode de la saga du Château Chêne-Courbe, cru classé méconnu de Margaux. Eric Corbeyran continue avec pédagogie à présenter les différents acteurs du vin, ici les négociants. L'intrigue principale semble secondaire malgré des révélations importantes. Pour les amateurs de vins et de bd !

Encore une fois un tome qui n'est intéressant que pour les ultra-passionnés du monde viticole car l'histoire n'avance pas. Si c'est juste l'intrigue et tous les mystères autour du complot qui vous intéresse, lisait juste à partir de la page 40 et ce sera bon.

Dans ce tome, on nous explique le fonctionnement du négoce dans le domaine du vin. Les intrigues s'accélèrent. J'ai trouvé ce tome un peu moins intéressant car je suis moins sensible au négoce sans doute qu'aux autres aspects de la vigne et du vin.

Belle série sur la vie du vin et de tous les métiers autour des grands crus de Bordeaux.