Il est des émotions suscitées par le spectacle du travail de l'herbe, tel que celui-ci est rapporté par l'écriture de soi, la littérature et représenté par les peintres. La faux, l'acte de faucher, la fenaison, la manière d'engranger ont mobilisé le rêve. (p.135)
L'herbe est composante essentielle du regret qui fait suite, si fréquemment, à la fin de la prime enfance. (p.38)
[Pour les aristocrates] L'herbe s'identifie à la plèbe. Elle s'apparente aux humbles que l'on peut fouler. (p.34)