Je voulais vous présenter mes condoléances, mais je trouve ça un peu pompeux, pour tout vous dire. Ce terme. Un mot prémâché, préparé à l'avance. Pas besoin de réfléchir ou de ressentir quoi que ce soit. On a ce mot alors on dit ce mot. Je n'aime pas ça... Je préfère vous assurer de mon soutien. C'est ce que j'ai envie de vous dire. C'est ce que je ressens.
“Ce moment où l'on comprend que s'arrêteront les fous rires, les disputes, les verres et les repas à partager.
Ce moment où l'on comprend qu'on ne le reverra pas”.