The case of the golden coquette, est paru en 1957 et arriva au sein de l'excellente collection UN MYSTÈRE des Presses de la Cité en 1958.
C'est dans la réédition de 1995, sous le signe de la Chouette en hommage à Frédéric Ditis, que je me suis plongé dans le New-York des années 50.
Cette mégapole ne dort jamais, mais les flics non plus!... Ou si peu!... Et dans des chambres aménagées dans les commissariats, pour reprendre plus vite le boulot;
il faut dire que l'affaire de ce type poussé sous le métro, réveille une terreur des années 30 lors desquelles le sinistre Mooney tuait de cette atroce manière.
Mooney est-il de retour à New-York, après s'être extrait de son asile
d' aliénés?
En tout cas, le détective Selby et son coéquipier vont devoir faire fissa pour résoudre l'affaire avant qu'un vent de panique ne gagne la ville.
Si le meurtrier-pousseur n'est pas trop difficile à deviner, le mobile du crime met en lumière un boulot assez méconnu: Celui d'informateur du fisc américain. travail assez dangereux mais qui peut rapporter gros...et de nombreux ennemis.
Un polar d'atmosphère, donc, où ne manquent la vamp ni les petites frappes et autres soutiers du crime de la Grosse pomme.
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Le Taboo, malgré les articles que lui consacrent les journaux et sa popularité auprès des artistes, n'est qu'un très petit bar très sombre sans rien qui le distingue des autres petits bars très sombres des environs.
L'homme était mort sur le coup, c'était évident; mais il avait dû vivre une ou deux secondes abominables, entre le moment où il s'était vu projeté du quai du métro et celui où il avait senti les roues lui broyer le corps.