Il n’importe pas qu’un être soit croyant ou non : il est plus important qu’il soit bon.
La prospérité - mentale et affective plutôt que purement matérielle - a elle aussi son importance dans l'acquisition de la paix intérieure.
On ne peut être aimant et compatissant sans contenir ses désirs et ses intérêts immédiats.
C’est en parvenant à nos fins par l’effort, en étant prêt à faire le sacrifice de profits immédiats en faveur du bien-être d’autrui à long terme, que nous parviendrons au bonheur caractérisé par la paix et le contentement authentique.
Lorsque nos intentions sont égoïstes, le fait que nos actes puissent paraître bons ne garantit pas qu’ils soient positifs ou éthiques.
Le bonheur se distingue du plaisir : ce dernier n’est pas lié au sentiment de l’existence, on ne s’y oublie pas en tant qu’être singulier. Ici se loge la deuxième raison qui peut expliquer la rareté de ce bonheur en littérature.
J'associe la religion avec la croyance au salut tel que le promet telle ou telle confession , en accord avec l'acceptation d'une réalité métaphysique ou surnaturelle pouvant éventuellement inclure l'idée de paradis ou de nirvana , et comprenant l'enseignement de dogmes , de rites et de prières. J'associe la spiritualité avec ces qualités de l'esprit humain_amour et compassion , patience , tolérance , pardon et sens de la responsabilité_qui apportent le bonheur à autrui en même temps qu'à soi-même.