Citations sur L'épouvanteur, tome 2 : La malédiction de l'épouvanteur (77)
...le début de la connaissance est d'accepter son ignorance ....
Quand le gobelin s'était manifesté, il avait tenté de le combattre avec ses armes de prêtre: sonneries de cloches, saintes lectures et cierges. Ce n'est pas ainsi que l'on vient à bout de l'obscure! Un gobelin ordinaire se serait contenté, dans la plupart des cas, d'ignorer le bonhomme et ses exorcismes.
Il aurait peut-être fini par s'en aller, et comme bien souvent, on aurait attribué cette réussite au prêtre.
Dans ce travail, on ne cesse d'apprendre, et le début de la connaissance est d'accepter son ignorance.
Dans ce travail, on ne cesse d'apprendre, et le début de la connaissance est d'accepter son ignorance.
[... ] le début de la connaissance est d'accepter son ignorance.
La lune révèle la vérité des choses.
Non, le seul tort d'Alice était d'avoir grandi en mauvaise compagnie. Elle ne méritait pas d'être brûlée comme sorcière. Je devais trouver un moyen de la tirer de là ! Lequel ?
"Quand tu deviendras un homme, mon fils, ce sera au tour de l'obscur d'avoir peur, car tu ne seras plus la proie, mais le chasseur."
De son vivant, il a noyé bien des innocents, commenta l’Epouvanteur. Des malheureux sans défense, qui avaient trimé toute leur vie, qui avaient droit à une vieillesse paisible et au respect d’autrui. Maintenant c’est son tour. Il n’a eut que ce qu’il méritait.
Les femmes sont des êtres obstinés et souvent imprévisibles.