Le monde moderne souffre d’un excès de matérialisme. L’idéologie marchande, que l’on qualifie de néolibéralisme, tend à enfermer les hommes dans un paradigme où seul l’argent est une fin et où la cupidité régit le tissu socio-économique.
L’humanité est en proie à une perte de spiritualité laïque, en marge des religions, qui l’amène tout droit vers sa propre perte. Si l’économie, oïkos-nómos, désigne la gestion de la terre et que l’écologie, oïkos-logo... >Voir plus