Citations sur Les Coulisses du pouvoir, tome 1 : Mort d'un ministre (23)
- Je vais devoir vous laisser, Sir Stuart... Je dois reprendre mon fils aîné à son cours de violon !...
- Votre fils fait du violon ? Quelle idée saugrenue ! Je ne connais rien de plus exaspérant que le son du violon !...
Le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument.
Commandant, vous croyez que Mac Luhan avait quelque chose à voir avec la mort de Sir Parkinson ?
Évidemment que non. On ne tue pas sans avoir un sérieux mobile....
Cette histoire de prêt m'apparait comme un mobile tout à fait acceptable.
Ne dites donc pas de bêtises, Burkinshaw ! Mac Luhan n'était pas le commanditaire du meurtre de Parkinson....car c'était un meurtre, j'en suis de plus en plus convaincu....
Je mettrai tout en œuvre pour découvrir les assassins, Burkinshaw...et vous me connaissez : je déteste l'échec !
Je suis entré en politique par idéal... Oh, bien sûr, j'avais le goût du pouvoir... Mais l'ivresse que le pouvoir procure est éphémère...
- Aujourd'hui, il semble qu'il soit plus important pour un artiste d'être médiatique que d'avoir du talent...
- Pour un politicien aussi, non?
- Aussi horripilant que ses bouquins...
- Il fait partie de ces gens qui croient qu'il suffit d'avoir lu les livres des autres pour être écrivain. Il n'a aucun talent, mais il vend...
Quand donc cesseras-tu d'être raisonnable?
Ce que j'aimais surtout chez lui, c'était ce que les autres lui reprochaient : ses coups de gueule, son côté entier, imprévisible. Sa droiture... Ce n'était pas un enfant de chœur, évidemment. On ne fait pas de la politique à ce niveau sans faire de temps à autre des entorses à l'idée que se fait l'homme de la rue de l'honnêteté...
J'avais pas prévu de te tuer, Sammy... pas du tout... J't'aimais bien... T'étais un peu con, mais j't'aimais bien...
On devient trop bavard quand on picole...