"Ceux qui peuvent, font. Ceux qui qui ne peuvent pas, enseignent."
Comme il l'espérait, un des hommes de main de l'Irlandais l'attendait chez lui. Cette faculté de pouvoir s'introduire chez à peu près n'importe qui sans laisser de traces d'effraction le fascinait. C'était là tout le secret que Kenneth, l'ancien serrurier militant de Dublin, transmettait aux jeunes générations.
(Chapitre 14)
Après une bonne nuit à roupiller, il aviserait. Cette-fois ci, pas de réveil, Gabriel allait laisser son horloge biologique décider.
(Chapitre 8)
Le jeune fumeur écrasa son mégot sous sa chaussure et se pressa en direction de l'hôtel. Gabriel resta planté là, digérant l'information qu'il venait d'avaler. La raison pour laquelle il avait aperçu Anaïs à l'enterrement était désormais valable, mais un gouffre d'interrogations en tous genres s'ouvrait à ses pieds. Plus que jamais il avait besoin de s'entretenir avec la fille du train.
(Chapitre 5)
He oui, j'ai mis presque une semaine pour lire ce petit bouquin. J'ai traîné parce que pas prise du tout par le style (des clichés, des clichés et encore des clichés). L'intrigue est pas mal, mais l'écriture est lourdingue. Ce n'est que mon avis, chacun ses goûts. Je ne relirai plus rien de cet auteur ...