Citations sur Le journal d'Aurélie Laflamme, tome 5 : Championne (14)
C’est dur d’oublier. En même temps, quand on commence à oublier, on se sent coupable d’oublier. Quand on aime quelqu’un d’autre, qui pourrait prendre la place de la personne qu’on est en train d’oublier, on se sent coupable de ça aussi.
Que même lorsque j’ai tout pour être heureuse, je ressens un vide en moi.
bjr jaimerais savoir comment fait on pour lire un livre
Et, entre nous, je croyais que c’était moi la plus forte parce que je ne pleurais pas autant qu’elle, mais finalement, c’était peut-être elle. Parce qu’elle a accepté ce qui est si difficile à admettre pour moi: que, de mon vivant, je ne reverrai jamais mon père.