La faiseuse d'anges

Voilà, je n'imaginais pas Sandrine D.dans un polar presque classique. L'imagination débordante de cette auteure se retrouve là bien ancrée comme dans tous ses romans. J'ai aimé le déroulement de l'enquête. Les différents rebondissements tout au long des pages pas une seule minute je ne me suis ennuyée, l'enchaînement des événements et la fin que je n'ai entrevu qu'au dernier moment. Tout au long, j'imaginais la suite mais elle fait toujours en sorte que l'on ne trouve que partiellement la réponse et que l'on se dise « mais bon sang, mais c'est bien sûr » en voyant l'exacte vérité.
La récurrence du commissaire Max pour les opus suivants va me plaire, forcément, j'adore retrouver et voir évoluer le personnage central. Au suivant.

Je ne me lasse pas de découvrir les livres de Sandrine Destombes. A chaque fois un réel plaisir même si les univers sont différents. « La faiseuse d'anges » ne fait pas exception, j'ai énormément aimé suivre Max, commissaire à la fois forte et fragile. Je découvre à l'occasion de cette chronique que c'est le premier roman de Sandrine Destombes. Chapeau bas, Madame ! Il est excellent. J'ai été immédiatement embarquée dans cette intrigue très bien menée et je me suis attachée aux personnages. En parallèle de l'enquête éprouvante qu'elle mène avec son équipe, Max doit faire face à deux évènements difficile douloureux dans sa vie personnelle. Enzo, son collègue, son mentor, son ami mais surtout une sorte de père de substitution, part en retraite. Il va s'installer au loin, dans son pays natal, l'Italie. C'est très dur pour Max. Elle va tenter de garder le contact avec Enzo, si précieux et indispensable pour elle, par de longs appels téléphoniques. Max est également déstabilisée par des messages mystérieux et menaçants de l'assassin de sa mère qu'elle cherche en vain depuis une trentaine d'années. C'est donc une jeune femme fragilisée psychologiquement qui doit mener l'enquête sur une série de meurtres de femmes particulièrement atroces et dont la fréquence s'accélère. Trouver des points communs entre les victimes s'avère compliqué. Une région, la Normandie, semble être un fil rouge. Je vous laisse lire « La faiseuse d'anges » pour en savoir plus. Beaucoup d'humanité et d'empathie pour ses personnages, une belle écriture, une intrigue bien ciselée font que j'ai eu un beau coup de coeur pour ce thriller. Je vous le conseille vivement. Et moi je vais continuer ma déambulation dans l'univers de Sandrine Destombes. Impatiente et ravie d'avance.
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Nous partons à la rencontre de Maxime Tellier, commissaire de police. Elle se retrouve plongée dans plusieurs enquêtes et l'enjeu est de taille, puisqu'on l'attend au tournant, au niveau de sa hiérarchie.

Enzo, son plus vieil ami et son collègue, qui savait la guider, part à la retraite, en Italie. Maxime se retrouve « seule », avec ses démons, ses angoisses, ses doutes, alors qu'un tueur en série frappe de la pire des façons.

Ce roman est partagé entre résoudre cette enquête morbide et comprendre ce qu'il s'est vraiment passé il y a 30 ans, dans la vie de Maxime.

Découvrez cette histoire, découvrez les secrets qui entourent Maxime, le suspense est au rendez-vous !
J'ai été complètement bernée, dans les deux énigmes qui s'offraient à nous.

J'avais mes doutes sur quelques petites notions mais je n'avais absolument pas la finalité et j'étais vraiment loin du compte.

En revanche, j'ai juste un petit point négatif sur ce roman. Il y a une enquête qui a lieue en plein milieu de l'histoire en question, mais je ne comprends pas sa place. Peut-être était-elle là pour nous déstabiliser ? Nous mener en erreur ? Probable, et dans ce cas là, OK, j'accepte.

Mais je reste sur ma position, je la trouve assez inutile, surtout pour la finalité qu'elle a eue. Mais soit, on parle d'une mini partie du roman, donc ce n'est pas dramatique.

Globalement je dis OUI ! Un bon moment de lecture

Deuxième roman que je lis de cette autrice et il semblerait que ça soit son premier.
J'aime sa manière d'écrire. C'est rapide et efficace. Assez violent et c'est une chose que je n'aime plus. Malgré tout, l'autrice ne s'attarde pas à donner trop de détails ce qui laisse un tout petit peu moins le temps à mon cerveau d'avoir des images gores qui défilent, il s'attache à l'histoire en globalité.
Et sur celui-ci, l'autrice donne aux lecteurs plusieurs histoires, mais pas comme dans la plupart des romans, qui finissent par se rejoindre à la fin. Non, là ce sont ses personnages qui ont leurs propres vécus et affaires non résolues et qui finissent par l'être à la fin du roman.

Max est commissaire, elle gère une équipe sympathique. Elle a déjà une première enquête sur le feu lorsqu'arrive un premier crime sanglant. Dans un même temps, son mentor, Enzo, part à la retraite.
Max enquête, à titre privé, sur le meurtre de sa propre mère commis 30 ans plus tôt alors qu'elle était enfant.
Ce commissaire est plutôt solitaire. Sa soupape de sécurité c'est Enzo. Pas d'amis. Et son passe- temps une fois sa journée achevée, c'est une bouteille de vin blanc. Elle n'a pas sa langue dans sa poche au grand dam de son supérieur mais fait son boulot et sait tenir son équipe.
J'ai trouvé un peu dommage le choix du titre, car une fois que le deuxième meurtre du scalpeur arrive, je me suis doutée du lien que pouvait avoir les victimes. Pour autant, tout est bien mené et j'ai eu plaisir à suivre Max et son équipe.

Je rajouterai donc d'autres livres de cette autrice à ma PAL et vous invite à lire celui-ci.

J'ai déjà lu quelques titres de Sandrine Destombes, et jusqu'ici, ils ont tous tenu leurs promesses. Mais j'avais une lacune que ma binomette Christel ne pouvait pas laisser passer : je ne connaissais pas son héroïne Maxime Tellier, Max pour les intimes ! Iris Noir fut donc pour elle la parfaite occasion de rafler la série et de me l'offrir, dédicacée de surcroît, par une auteure qui lui a demandé à plusieurs reprises si elle était bien sûre de son fait. Evidemment, qu'elle l'était ! Parce qu'elle me connaît parfaitement bien et qu'elle n'a pas douté un seul instant que j'allais adorer cette dynamique jeune flic, cheffe de groupe, forte tête et d'une ténacité exemplaire.

J'aime lire des romans noirs, qu'on les appelle polar ou thrillers sous quelque déclinaison que ce soit. Mais c'est vrai que parfois, c'est agréable de revenir à un schéma classique : un groupe de flics, un meurtre (ou ici : une série de meurtres), une enquête… A la tête de cette enquête, donc, Max. Nous faisons sa rencontre pile au moment où son mentor, Enzo, prend sa retraite et s'installe en Italie. C'est un coup dur pour Max, car Enzo fait partie de sa vie depuis de longues années. Précisément, depuis qu'il a enquêté sur le meurtre de la mère de Max, lorsque celle-ci était enfant.

Elle a vécu un drame, donc, mais si elle est parfois un peu fragile, c'est malgré tout une femme et une flic solide qui peut compter sur son équipe pour résoudre ces meurtres relativement violents où des femmes sont sauvagement mutilées. L'enquête obligera Max à quitter Paris et à s'allier avec un gendarme très efficace, avec qui elle se liera vite d'amitié.

Inutile de maintenir un suspens inutile, j'ai tout adoré dans ce livre ! de la franche camaraderie qui unit l'équipe de Max à la complexité de l'enquête, le fait aussi que le quotidien du groupe nous démontre qu'il faut parfois travailler sur plusieurs fronts, mais aussi la personnalité de Max, les touches d'humour savamment dosées, le suspens omniprésent.

Sachez d'ores et déjà que je n'ai pas fini de vous rabâcher les oreilles avec Max Tellier, car j'ai enchaîné les quatres tomes à la suite !
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Ce n'est pas ma première expérience livresque avec cette auteure et mon avis sur ces livres peut passer à du 4/5 avec « le prieuré de Crest » à « Madame B » avec 2,5/5 et entre les deux « Les jumeaux de Piolenc » avec 3,5/5. Même si mon avis est dans l'ensemble mitigé je voulais découvrir ce roman.

Petite précision sur ce roman : il a été publié une première fois en 2014 mais il a été entièrement réécrit à l'occasion de cette nouvelle édition.

Maxime Tellier est commissaire de police et on peut dire qu'elle est sur tous les fronts. Elle doit jongler entre différentes affaires professionnelles et une affaire personnelle. En effet à 8 ans, elle était là quand sa mère a été tuée. 30 ans après Max cherche toujours le meurtrier et pense que la réponse est en elle d'où ces séances d'hypnose. Un message qu'elle reçoit lui fait penser que le tueur de sa mère vient de refaire surface.
Pour le coté professionnel, des femmes sont retrouvées nues, le visage arrachée, les doigts brulés et les organes génitaux enlevés. Les crimes ont lieux dans différents endroits de la France mais le lien avec toutes ces femmes est la Normandie mais pas que…

J'ai été perturbé au début par le fait que la commissaire, une femme porte le prénom de Maxime.(pour moi c'est un prénom uniquement masculin) Une fois habituée, j'ai pris du plaisir à me plonger dans ces histoires. En effets Max ne s'ennuie pas et nous également. Pas de temps mort. Si je rencontre un autre livre sur mon chemin, je le prendrais entre mes mains car un jour je pourrais peut être avoir un coup de coeur de cette auteure.

" La faiseuse d'anges " est le premier roman de la tétralogie consacrée à la commissaire de police Maxime Tellier. Je n'ai pas fait dans l'ordre puisque j'ai lu dernièrement le titre " le dernier procès de Victor Melki " . Ce n'est une gravité en soi car c'est toujours un plaisir de lire la plume de l'auteure.

La maitrise de l'écriture est saisissante car dès le début du roman Sandrine Destombes accroche et capte l'attention du lecteur avec son héroïne qu'est Maxime Tellier. Cette commissaire est marquée par un passé troublant et par le départ en retraite de son pilier voire mentor, Enzo. Mais Max doit maintenant avancer seule dans ses dossiers.

Ca tombe bien, un tueur en série sème le trouble ; il tue sans limite des femmes avec un modus operandi atroce. Quelle est l'identité du tueur prénommé " scalpeur augeron " ?
" Bien sûr. Je n'ai pas besoin de lire mes notes pour vous dire que le corps n'est pas beau à voir. On lui a retiré la peau du visage ainsi que tous ses organes de reproduction. le reste n'était que fractures et contusions. "
Sandrine Destombes détonne et étonne le lecteur en développant une histoire sans aucun temps mort. Les cadavres s'amoncellent mais grâce à une équipe policière soudée, Maxime avance petit à petit dans ce dossier. Les pistes sont laborieuses menant le commissaire en Normandie entourée du capitaine Vincent Gouvier.

Ce qui donne de l'épaisseur à ses romans, c'est la vie personnelle des protagonistes ; des détails sont dépeints et cela rend l'histoire encore plus attachante! Bien sûr la personnalité de Max en fait une héroïne désormais légendaire du thriller français!

Ce roman est un véritable page turner, l'intrigue est bien cousue et est menée tambour battant. Jai aimé suivre Maxime Tellier et l'ambiance vertigineuse. Il me reste à lire les titres suivants " L'Arlequin " et " Ainsi sera-t-il " .

Une fois de plus Sandrine Destombes m'a séduite avec " La faiseuse d'anges" !
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Maxime Tellier, jeune femme commissaire, doit faire ses preuves, sans le soutien de son mentor, en enquêtant sur une série de meurtres de femmes. Au cours de son enquête, elle collaborera avec la gendarmerie de Normandie. Dans le même temps, elle essaie de découvrir le meurtrier de sa mère.

J'ai beaucoup aimé cette enquête policière dont le titre nous permet de connaître la thématique. J'ai aimé le personnage de Max même si, au premier abord, elle semble dure, elle devient, au fil de la lecture, attachante. Son équipe, qu'elle a constituée, est soudée, son mentor, parti à la retraite, l'aide, et le capitaine de gendarmerie Vincent Gouvier et sa femme sont tout aussi attachants. L'histoire est bien construite, le style fluide avec beaucoup de dialogue et parfois de l'humour.

Une première enquête bien menée et captivante.

Maxime Tellier, jeune commissaire, à la tête d'une équipe soudée, mène de front la traque d'un serial killer et la recherche sur une part d'ombre de son propre passé.

Dans ce ce premier opus d'une série de 5 titres, des meurtres violents et sanglants sont perpétrés par un scalpeur dont l'unique proie sont les femmes... de quoi s'interroger sur les motivations de ce tueur en série. Max se retrouve à la tête de cette enquête au moment où son modèle part en retraite. Mais c'est peut-être aussi l'occasion pour elle de faire ses preuves.

D'autres victimes sont découvertes en Normandie et elle va devoir collaborer avec le Capitaine Vincent Gouvier. Une collaboration qui va lui permettre de tisser aussi des liens d'amitié.

Dans ce polar, tout est réuni pour que la lecture soit fluide et addictive : des dialogues, du suspens et des rebondissements, des sentiments, des personnages attachants dont la psychologie est mis en avant, une écriture très visuelle. Deux enquêtes donc en parallèle dont le dénouement n'intervient que dans les dernières pages et où je n'ai rien vu venir. Pourtant j'ai cru un moment tenir un bout de l'énigme, mais non 😅.

Un polar que l'on lit et que l'on dévore avec plaisir sans jamais s'ennuyer. Je recommande ! Et j'ai hâte de poursuivre avec « l'arlequin » !

Première rencontre avec l'auteure et je ressors de cette lecture commune assez contente ! Un très bon moment passé 😊

ℓ'нιѕтσιяє : L'auteure nous plonge dans la vie de la commissaire Max Tellier, à Paris. Femme de 38 ans qui tente par tous les moyens d'élucider le meurtre de sa mère, survenu il y a trente ans. En parallèle, on leur confie d'autres enquêtes à elle et son équipe dont celle du « scalpeur ». En effet, des femmes sont retrouvées mortes avec le visage et les organes reproducteurs ôtés, les doigts brûlés à l'acide. Des meurtres particulièrement sanglants et d'autant plus incompréhensibles puisqu'ils ont l'air d'avoir en commun une faiseuse d'anges...

ℓєѕ ρєяѕσииαgєѕ : J'ai en partie apprécié tous les personnages. Max tout d'abord, un personnage assez complexe qui inspire le respect de par son autorité et sa détermination sans faille. Et bien qu'elle reste dans le passé, j'ai admiré sa ténacité. Moi qui fonctionne beaucoup avec instinct, je me suis souvent retrouvée en elle.
J'ai beaucoup aimé les agents qui composent son équipe, à la fois dévoués et professionnels (enfin sauf pour un mais je n'en dirai pas plus 😜). Mon coup de coeur va cependant au capitaine Gouvier dont l'humour et la perspicacité m'ont séduite.
En revanche, j'ai été très mal à l'aise avec le personnage d'Enzo que j'ai trouvé beaucoup trop gentil pour être honnête. Un personnage qui m'a déstabilisée mais dont le professionnalisme n'est pas à discuter.

яєѕѕєитι géиéяαℓ : C'est un premier tome qui se lit extrêmement facilement, la plume est très fluide et agréable à lire. C'était un plaisir de faire la connaissance de ces personnages, d'y lire les quelques touches d'humour qui ont apporté de la fraîcheur à l'histoire. le thème abordé est intéressant, à savoir l'avortement et ses conséquences parfois désastreuses. Les dialogues sont percutants, je n'ai pas eu cette impression comme dans certains livres policiers, que le jargon était trop difficile. Au contraire, je me sentais très impliquées dans leurs investigations.
C'est une histoire qui coule... de source, si on peut dire. Tellement lisse que je l'ai trouvée trop simple. J'avais la curieuse impression que les indices arrivaient à une vitesse déconcertante, que les enquêtes étaient bouclées plus vite encore que je n'avais le temps de les comprendre. On ne pourra pas dire que ça piétinait...
Ce point un tant soit peu négatif n'a en rien entaché ma lecture que j'ai trouvé vraiment agréable, simple mais efficace. Je lirai certainement la suite (si ma PAL le veut 😂) et recommande aux amateurs de polars !