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4,09

sur 491 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Victor Dixen est un auteur que j'apprécie beaucoup : j'ai adoré Phobos, et aimé Cogito ou Animale, même si Phobos reste mon préféré!

Mais j'avoue qu'Extincta m'a laissée mitigée...

J'ai trouvé le monde désespéré et sombre imaginé par l'auteur plutôt intéressant : le système de castes, habituel dans les dystopies, s'appuie sur une classification originale, de même que les noms des habitants et la religion qui s'est développée. Mais j'ai eu du mal à vraiment apprécier les personnages, je ne les ai pas trouvés réellement crédibles, dans leurs actes, paroles et sentiments.

L'histoire, après un début rythmé, est assez lente, une fuite en avant où les personnages suivent tous Astrea, personnage finalement trop parfait pour être attachante. On pourrait penser que le suspense de la fin du monde donne du peps à l'ensemble mais pas réellement puisque seul le lecteur est au courant pendant au moins la moitié du roman grâce au compte à rebours, sans que l'on sache ce qu'il va se passer.

La fin redevient plus dynamique, mais l'ensemble, bien que sympathique, m'a laissé une impression de longueur sans véritable cohérence, à part les sentiments qui se développent entre Astrea et Océrian malgré le fait que tout les oppose et qu'ils échangent dix mots en tout (bon, j'exagère un peu)
Extincta reste un bon roman, surtout pour des amateurs de dystopie, mais malgré un message écologique intéressant, je n'ai pas réussi à réellement m'y immerger.

A partir de 11 ans.
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Cette dystopie pour adolescents m'a d'abord attirée par sa magnifique couverture, par ses cartes et sa pagination avec des noms latins d'animaux.
Je lis très rarement ce genre de littérature et ne saurait donc en juger l'originalité mais la lecture fut plaisante.
Dans un monde post apocalyptique dévasté , la société s'organise en castes et vénère Terra ainsi que les très rares spécimens d'animaux qui ont survécu. Parmi la Caste la plus pauvre, celle des suants, Astrea devient une combattante et tombe amoureuse d'un prince unijambiste. Une rencontre amusante avec une bibliothèque (les livres ayant disparu) met à l'honneur la poésie de Baudelaire et un discours écologique vient clôturer ce récit d'aventures.
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Je ressors un peu mitigée de ce roman. Déjà, j'ai mis du temps à le lire : une semaine alors que j'étais en cours à distance (et que j'avais donc du temps pour moi). En fait, j'avais du mal à avoir envie de lire ce livre, quand je le fermais je n'étais plus dans l'histoire. Et puis, il faut avouer que j'ai un peu de mal avec le style de Victor Dixen. J'avais déjà eu ce problème avec Phobos, que j'avais quand même continuer car l'histoire était très prenante. Je trouve que son ton sonne faux, en fait j'ai du mal à trouver crédibles les dialogues. Surtout quand il s'agit d'intelligences artificielles qui font de jolies phrases ! Bref, je ne me suis pas non plus attachée aux personnages, et surtout pas à Astrea qui me sortait un peu par les trous de nez. Et la fin ne m'a fait ni chaud ni froid.
Enfin, ce livre a tout de même des qualités ! L'univers créé par l'auteur est très intéressant, et le rythme de l'histoire est très bien réalisé. Pas de longueurs, ni de scènes bâclées. J'ai particulièrement aimé le passage chez le personnage Hippocampos , et les petits clins d'oeil de Victor Dixen à ses romans (j'en ai trouvé deux mais peut y en a t il plus !). Je pense que c'est ce livre peut trouver son public, mais pour moi ça ne l'a pas fait. Ainsi, je pense que je ne réessayerai pas de Victor Dixen...
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Extincta est un roman qui me faisait hyper envie pour les thématiques environnementales qu'il aborde et de ce côté-là, je n'ai pas été déçue ! Au contraire, cela nous montre un possible futur pas si éloigné que ça puisque c'est un sujet phare aujourd'hui. Cependant, j'ai eu beaucoup de mal à me plonger dans cet univers dystopique ! Je l'ai trouvé très riche, peut-être trop d'ailleurs car au début, j'ai eu la sensation d'être inondée sous les informations. de plus, le rythme était assez lent malgré quelques pointes d'action et le compte à rebours à chaque début de chapitre, ce qui ne m'a pas aidé ! Pourtant, je l'ai trouvé très intéressant et plein de potentiel !

On va suivre les points de vue de 2 personnages à l'aube de la fin du monde (mais ça, ils ne le savent pas encore) : Astréa et Océrian, qui sont issus de 2 castes diamétralement opposées. En effet, suite à l'épuisement des ressources naturelles, végétation et animaux ont quasiment disparu et les derniers humains ont dû se réfugier sur les dernières terres vivables. Si Océrian est un Apex, un prince, Astréa, elle, est une suante, une esclave qui doit se donner corps et âmes afin d'expier les fautes de l'Homme. le système proposé par l'auteur est déjà vu mais il a le mérite de toujours aussi bien fonctionner. Océrian est quelqu'un de diminué depuis la perte de sa jambe. Méprisé par ses pairs, l'auteur a su nous faire ressentir son sentiment de solitude. Il a donc la sensation d'avoir beaucoup à prouver et malheureusement, les décisions qu'il prend n'ont pas toujours été de mon goût…
Astréa m'a paru cliché. C'est la personne qui va évoluer le plus vite et j'ai eu du mal à y croire étant donné le nombre d'années d'endoctrinement. Pour moi, on ne s'en affranchit pas en quelques jours… de plus, j'ai eu l'impression d'avoir affaire à une fille surhumaine et je n'ai pas trouvé cela crédible.

En bref, je sens que je suis passée à côté de ce one-shot malgré son potentiel. Néanmoins, je suis certaine qu'il plaira à d'autres lecteurs !
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J'avais déjà adoré plusieurs romans de Victor Dixen que j'avais dévoré en quelques jours mais ce roman ne figurera pas dans mes préférés malheureusement. Je crois que c'est rare que je mets autant de temps à lire un livre. J'ai eu beaucoup de mal a rentrer dans l'histoire que j'ai trouvé longue a la mise en route et le revirement des sentiments des personnages me paraît trop brusque. Cela reste une belle histoire mais je préfère de loin Phobos ou Vampyria de cet auteur ou même Cogito.
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Un peu dans le même esprit que son précédant roman, Victor Dixen, appuie ici, le sujet sensible qu'est notre environnement, notre planète.

« Cogito », disons le nous, m'avait un peu effrayé. A la fin, je m'étais dit « croisons fort les doigts pour qu'on en arrive jamais là! ». J'ai trouvé « Extincta » moins effrayant, dans le sens où j'ai trouvé l'histoire et la manière qu'à l'auteur de nous la conter, plus douce. Attention, je ne dis pas que ça ne fait pas peur et que j'aimerais que ça se passe comme ça, loin de là!

Ici, nous sommes sur Terre, sauf que le temps est passé et que les peurs sur le climat que nous avons aujourd'hui, se sont réalises. Donc, il s'agit bien de notre terre, mais elle ne ressemble plus à ce que l'on connait. Il ne reste que quelques petits territoires, où les animaux se font extrêmement rares, et où la seule végétation que vous pourrez voir, sont les algues marines.

Astréa, notre protagoniste féminine, vit dans les bas fond de la ville de Viridienne, elle se lève tous les jours pour aller bâcher les algues qui envahissent la ville. Volontaire et dévouée à sa Terre, elle rêve de devenir pleurante (ce qui pourrait s'apparenter aux religieux), pour pouvoir servir encore mieux cette Terre qu'elle aime tant.

Seulement, son frère Palémon est accusé d'avoir commis un crime, il est donc fait prisonnier. Astréa décide alors de tout faire pour le sauver, quitte à renoncer à son rêve le plus cher. C'est en essayant de sortir son frère de sa condition, qu'Astréa va tomber sur Océrian, le prince de Viridienne.

Après un accident dû à un glissement de terrain, Océrian a perdu l'une de ses jambes, et est donc devenu le mouton noir de la famille Royale. En essayant de s'enfuir de sa prison, il va tomber sur Astréa, qui va trouver en Océrian, une bonne monnaie d'échange!

Astréa, Océrian, et leurs amis, sont donc partis pour un sacré périple, sans savoir que l'univers leur cache encore un lourd et périlleux secret…

Ce que j'ai apprécié dans ce roman, c'est la vision que l'auteur nous donne sur le monde actuel et ce qu'il pourrait devenir dans le futur. J'ai aussi grandement apprécié et détesté les en-tête de chapitre qui est en faite un compte à rebours très stressant et stimulateur. Je ne dirais pas que j'ai aimé ce roman mais plutôt que je l'ai trouvé intéressant et réfléchit.

Bien évidement, il y a une touche de romance, mais celle ci n'est pas forcement mise en avant, au contraire je l'ai trouvé douce, et cela rend le contexte dans laquelle elle se situe beaucoup plus apaisante.

Par contre je vous préviens, la fin est déchirante, si vous vous attendez à une fin heureuse et bien ne comptez pas la dessus! Mais même si c'est une fin triste, c'est également une très belle fin. Bref, tout comme son roman Cogito, ce roman nous donne à réfléchir sur ce que l'on souhaite vraiment pour notre avenir.
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J'ai eu beaucoup de mal a avancer dans cette lecture. En partie a cause des milliers de petits details mais surtout parce que le fantastique n'est pas vraiment mon style préféré, je pense. Néanmoins l'intrigue était très bonne. Et je peux conseiller ce livre à des personnes prêtes a entrer dans un long voyage dystopique jusqu'à la fin du monde. Parce que c'est bien le thème principal de ce roman. On y parle donc des causes de l'extinction humaine et donc beaucoup d'avis sont présents sur l'écologie, le végétarisme et tout le reste. J'ai aussi beaucoup aimé les personnages principaux, avec qui on suit l'histoire, Océrian et Astréa. Tout dans ce roman était vraiment recherché et complet, peut-être un peu trop pour moi.
Mais c'est à vous de voir !
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L'idée de départ est intéressante mais je n'ai pas accroché à la narration. La plupart des éléments du récit sont classiques d'une dystopie et l'histoire d'amour convenue. La place de la littérature et de la poésie m'a paru alourdir le récit, alors que souvent j'aime les textes métalittéraires.
L'aspect écologique est bien exploité tout comme la question de l'utilité de faire survivre l'humanité. C'est une bonne lecture pour développer une conscience écologique.
Je pense que le récit m'aurait beaucoup plus plu lorsque j'étais ado.
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Tout d'abord, ce livre est un vrai bijou.🥰
Comme tous les livres de l'auteur d'ailleurs.
Le travail éditorial est exceptionnel.

Ce n'est malheureusement pas un coup de coeur pour moi. 😔
Je reproche à l'auteur des facilités scénaristiques et une plume assez pauvre.
Je ne lis pas de Young Adult et d'ailleurs je ne suis pas la cible 🤭...
C'est le 2eme livre de l'auteur que je lis après Vampirya que j'avais pourtant adoré.

Ça se lit bien, c'est divertissant, un peu comme un film d'action avec une intrigue légère.
On nous rappelle sans cesse que les héros sont beaux, athlétiques et formidables...
Ça n'apporte rien au récit.
Dès le début du livre, la fin du monde est annoncée.
Elle aura lieu dans 255h, les chapitres font le décompte jusqu'à l'apocalypse.
Ça fait monter la pression et donne du rythme.

C'est un livre utile car il met en lumière les enjeux climatiques.
Il dénonce nos comportements actuels par rapport à l'épuisement des ressources
terrestres, la pollution, l'extinction des animaux ...
Tout le long de ma lecture, j'ai eu ce sentiment de honte à ce sujet même si j'essaie de réduire à mon petit niveau les déchets que je génère.

On évolue dans un univers dystopique où l'homme est en quête de la domination et du pouvoir absolu.
La morale est bien pensée, bien réfléchie: on apprend jamais de nos erreurs.

Ça peut plaire aux amateurs de fantasy car l'auteur s'adresse, avant tout, aux jeunes qui peuvent peut-être encore prendre conscience du péril vers lequel on se dirige.
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Après avoir lu Cogito et avoir bien aimé, je n'avais plus trop de réticence à lire Extincta, et même, j'avais hâte de découvrir un nouveau roman de cet auteur, que j'espérais apprécier (je me répète, mais je n'avais pas du tout aimé le tome 1 de Phobos.)

Déjà, j'ai été agréablement surprise de découvrir un monde de fantasy sans aucun rapport avec le nôtre : je m'attendais à retrouver notre société actuelle... mais pas du tout ! Et c'est justement encore plus intéressant, j'ai adoré découvrir cet univers, ses lois si particulières et son histoire complète. le système de castes a tendance à me déranger en général, mais là je ne sais pas, je l'ai trouvé très bien fondé et nécessaire dans la construction du roman.

J'ai eu un peu de mal à m'attacher aux personnages, à part celui d'Astrea, mais je ne dirais pas qu'ils sont incomplets ou mal écrits ; ça n'est juste pas passé avec moi ! Par contre Astréa m'a parlé tout de suite, elle est super déterminée, mais aussi tiraillée entre sa foi et son devoir envers son frère, je l'ai trouvée très touchante et sa psychologie est très bien développée.

J'adore quand au fur et à mesure, des éléments de SF se mêlent à l'intrigue fantastique, et c'est ce qui se passe dans ce roman !

J'avoue avoir eu un peu de mal avec le rythme. le début est prenant, avec l'alternance des points de vue et la découverte. La fin est géniale, entre l'action, les révélations, et LA TOUTE FIN ROHLALA !!

Par contre, les péripéties du milieu... j'ai trouvé le tout très long et assez redondant. C'est sûrement parce que je n'ai pas été touché par les rapports entre les personnages, du coup je m'ennuyais un peu.

Mais bon, ce n'est pas vraiment ce que je garde de ma lecture. L'univers que j'ai découvert, les révélations de fin, mon entrain à suivre les aventures d'Astréa... c'est l'impression qui me reste et donc c'est une bonne lecture ! 

Je vous conseille donc ce roman, même si j'ai préféré Cogito ahah ! 

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