Les Nombrils, tome 6 : Un été trop mortel !

Tu te maquilles pour te baigner? Ha ha! Tu espères quoi? Séduire un brochet?

- Pff! Si j'aurais su...
- "Si j'avais su. Les "si" mangent les "rais".
- Tss! Mon père disait ça aussi. Toute mon enfance, j'ai eu la pétoche que sa scie me bouffe le cul! "Les scies mangent les raies". Si tu crois encore à ça, t'es vraiment un bébé!

Tu sais ce qu'elle te dit, la voisine d'en face? Eh ben elle préfère avoir l'air d'une Barbie que d'un livre à colorier!

Vicky? Que me vaut le désagrément de ta visite?

- Jenny?!
- Ah, Hugo...
- Eh! Tu te souviens de mon nom!
- Facile, ça rime avec "gros".

- Un menu cheeseburger, SVP. Mais sans les frites ni la boisson.
- Que le cheeseburger, alors?
- Oui, mais sans le pain, la viande et le fromage. Que la feuille de laitue. Je suis au régime.
- OK, ça fera 8.50$.

Le bégaiement, les joues qui rougissent, le coeur qui bat la chamade... ce sont les symptômes de l'amour. Si un jour tu les ressens, viens me voir: ça voudra dire que tu as un coeur!

Je suis à l'amour ce qu'Einstein est à la science, ce que Picasso est à l'art, ce que Beyoncé est à la musique!

Souvent, une blague sert à dissimuler un malaise. Et derrière chaque blague se cache une vérité.

- Je viens de le croiser et... je crois que je lui fais de l'effet!
- Pfft! Un effet vomitif, tu veux dire...